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Finances

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  • 30-03-2021
    -Le chiffre d'affaires du secteur des assurances a reculé en 2020 à 136 milliards de dinars, contre 144 milliards en 2019, soit une baisse de 8 milliards de dinars, en raison notamment de la crise sanitaire de Covid-19, a indiqué mardi à Alger, le ministre des Finances, Aïmene Benabderrahmane. "Les premiers chiffres du secteur, pour 2020, annoncent une régression de 6% de l'activité des assurances, comparé à 2019", a précisé M. Benabderrahmane lors de son intervention à l'occasion de l'Assemblée générale du Conseil national des assurances (CNA). "C'est pour la première fois le marché des assurances connait un taux de croissance négatif", souligne le ministre expliquant que cette régression "peut trouver son origine dans la situation pandémique que connait notre pays à l'instar de beaucoup d'autres pays du monde"………………………………………………….. ;; -La Direction Générale des Douanes annonce l'achèvement des dernières procédures de fermeture des ports secs, dans le cadre de l'opération d'assainissement de ce secteur, entamée en juin dernier. La Directrice de l’information et de la communication par intérim à la DGD, Nassima Allou Breksi, a expliqué que les procédures finales ont a été achevées pour concrétiser la décision de la fermeture définitive des ports secs restants……………………………………… - Le ministère des Finances a annoncé samedi 27 qu'il prorogeait le délai d'acquisition de la vignette automobile 2021, jusqu'au 31 avril pour permettre aux retardataire de s'en acquitter. Cette dernière semaine du mois de mars a vu les guichets des services des impôts pris d'assaut par les citoyens qui n'ont pas acheté cette vignette, surtout que certains formats, concernant des types précis de véhicules sont arrivés à épuisement.
  • 29-03-2021
    -La capitalisation boursière globale de la Bourse d’Alger totalisait 42,881 milliard DA au 31 décembre 2020. Comparativement à la même période de l’année 2019, la Bourse d’Alger a perdu en une année 4,23% de sa capitalisation. C’est ce qu’on retient des principaux indicateurs du rapport 2020 de la commission d’organisation et de surveillance des opérations de bourse (Cosob), publié sur son site. Cette chute, explique-t-on, est justifiée par la baisse des transactions sur le marché en raison de la pandémie de Covid-19, et par la radiation du titre NCA Rouiba des cotations. La capitalisation boursière représentait, en conséquence, un peu plus de 0,1% du PIB en 2020, indique le rapport qui confirme que «ces chiffres renseignent sur la contribution insignifiante de la Bourse d’Alger dans le financement de l’économie». Les données de la Cosob relatives à l’activité sur le marché principal font ressortir que le nombre de titres de capital cotés au 31 décembre est de quatre titres et une ligne secondaire représentant un droit d’attribution sur le titre Alliance Assurances, le titre NCA Rouiba étant radié des cotations le 26 juillet 2020. Il s’agit des titres EGH El Aurassi - Saidal - Alliance Assurances - NCA Rouiba (jusqu’au 26 juillet 2020) - Biopharm - Droit d’attribution Alliance Assurances (depuis le 22 décembre 2020). Le rapport note, par ailleurs, au chapitre de la valeur des transactions, que les échanges sur le compartiment d’actions ont chuté en 2020 (- 68,5% en une année). Ainsi, la valeur transigée a été divisée par trois au cours de cette période. Un état qui renvoie aux effets de la crise économique dus aux conséquences de la pandémie, qui se sont manifestés d’une façon remarquable durant cette année. Concrètement, la valeur transigée annuelle a évolué de 41,410 millions de dinars en 2014, à 1.251,95 MDA en 2015 pour chuter à 805,500 l’année suivante, à 302,261 MDA en 2017, 205,797 MDA en 2018, pour monter à 248,990 MDA en 2019 avant de basculer à 78,458 MDA en 2020. En matière de volume des transactions, le nombre de titres échangés sur le marché confirme la baisse de l’activité sur le marché secondaire après la reprise enregistrée en 2019. De ce fait, les échanges en volume, souligne le rapport, ont été divisés par 2,88 fois en une année, soit une baisse de l’ordre de 64,8% sachant que 2015 reste l’anné référence par sa performance pour le marché, où le volume échangé avait dépassé les 2,2 millions de titres. Aussi, cette tendance baissière se traduit à travers le nombre de transactions soit 179 transactions enregistrées en 2020. Sur le marché primaire, par ailleurs, on relève qu’en 2020, le marché n’a enregistré aucune opération ou émission de cession de valeurs mobilières. La Cosob a traité, en 2020, deux demandes d’introduction en bourse émanant de deux PME qui ont déposé officiellement des demandes de visa pour une levée de fonds par appel public à l’épargne suivie d’introduction en bourse. Les demandes d’introduction en bourse sur le compartiment PME, concernent deux sociétés activant dans le secteur agro-alimentaire, en l’occurrence, Casbah spa et Viande de la Vallee spa. Ces dernières envisagent de procéder à une levée de fonds dont les montants sont respectivement de l’ordre de 600 et 440 millions de dinars, précise le rapport. Le compartiment en question, indique-t-on, ne compte qu’une seule entreprise cotée depuis le 12 décembre 2018, en l’occurrence, la société AOM Invest, admise avec inscription directe suite au placement de 10% de son capital auprès d’investisseurs institutionnels. Le titre AOM Invest n’a enregistré, durant l’année 2020, aucune transaction, souligne le rapport de la Cosob…………………………………………………………………………. -Le conseil de la monnaie et du crédit a adopté, dimanche 28 mars 2921, un projet de règlement modifiant et complétant le règlement n°07-01 du 3 février 2007 relatif aux règles applicables aux transactions courantes avec l’étranger et aux comptes devises, qualifié par les opérateurs économiques “de principal verrou à l’exportation”. Les mesures introduites, précise la Banque d’Algérie dans son communiqué, “autorisent les exportateurs à disposer de la totalité de leurs recettes d’exportations logées dans les comptes devises, pour les besoins de leurs activités et dispensent de l’obligation des formalités de domiciliation bancaire les exportations de prestations des services numériques, ainsi que celles portant sur les prestations de services des startup et des professionnels non-commerçants”. Les nouvelles modifications visent “non seulement à encourager l’acte d’exportation, en permettant aux exportateurs de disposer de la totalité des recettes en devises générées par leurs activités, mais aussi à capter, in fine, les intervenants dans le domaine du commerce extérieur des services numériques et en ligne, ainsi que les professionnels non-commerçants, en vue de leur intégration dans une démarche d’inclusion financière”, souligne la Banque d’Algérie. Pour cette dernière, les amendements apportés à la réglementation des changes ont pour objectif la promotion des exportations, notamment celles liées à l’économie de la connaissance. Pour rappel, dans le cadre du plan de relance économique, l’objectif à atteindre quant aux exportations hors hydrocarbures a été fixé à 5 milliards de dollars à la fin 2021. Un défi pour un pays qui n’a jamais dépassé la barre des 3 milliards de dollars d’exportations hors hydrocarbures. Les dernières statistiques publiées par la douane algérienne, sur les onze premiers mois de l’année dernière, pointent le caractère marginal des exportations hors hydrocarbures estimées à 2,02 milliards de dollars, en baisse de 14,57% par rapport à la même période de l’année 2019. 75,01% des exportations hors hydrocarbures sont constituées d’engrais minéraux et chimiques azotés, des sucres et sucre de betterave, des huiles et autres produits provenant de la distillation des goudrons de houille, de l’ammoniac anhydre et des ciments hydrauliques. 5 opérateurs sur 1 135 exportateurs ont réalisé 73,32% de la valeur globale des exportations hors hydrocarbures durant les 11 mois de l’année 2020. Les amendements introduits dans la réglementation de change par le Conseil de la monnaie et du crédit abondent dans ce sens et constituent un signal fort en direction des exportateurs. Mais elles restent insuffisantes. Les exportateurs demandent, aussi, de réviser le règlement n°2014-04, de fixer les conditions de transfert de capitaux à l’étranger au titre de l’investissement à l’étranger par les opérateurs économiques de droit algérien, complémentaire à leurs activités de production de biens et de services en Algérie. Le règlement n°2014-04 cerne la nature de l’investissement à l’étranger projeté, à savoir la création de société ou de succursale, la prise de participation dans des sociétés existantes ou l’ouverture de bureaux de représentation. Il définit, aussi, les conditions d’éligibilité à examen par le CMC de la demande d’autorisation de transfert de capitaux au titre dudit investissement et précise les limites maximales des montants à transférer, modulables en fonction des recettes d’exportation de l’opérateur et de la nature de l’investissement. Pour les explorateurs, l’internationalisation d’une entreprise algérienne est un levier de croissance pour l’économie nationale. D’autres mesures, qui ne dépendent pas de la Banque d’Algérie, sont nécessaires pour encourager les exportations hors hydrocarbures. .
  • 28-03-2021
    -La monnaie nationale aggrave ses pertes face au dollar, essentiellement, établissant un nouveau plancher à 140,28 DA pour un dollar cette semaine, lit-on dans les cotations hebdomadaires de la Banque d’Algérie, publiées hier. Le dinar semble ainsi bien parti pour tester les planchers prévus dans le cadrage macroéconomique de la période 2021-2023 qui anticipe un taux de change de 142,20 DA pour un dollar pour cette année, 149,31 DA/dollar en 2022 et 156,78 DA/dollar en 2023. La tendance baissière face au dollar se prolonge, alors que la monnaie nationale s’est légèrement appréciée face à l’euro ces dernières semaines, se négociant à 165,64 DA pour 1 euro, cette semaine, contre un record de 168 DA/euro, il y a trois semaines. Début mars, la valeur de l’euro était fixée, en effet, à 168,88 DA — un record absolu face à la monnaie nationale —, tandis que le billet vert s’échangeait contre 138,47 DA à la même période. La dépréciation est nettement plus visible en variation annuelle, puisque le taux de change du dinar face à l’euro est passé de 137,26 DA/euro le 29 mars 2020 à 165,64 DA/euro cette semaine, alors que son taux de change vis-à-vis de la monnaie américaine est passé de 124,67 DA/dollar au 31 mars 2020 à 140,28 DA/dollar cette semaine.
  • 27-03-2021
    -L’administration fiscale porte à la connaissance des opérateurs économiques que le délai de souscription de la déclaration fiscale série G50 relative au mois de janvier 2021 et les déclarations définitives au titre de l’Impôt Forfaitaire Unique (IFU), séries Gn 12 bis et Gn 12 ter, est prorogé, à titre exceptionnel, jusqu’au 20 mars 2021", précise la même source sur son site web. Aussi, la DGI a invité les contribuables concernés, à l’avenir, à prendre leurs dispositions pour souscrire leurs déclarations fiscales dans les délais légaux. L’Administration fiscale rappelle, en outre, que des mesures de facilitations sont prévues, au profit des contribuables présentant des difficultés financières avérées, pour s’acquitter de leurs obligations fiscales. Ces facilitations portent notamment sur la possibilité d’octroi d’un calendrier de paiement, tenant compte des capacités financières des contribuables, la faculté de souscrire au dispositif de rééchelonnement de la dette fiscale, pour les entreprises confrontées à des difficultés financières. Elles englobent également la remise gracieuse des pénalités de recouvrement, pour les contribuables procédant au paiement de la totalité de leur dette fiscale et parafiscale en un seul versement, dispositif qui prendra fin le 31 décembre 2021. La DGI souligne enfin que les services fiscaux demeurent disponibles pour le traitement et la prise en charge diligente des sollicitations, d’ordre fiscal, susceptibles d’être formulées par les contribuables....................................................................................;
  • 25-03-2021
    -Le marché des assurances en Algérie a enregistré, en 2020, un chiffre d’affaires de 125 milliards de dinars, soit une baisse de près de 5% par rapport à 2019, causée notamment par le recul de l'activité économique nationale, du fait des incidences de la Covid-19, a indiqué, ce jeudi à Alger, un cadre dirigeant à la Société nationale d'Assurance (SAA). "Le chiffre d’affaires enregistré par les compagnies d’assurance en 2020 est de 125 milliards de dinars, soit une régression de moins 5% par rapport aux réalisations de 2019", a précisé. Arbane Hamza à la Chaîne III de la Radio algérienne. Détaillant la structure du chiffre d’affaires, il a précisé que la branche agricole a enregistré à elle seule une baisse de 17%, suivie de celle de l’automobile avec 9%, tout en soulignant que seules les assurances incendie et risques divers (IRD) ont échappé à cette régression en enregistrant une croissance de 1,8 %, "ce qui reste marginal", souligne-t-il. Selon le représentant de la SAA, le chiffre d’affaires de la branche automobile, qui représente pratiquement 50% du chiffre d’affaires des assurances dommage, a été de 62 milliards de dinars. Cette baisse affichée au niveau de cette branche, explique-t-il, est causée par plusieurs facteurs. Il cite en premier lieu, l’impact de la nouvelle taxe anti-pollution sur les véhicules de tourisme et engins roulants, instaurée par la loi de finance de 2019. "Pratiquement tous nos clients ont préféré ne pas revoir le montant de la prime à la hausse en choisissant de payer la même prime, et ce, en diminuant le montant de la garantie", déclare-t-il. Il cite, dans ce cadre, à titre d’exemple, le cas de la SAA en affirmant "qu’au niveau de la SAA, la régression de 2,6 milliards de dinars du chiffre d’affaire en automobile a été carrément due à cette nouvelle taxe". En second lieu, le représentant de la SAA souligne les incidences du confinement imposé par les pouvoirs publics dans le cadre de la lutte contre la propagation du Covid-19, rappelant que cette situation a entraîné la baisse d’activité de plusieurs secteurs. Il a, à ce propos, ajouté qu’au début du confinement, les clients de la Compagnie nationale ne renouvelaient pas leurs contrats d’assurance automatiquement. "Les véhicules professionnels, notamment le transport de marchandises et de voyageurs, étaient pratiquement à l’arrêt. Certains ont préféré suspendre leur police d’assurance jusqu'à la fin de la période de confinement et d’autre n’ont même pas renouvelé leurs contrats, vu la réalité économique", a-t-il ajouté……………………………………. - La monnaie nationale poursuit sa dégringolade en perdant, encore, du terrain face au dollar cette semaine. Le dinar chute à 134,23 pour un dollar sur le marché interbancaire des changes d’Alger. L’euro s’échangeait à 158,5 DA contre 159,12 DA, le 8 mars dernier. La dépréciation du dinar, notamment par rapport au dollar, reflète dans une très large mesure les évolutions des taux de change des principales monnaies sur les marchés internationaux. Depuis le mois de novembre dernier, le billet vert a pris des couleurs face à la majorité des devises. Dans une note publiée en août 2018, la Banque centrale a pris soin de rappeler les principes guidant la politique de change qu’elle poursuit. Le régime de change adopté par la Banque d’Algérie, au début des années quatre-vingt-dix, est un régime de flottement dirigé. Il s’écarte, ainsi, de la fixation purement administrative du taux de change, sans pour autant abandonner totalement la détermination du taux de change aux seules forces des marchés internationaux.
  • 18-03-2021
    -La Banque d'Algérie a lancé ce jeudi à Alger un nouveau billet de 2.000 Dinars algériens (DA) portant le thème "les héros de la Révolution", conçu à l'effigie des six chefs historiques combattants de la guerre de libération nationale, et ce, à l'occasion de la célébration du 19 mars 1962.
  • 13-03-2021
    -Le Premier ministre, Abdelaziz Djerad, a présidé, samedi à Alger, le lancement officiel des services de certification et de signature électroniques et ce dans le cadre d'une stratégie visant l'accélération de la modernisation de l’activité administrative et l’optimisation des performances des services publics. Organisée par le ministère de la Poste et des Télécommunications au Centre international des conférences (CIC) "Abdellatif Rahal", en présence de plusieurs membres du Gouvernement et de représentants d'organes et d'institutions de l'Etat, cette manifestation s'inscrit dans la droite ligne de la stratégie intégrée, adoptée par le gouvernement en vue d'accélérer la modernisation de l’activité administrative et l’optimisation des performances des services publics, en se basant sur les avantages des technologies de l’information et de la communication (TIC) et les facilitations en matière de simplification et d'amélioration des procédures administratives
  • 07-03-2021
    -Dans une note adressée aux P-DG, DG et présidents de directoire des banques et établissements financiers, la Banque d’Algérie a enjoint les banques à appliquer les mesures d’accompagnement des entreprises qu’elle avait prises en avril 2020 à “l’effet de juguler les effets négatifs de la pandémie, sur l’économie nationale”, tout en avertissant qu’elle “prendra, à sa discrétion, les mesures appropriées contre tout manquement qu’elle aura à constater”.
  • 02-03-2021
    -Le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, a indiqué lundi, que le niveau des réserves de change du pays oscille entre 42 et 43 milliards de dollars, assurant que la situation financière du pays n'est pas source d'inquiétude malgré la baisse de ces réserves. S'exprimant au cours d'une entrevue accordée à des responsables de médias nationaux, diffusée lundi soir, M. Tebboune, a affirmé que les réserves de change, qui étaient de 60 milliards de dollars, ont baissé pour se situer actuellement entre 42 et 43 milliards, du fait de la facture des importations et de la baisse des revenus pétroliers. Affirmant que l'Algérie n'est pas dans une situation d'aisance financière, le président de la République a toutefois rassuré que le pays est en mesure de faire face à ses besoins grâce notamment à la politique de régulation des importations.