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Sciences (et Recherche scientifique)

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  • 20-07-2020
    -Huit conventions ont été signées entre les universités algériennes et nombre de filières industrielles pour la création de pôles technologiques, en collaboration entre le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique et celui de l’Industrie. Les cinq premières conventions ont été signées entre le groupe algérien de l’université industrielle relevant du ministère de l’Industrie et quelques universités du pays pour la création de pôles technologiques en mécanique avancée, génie pharmaceutique, transformation céréalière, mécatroniques, outre la céramique et dérivés. Les trois autres conventions concernent l’intelligence artificielle et la veille industrielle, la convention de mesure industrielle de maîtrise des mécanismes de gestion mécanique, ainsi qu’une convention portant création d’un pôle spécialisé dans la gestion logistique et l’industrie. A cette occasion, le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Abdelbaki Benziane, a affirmé que la création de ces pôles technologiques avait pour objectif «la valorisation de toutes les recherches universitaires et leur conversion en projets de production et de services en faveur de l’économie et de la société». Pour sa part, le ministre de l’Industrie, Ferhat Aït Ali Braham, a estimé que cette initiative était «l’un des fruits de la coopération» entre son secteur et celui de l’Enseignement supérieur, soulignant qu’elle visait à «répondre aux exigences du secteur industriel et asseoir ainsi les fondements d’une nouvelle économie basée sur la connaissance»………………………………………… -La sonde émiratie «Al-Amal» (Espoir), première mission interplanétaire arabe, a été lancée lundi 20 juillet avec succès depuis le Japon, en route pour l’orbite de Mars dont elle devra fournir des images pour mieux comprendre son atmosphère et son climat. Le décollage de cet engin spatial non habité, retransmis en ligne et en direct, a eu lieu comme prévu depuis le centre spatial de Tanegashima (sud-ouest du Japon) à 6H58 heure locale (dimanche 21H58 GMT), après deux reports la semaine dernière en raison du mauvais temps…….. La sonde devrait commencer à orbiter autour de Mars d’ici février 2021, à l’occasion du 50e anniversaire de l’unification des sept principautés qui forment les Émirats arabes unis. Cette mission doit étudier l’atmosphère de Mars pour «fournir une première compréhension complète» de ses variations climatiques sur une année entière, a rappelé Sarah al-Amiri, ministre des Technologies avancées des Émirats et directrice adjointe du projet, qui était aussi présente au Japon au moment du lancement. À compter de septembre 2021, Al-Amal doit en effet commencer à livrer des images de la planète rouge depuis son orbite pendant toute une année martienne, soit 687 jours terrestres……………………………………. Fondé en 2006 à Dubaï, le Centre spatial Mohammed Bin Rashid a été le fer de lance du projet Al-Amal auquel ont participé quelque 450 personnes, dont plus de la moitié émiraties. Email
  • 07-07-2020
    -Des étudiants du club scientifique de l’Ecole nationale supérieure de biotechnologie (ENSB) de Constantine ont décroché « la mention honorable » du programme international Developer Student Club de Google, a annoncé ce mardi le directeur de l’Ecole, Douadi Khelifi. « Cette mention a été obtenue pour le projet de recherche baptisé Drug OC qui permet, à travers une application, de créer un système de pharmacovigilance pouvantse substituer en partie aux prérogatives des instances compétentes dans la gestion de cette discipline scientifique », a précisé à l’APS M. Khelifi. Relevant que c’est « une prouesse de dimension internationale » qui met en avant des compétences nationales en matière d’intelligence artificielle (IA), le directeur de l’ENCB a précisé que le projet Drug OC du Club scientifique de l’Ecole était parmi les 20 meilleurs projets ayant participé au programme Developper Student Club, lancé chaque année par Google developers pour les outils et plates-formes de développement logiciel, les interfaces de programmation d’applications (API) et les ressources techniques. Douadi Khelifi a indiqué qu’un millier de clubs scientifiques de plus de 800 universités à travers le monde ont pris part à ce programme, soulignant que ce projet est parmi « le top 5 » des meilleurs projets dans la région du Moyen Orient et de l’Afrique du nord (MENA), région qui prend part pour la première fois à ce programme. L’idée du projet de recherche est celle d’un étudiant du club scientifique de l’ENSB qui avait effectué son stage de 4ème année de la saison universitaire 2018-2019 au Centre national de pharmacovigilance et matériovigilance d’Alger et s’était familiarisé avec les différents procédés utilisés dans ces deux domaines de la santé, a-t-on noté. L’objectif du programme Developer Student Club de Google est de trouver une solution à un programme local en utilisant des outils technologiques ce qui permettra aux étudiants d’acquérir de nouvelles compétences, de développer les domaines technologiques et de se distinguer dans beaucoup de leurs segments, a-t-on indiqué. Dans le cadre de ce programme international, les étudiants sont appelés à utiliser les ressources (données) de Google pour apprendre de nouvelles technologies telle que l’intelligence artificielle, la computation haute performance et le développement d’application Android entre autres, a-t-on indiqué. Selon M. Khelifi, ce type de programme permet de rapprocher les étudiants des technologies modernes, notamment celle de Google, de combler le vide entre la théorie et la pratique et de faciliter l’intégration des étudiants dans le monde professionnel à travers le développement de nombreuses compétences, le travail en équipe, la communication et la gestion des projets entre autres. Les étudiants du club scientifique de l’ENSB de Constantine s’attèlent actuellement à créer « une intelligence artificielle capable de déterminer le lien de causalité entre le médicament et l’effet indésirable et créer notre propre base de données des médicaments, effets indésirables et rapports d’imputabilité », a fait savoir M. Khelifi, précisant que l’objectif est de pouvoir obtenir le brevetage de ce projet. 86, une société spécialisée en commerce des pièces détachées.