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Energie (et Mines)

Mois du 04/2020

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  • 30-04-2020
    -Les prix du pétrole sont en hausse jeudi, aidés par des éléments favorables aux prix côté demande, avec des chiffres meilleurs que prévu aux Etats-Unis et un espoir de traitement du Covid-19,et côté offre, avec une coupe de la production norvégienne. Jeudi matin, le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en juin, dont c'est le dernier jour de cotation, valait 25,33 dollars à Londres, en hausse de 12,38% par rapport à la clôture de mercredi. A New York, le baril américain de WTI pour juin gagnait 15,80%, à 17,44 dollars............................................. -
  • 29-04-2020
    -Les cours du pétrole se sont redressés ce mercredi matin, aidé par la perspective d'un déconfinement synonyme de reprise, au moins partielle, de l'activité économique et donc de la demande en pétrole. Ainsi, mercredi matin, Le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en juin valait 21,29 dollars à Londres, en hausse de 4,06% par rapport à la clôture du marché mardi . A noter que Le baril de référence aux Etats-Unis avait notamment dégringolé de 25% lundi, et a temporairement perdu plus de 20% mardi matin, avant de se redresser en séance pour accuser finalement un recul de 3,4% à la clôture.
  • 27-04-2020
    -Les cours pétroliers ont baissé, ce lundi, en raison des inquiétudes persistantes concernant les capacités de stockage alors que le coronavirus contracte la demande, même si les producteurs s'apprêtent à réduire la production pour stimuler les marchés. Ainsi, le prix du pétrole West Texas Intermediate (WTI), référence sur le marché américain, était en baisse de 5,5% à 16 dollars le baril. Celui du baril de Brent de la mer du Nord, référence sur le marché international, cédait 1,4%, à 21,14 dollars………………………………………………………………………. ;; - «Les réserves prouvées de l’Algérie en matière de pétrole sont de 1.340 millions de tonnes, soit 10 milliards de barils et à ce rythme actuel, nous avons encore 27 années de production», a précisé M. Arkab lors de son passage à l’émission invité de la rédaction de la Chaine III de la radio nationale. En plus de ses réserves de brut, M. Arkab a cité «les réserves de gaz naturel qui sont de 2.368 milliards de mètres cubes, auxquels s'ajoutent 260 millions de tonnes de condensat, soit l'équivalent de 4,1 milliards de tonnes de pétrole (Tep)». Ces réserves permettent à l'Algérie de développer son industrie pétrochimique, créer la richesse et contribuer à la relanceéconomique……………………………………………………………………………………………………………………… ;. - Sonatrach Petroleum Corporation (SPC), filiale de la compagnie nationale d'hydrocarbures, a "totalement réfuté" les informations contenues dans des articles de presse, selon lesquelles un haut cadre de Sonatrach serait impliqué dans un différend étudié par la justice libanaise, a indiqué dimanche SPC dans un communiqué. "SPC réfute totalement les allégations inexactes et mensongères sur l’implication d’un haut cadre de Sonatrach dans cette affaire et informe que la personne entendue par la justice libanaise, est un agent maritime indépendant, œuvrant pour le compte de SPC", fait savoir la même source. Cette affaire relève d'un différend qui remonte au 30 mars dernier, quand SPC a été informé par son client, le ministère libanais de l'Electricité et de l'Eau (MEW) d’un souci opérationnel concernant un défaut de qualité sur une des dernières cargaisons de fioul livrée à l’Etablissement Public à caractère Industriel et Commercial Electricité du Liban (EDL) en date du 25 mars 2020.
  • 25-04-2020
    -Le prix du panier de quatorze pétroles bruts (ORB), qui sert de référence à l’Opep s’est établi en fin de la semaine à 15,23 dollars, selon les données de l’Organisation publiées sur son site web. Ce panier de référence de pétrole brut de l'Opep introduit en 2005, a chuté à 12,22 dollars mercredi dernier après avoir débuter la semaine à 14,19 dollars. Il comprend le Sahara Blend (Algérie), Girassol (Angola), Djen (Congo), Oriente (Equateur), Zafiro (Guinée Equatoriale), Rabi light (Gabon), Iran Heavy (Iran), Basra Light (Irak), Kuwait Export (Koweït), Es-Sider (Libye), Bonny Light (Nigéria), Arab Light (Arabie saoudite), Murban (Emirats arabes unis) et Mery (Venezuela)". Vendredi, les prix de l’or noir ont terminé en légère hausse. A Londres, le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en juin s'est apprécié de 0,51%, ou 11 cents, pour finir à 21,44 dollars. A New York, le prix du baril américain de WTI pour juin a gagné 2,7%, ou 44 cents, pour clôturer à 16,94 dollars. Les cours ont ainsi terminé en hausse pour la troisième séance de suite, après s'être effondrés en début de semaine.
  • 24-04-2020
    - Marché pétrolier Baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en juin : 22,05 dollars à Londres, en hausse de 3,38% par rapport à la clôture de jeudi/ A New York, le prix du baril américain de WTI pour juin gagnait 5,58%, à 17,42 dollars
  • 23-04-2020
    -Les cours du pétrole continuent leur yoyo sur les marchés, impactés à la fois par l’abondance des stocks et les effets de la crise sanitaire mondiale, Ce jeudi, vers 06 heures du matin, le baril du Brent a gagné, pour la livraison juin 2,10 dollars soit 10,31%, pour finir à hauteur de 22,47 dollars. Le baril américain du WTI progressait pour sa part de 1,6 dollar, soit 11,61% à 15,38 dollars pour la livraison juin. Ce léger frémissement dans les cours est surtout lié aux dernières déclarations du président américian, Donald Trump, avertissant dans un tweet avoir donné ordre de « détruire » toute embarcation iranienne qui s’approcherait de façon dangereuse de navires américains dans le Golfe.
  • 22-04-2020
    -Mohamed Arkab, ministre de l’Energie, assure ce mercredi, que « la situation actuelle du marché marqué par un effondrement sans précédents des prix du Brent sera dépassée au deuxième trimestre de l’année en cours, tablant son pronostic sur une reprise progressive de l’activité économique mondiale ». A l’occasion de l’installation du nouveau directeur de l’ALNAF, Rachid Nadil, le ministre de l’Energie souligne que l’Algérie appelle à « de nouvelles consultations par vidéoconférence avec les membres de l’OPEP et nos partenaires pour évaluer la situation », ajoutant que l’effondrement des cours « ne doit pas être une source d’inquiétude » «Même si le prix du baril est à 11 dollars, il ne faut pas imaginer que l’Algérie vend à perte son pétrole, la Sonatrach a préparé de scénarios alternatifs pour une diversification de son activité afin d’éviter au pays un plus grand déficit budgétaire », soutient le ministre de l’Energie qui prévoit une « reprise normale de l’activité pour bientôt ».............................................................................. --Les prix du pétrole chutaient lourdement, ce mercredi, après deux séances épiques qui ont vu le WTI faire des incursions en territoire négatif, dans un marché du brut qui vit une situation "dramatique" selon l'Opep. Ainsi, ce mercredi matin, le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en juin perdait 4,76% à 18,41 dollars à Londres, après avoir coté 15,98 dollars plus tôt dans la séance, un plus bas depuis juin 1999. A New York, le cours de WTI américain pour livraison en juin, dont c'est premier jour d'utilisation comme contrat de référence après l'expiration de celui de mai mardi, valait 11,02 dollars le baril, en baisse de 4,75%. "L'effondrement des marchés pétroliers s'est poursuivi dans la nuit avec une nouvelle baisse importante du prix du Brent", a constaté Michael Hewson, analyste
  • 21-04-2020
    Le cours du baril de pétrole américain, qui était devenu négatif lundi pour la première fois de son histoire en raison de la saturation des stocks et de l'effondrement de la demande liés à la crise du coronavirus, rebondit mardi matin en Asie et revient légèrement au-dessus de zéro. Le baril de West Texas Intermediate (WTI) pour livraison en mai s'échange en matinée à 1,10 dollar, contre un prix de clôture de -37,63 dollars lundi soir à New York. Il n'était jamais tombé en dessous de 10 dollars depuis la création de ce contrat en 1983. Déstabilisées par la chute des cours du brut américain lundi, les Bourses asiatiques ont passé la journée de mardi dans le rouge. A Tokyo, le Nikkei a perdu 1,97 % à 19.280,78 points et le Topix, plus large, a cédé 1,15 % à 1.415,89 points. L'effondrement de lundi, expliquent les analystes, est dû en partie à la saturation du dépôt pétrolier de Cushing, dans l'Oklahoma , un des plus importants des Etats-Unis. « Le problème c'est qu'en ce moment dans le monde, personne ne conduit de voiture », a observé le président américain Donald Trump. « Les usines sont fermées et les commerces sont fermés. » Selon les premières estimations, la consommation de pétrole dans le monde a ainsi chuté de 20 millions de barils par jour (mb/j) et jusqu'à plus de 30 mb/j pour les plus pessimistes. Avant la pandémie, le marché tournait autour des 100 mb/j………………………………………………………………………………………………………………………. ;;;; -Les prix du pétrole poursuivent leur baisse enclenchée depuis des semaines, malgré la conclusion de l’accord de l’OPEP+ tablant sur une réduction de 9,7 millions de barils par jour. Les places de cotation répercutent ainsi une forte morosité des marchés englués dans une surabondance jamais égalée depuis des décennies, et la saturation des capacités de raffinage. Selon les analystes, rien n’indique que la spirale baissière des cours de l’or noir, enclenchée dans le sillage de la chute de la demande, provoquée par la pandémie de coronavirus, sera freinée à court terme. Hier, le baril de Brent coté à Londres a reculé sous les 27 dollars. Le Brent pour juin a perdu ainsi 3,8% à 26,99 dollars le baril, alors que le baril américain pour livraison en mai a chuté en dessous de 15 dollars, un nouveau creux en 21 ans, alors que les stocks montent en flèche en raison de l’inadéquation offre-demande créée par le coronavirus. Le contrat West Texas Intermediate a ainsi chuté de 22%, à 14,19 dollars le baril. Bien qu’une grande partie de la crise autour du baril américain soit due au fait que le contrat à terme de mai expirera aujourd’hui, l’effondrement reflète néanmoins, selon Bloomberg, une surabondance de pétrole à croissance rapide et une expansion rapide des stocks en Oklahoma, la plaque tournante américaine des prix. Les stocks de brut à Cushing, en Oklahoma – le principal centre de stockage américain – ont bondi de 48% pour atteindre près de 55 millions de barils depuis fin février, selon les données de l’Agence américaine d’information sur l’énergie (Energy Information Administration ou EIA). L’effondrement des prix se répercute par ailleurs sur l’industrie pétrolière. Ainsi les explorateurs de pétrole brut ont fermé 13% du parc de forage américain la semaine dernière, selon Bloomberg, car la surabondance mondiale de pétrole brut a entraîné une réduction drastique des coûts et des annulations de projets chez les foreurs. En termes de prévisions, les données sont plutôt moroses, l’Agence internationale de l’énergie (AIE), l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) et l’Agence américaine d’information sur l’énergie (EIA) ont toutes mis à jour leurs prévisions de marché pétrolier au cours de la dernière semaine, et font une lecture plutôt sombre de la situation du marché. En février, toutes les trois avaient vu la demande mondiale de pétrole augmenter de près d’un million de barils par jour cette année. Aujourd’hui, elles prévoient une baisse de la demande annuelle moyenne entre 5 millions de barils par jour et plus de 9 millions de barils/jour. L’Opep a estimé, dans un rapport publié le 16 avril, que même la mise en œuvre intégrale des réductions n’empêcherait pas un excédent au deuxième trimestre de l’année en cours, lorsque la demande tombera au plus bas en trois décennies. - Après la chute vertigineuse du prix du baril américain qui a passé hier en dessous de zéro, le prix du baril du Brent, a connu ce mardi à son tour une baisse considérable. En effet, le prix du pétrole algérien (Le Sahara Blend) a connu ce mardi matin une considérable baisse de 5,41 dollars, en une journée, pour atteindre les 16,95 dollars le baril, selon le site « oilprice.com ». Il est à rappeler que le baril de pétrole américain (WTI) a connu hier une chute historique à -37,63 dollars pour la livraison du mois de mai. Avant de se stabilisé ce mardi aux alentours de 15 dollars.
  • 20-04-2020
    -La Sonatrach a signé un Mémorandum d'Entente (MoU) avec le groupe pétrolier et gazier américain ExxonMobil pour engager des discussions conjointes sur les opportunités potentielles d'exploration et de développement en Algérie, indique,ce lundi, un communiqué de la compagnie nationale. Le communiqué souligne que La signature de ce Mémorandum «montre l'intérêt des parties à évaluer les options de collaboration à la suite de la récente promulgation de la nouvelle loi algérienne sur les hydrocarbures», est-il écrit. Pour rappel, jeudi dernier, Sonatrach avait signé deux MoU avec la société russe Zarubezhneft et la société turque Turkiye Petrolleri Anonim Ortakliôi (TPAO), alors qu’à la mi-mars elle avait paraphé un accord similaire avec la compagnie pétrolière américaine Chevron. A noter qu’entrée en vigueur en janvier passé, la nouvelle loi sur les hydrocarbures, qui a maintenu la règle 51/49 et le monopole de Sonatrach sur l’activité transport par canalisation, a réduit de plus de 20% la pression fiscale supportée par Sonatrach et ses partenaires, la portant de 85% à 60-65%. Cette baisse sensible de la pression fiscale est tirée de la réduction des trois impôts principaux que compte le régime fiscal algérien relatif aux hydrocarbures, que sont la redevance sur la production, la taxe sur le Revenu pétrolier (TRP) et l’Impôt complémentaire sur le résultat (ICR). En ne supprimant aucune taxe et en réduisant seulement ces trois taxes, Outre la fiscalité, la nouvelle loi a introduit une autre réforme de fond portant sur l’aspect institutionnel, en clarifiant, pour la première fois, les rôles du ministre de l’Energie, de Sonatrach et des Agences ALNAFT (Agence Nationale pour la Valorisation des Ressources en Hydrocarbures) et ARH (Autorité de régulation des hydrocarbures). La loi des hydrocarbures 05-07 modifiée et complétée prévoyait une trentaine de cas où ALNAFT était obligée d’avoir l’accord du ministre. Mais avec la nouvelle loi, le ministre n’intervient que pour les décisions stratégiques relatives à la politique générale du secteur et non pas dans les questions techniques. L’autre grande réforme apportée par la nouvelle loi est le retour à l’ancien système de partage de production, instauré par la loi des hydrocarbures 86-14 qui avait permis de réaliser les grandes découvertes des années 1990. Dans un système de partage de production, le partenaire étranger n’a aucun contact direct avec l’administration fiscale ou les autres administrations du fait que ses obligations fiscales sont réglées par la Sonatrach. Le partenaire est tenu en vertu de ce contrat de ramener sa contribution financière et technologique, de récupérer ses coûts et d’être rémunéré en contrepartie d’une part de la production pétrolière, négociée avec Sonatrach, qui n’est pas tenue, en revanche, de supporter les risques avec son partenaire. Sachant que l'ancienne loi (la 05-07) prévoyait un seul type de contrat peu flexible et qui ne répondait pas à toutes les formes de projets. Mais après l’échec de ce modèle, l’Algérie est revenue aux trois types de contrats contenus dans la loi 86-14, et que la 05-07 avait supprimés. Par ailleurs, in convient de signaler qu’outre le partage de production, la nouvelle loi prévoit le retour au "contrat de participation", où Sonatrach et la compagnie pétrolière partenaire ont les mêmes droits et obligations en termes de prise de risque, de dépenses, de rémunération, de payement de la fiscalité et de partage de production également. Enfin, il serait utile de savoir que le troisième contrat réintroduit par la nouvelle loi est le contrat de services à risques, qui sera pratiqué lorsque Sonatrach ne souhaite pas que son partenaire partage avec elle la production. Ainsi, l’investisseur étranger investit, supporte les risques avant qu’il ne soit rémunéré en fonction de sa performance, en cash et non pas en contrepartie d’un partage de production. Ce type de contrat est notamment pratiqué pour développer des gisements difficiles à exploiter ou améliorer la récupération des gisements matures. Le choix de l’une des trois formules dépendra de la nature des périmètres proposés à l’exploration et l'exploitation mais aussi de l’investisseur lui-même. ........................................................................................................................................................;; - Mise à jour à 20h30 : A la fin d'une séance infernale, le baril de pétrole coté à New York pour livraison en mai a terminéce lundi pour la première fois sous les zéro dollar, les investisseurs et spéculateurs étant prêts à payer pour s'en débarrasser faute de stockage. Ce contrat expirant mardi à la clôture, ceux qui en détiennent doivent trouver des acheteurs physiques au plus vite. Mais comme les stocks ont déjà énormément gonflé aux Etats-Unis ces dernières semaines, ils ont été contraints de payer des gens pour trouver preneurs: le baril de WTI a terminé à -37,63
  • 18-04-2020
    - L’organisme fédéral américain chargé de la réglementation et du contrôle des marchés financiers, «Securities Exchange Commission» (SEC), vient de confirmer implicitement que la firme italienne, Enie via sa filiale algérienne Saipem, reconnait désormais qu’elle a bel et bien offert des pots de vins pour obtenir des marchés en Algérie. En effet, l’organisme américain annonçait ce vendredi 17 que le groupe pétrolier et gazier italien Eni a fini par accepter un «règlement à l’amiable» dans les poursuites dont il faisait l’objet concernant des infractions aux règles de comptabilité en matière de corruption pour les paiements «irréguliers» par sa filiale Saipem en Algérie, rapporte l’Agence Reuters. La Securities and Exchange Commission souligne ainsi dans son communiqué que Eni avait «violé les livres et registres et les dispositions relatives aux contrôles comptables internes de la loi sur les pratiques de corruption à l’étranger en relation avec un régime de paiement inapproprié» en Algérie par l’ancienne unité Saipem. A noter que Saipem avait été déclaré au dessus de tout soupçon par une cour d’appel italienne il y a quelques mois. Les négociateurs d’Eni se sont certes gardés d’admettre ou de nier les poursuites engagées par Sonatrach. Mais l’organisme américain, précise qu’ils tout de même accepté un «règlement à l’amiable» concernant les infractions aux dispositions relatives aux contrôles et de payer 24,5 millions de dollars en dommages et intérêts, indique Reuters. Pou rappel, cette scabreuse affaire concerne des allégations selon lesquelles l’entrepreneur pétrolier et gazier Saipem aurait versé aux intermédiaires environ 198 millions d’euros pour obtenir des contrats d’une valeur de 8 milliards d’euros avec la Sonatrach. Le nom du sulfureux homme d’affaires-trader, Farid Bedjaoui proche de l’ex ministre dd l’énergie Chakib Khelil, est cité comme étant l’élément clé dans cette transaction bourré de «dessous de table».
  • 17-04-2020
    -L’Algérie a perdu du terrain face à de nouveaux concurrents en matières de fourniture de gaz naturel pour l’Espagne. Selon les données de Cores relatifs aux importations de gaz de l’Espagne durant le mois de février, l’Algérie a été détrônée par les Etats-Unis, pratiquement autosuffisants et exportent pétrole et gaz. En 2018, l’Algérie avait couvert près de 48.5% du gaz naturel consommé en Espagne, en effet la société qui gère les réserves espagnoles d’hydrocarbures, a révélé « qu’un revirement brusque est arrivé en 2019 avec une baisse des achats espagnols en hydrocarbures en provenance de l’Algérie de 38.4%, mais le février 2020 les USA auraient couvert , 27% des importations espagnoles de gaz naturel soit 7.924 GWh, devenant par la livraison d’une quantité pareille en gaz naturel le premier et principal fournisseur depuis trois décennies , l’Algérie est ainsi reléguée à la seconde position des fournisseurs d’Espagne en gaz avec 6.631 GWh, soit une part de marché de 22,6%, loin derrière les Etats-Unis.En outre , le site « aliqtisadia.com » a annoncé que « Les USA depuis le boom du gaz de schiste et depuis l’arrivée de Donald Trump, ont voulu diversifier leurs clients et marchés étrangers surtout en Europe qui était depuis toujours le marché numéro un de l’Algérie, qui en 2018 a couvert 48,5 % du gaz naturel consommé en Espagne », dans le même contexte « L’Algérie est en face d’une compétition déloyale et féroce de la part des plus grands producteurs de gaz (USA, Qatar, Russie) et pétroles (Arabie Saoudite, USA, EAU), précise la même source . Pour conclure le site a évoqué la gestion de productions et des contrats liés aux hydrocarbures en Algérie « Il est temps pour la Sonatrach et l’Algérie de revoir ces contrats et ça façon de négocier avec ces clients pour y inclure de la souplesse et de l’objectivisme car si aujourd’hui, l’Algérie perd presque 50% du marché espagnole (en moins de 12 mois), dans quelques mois on risque de perdre la totalité du marché européen ».
  • 16-04-2020
    -La compagnie nationale des hydrocarbures Sonatrach signe deux Mémorandums d'Entente (MoU) avec la société russe Zarubezhneft et la société turque Turkiye Petrolleri Anonim Ortakliôi (TPAO) Ces deux accords "permettront d'engager des discussions conjointes sur les opportunités concernant l'exploration, le développement et l'exploitation d'hydrocarbures en Algérie notamment à la suite de la promulgation de la nouvelle loi algérienne sur les Hydrocarbures", a souligné la compagnie. La signature de ces deux mémorandums d'entente "confirme le dynamisme retrouvé du domaine minier algérien, dans le cadre des nouvelles dispositions attractives introduites par la loi sur les activités hydrocarbures", s'est réjouie Sonatrach dans son communiqué. Lesdits accords permettront, notamment, "la relance de l'activité Exploration en partenariat et un juste partage des risques dans cette activité capitalistique", a-t-elle soutenu.
  • 14-04-2020
    - La consommation des produits pétroliers, notamment les carburants, a enregistré une baisse drastique depuis le début du confinement sanitaire, entrainant une baisse avoisinant les 50% du chiffre d’affaires de la Société nationale de commercialisation de produits pétroliers (Naftal), a indiqué mardi un responsable de l’entreprise. Ce déclin de la consommation est observé depuis l’instauration du confinement sanitaire, à la mi-mars, en raison de la propagation de l’épidémie du Coronavirus (COVID-19), réduisant la consommation des produits pétroliers, tous types confondus, à des taux allant de 50% jusqu’à 80 %, explique le directeur de la communication de Naftal, Djamel Cherdoud. Par conséquent, la demande sur les essences pour automobile (Normal, Super et Sans Plomb), Gasoil, Sirghaz (GPlc), celle des carburants destinés à l’aviation et la marine, ainsi que sur les lubrifiants, le gaz butane et le bitume, a « fortement chuté » depuis, a-t-il indiqué. En termes de volume, prenant en comparaison les quantités commercialisées en deux journées, l’une avant le confinement sanitaire, soit jeudi 13 février 2020, l’autre pendant le confinement sanitaire, soit jeudi 9 avril 2020, D. Cherdoud, a fait état d' "un recul drastique"………………………………………………………………………………………………. -Selon une déclaration du ministre saoudien de l’Energie, le prince Abdelaziz Ben Salmane, d’autres pays – Etats-Unis, Brésil et Canada – contribueraient soit à des réductions volontaires soit à la réduction des activités de forage de leurs sociétés pétrolières. L’OPEP+ a finalement pu entériner un accord ferme portant sur la réduction de 9,7 millions de barils par jour, en baisse par rapport aux 10 millions de barils par jour initialement prévus mais tout de même qualifié d’historique. L’accord n’a cependant pas été accompagné par un engagement de la part des autres producteurs mondiaux, dont les Etats-Unis, qui ont finalement éludé la proposition d’une réduction supplémentaire de 5 millions barils par jour, tel qu’espéré par l’OPEP+. Les pays membres de l’alliance, qui avait repris dimanche une visioconférence débutée jeudi, ont finalement accepté – suite à une médiation américaine – d’accorder au Mexique un quota de réductions plus restreint que prévu, ce qui a contribué à désamorcer la crise et permis de faire aboutir les négociations. L’accord prévoit ainsi que l’alliance de l’OPEP+, composée de 23 pays, retire 9,7 millions de barils par jour, entre les mois de mai et juin prochains, autorisant le Mexique à réduire de seulement 100 000 barils par jour, au lieu des 400 000 barils par jour initialement prévus dans la première mouture de l’accord proposée jeudi. En outre, selon une déclaration du ministre saoudien de l’Energie, le prince Abdelaziz Ben Salmane, d’autres pays – Etats-Unis, Brésil et Canada – contribueraient soit à des réductions volontaires, soit à la réduction des activités de forage de leurs sociétés pétrolières, face la baisse des prix du pétrole. Les pays hors Opep+ devraient ainsi réduire, selon Bloomberg, 3,7 millions de barils à mesure que leur production diminue. Des chiffres qui ne représentent donc pas de véritables réductions, mais correspondent plutôt aux calculs actuels d’une production qui tourne au ralenti, en raison des aléas du marché. Beaucoup de puits de schiste en Amérique du Nord ont arrêté ou réduit leurs activités, en raison de la chute des prix et de l’offre mondiale abondante. Quoi qu’il en soit, l’accord signé par l’OPEP+ met fin, d’une part, à la guerre des prix enclenchée, depuis le 6 mars 2020, par l’Arabie Saoudite et la Russie, et constitue d’autre part, tel que l’espèrent du moins les acteurs du marché, une parade face aux lourdes répercussions économiques de la pandémie de coronavirus, qui a provoqué une chute, jamais égalée, de la demande mondiale de pétrole. Le Brent a plongé à son plus bas niveau en près de deux décennies, tombant à 20 dollars le baril au cours des dernières semaines, alors qu’il s’échangeait au-dessus de 70 dollars le baril plus tôt cette année. «Nous avons démontré que l’alliance de l’OPEP+ est toujours valide», a en substance déclaré le ministre saoudien de l’Energie à Bloomberg News, quelques minutes après la conclusion de l’accord. «Je suis plus que satisfait de l’accord», a-t-il ajouté. Cependant, à considérer la teneur de l’accord et les circonstances de sa conclusion, il est à constater, selon les experts, que même si Moscou et Riyad ont pu mettre leurs différends de côté pour parvenir à un accord, le plus grand gagnant semble être le président américain. Donald Trump a en effet refusé de réduire la production pétrolière américaine, en dehors des baisses involontaires induites par la chute des prix, tout en pressant Russes et Saoudiens de faire des concessions, et en jouant personnellement les intermédiaires entre le président mexicain Andres Manuel Lopez Obrador, le président russe Vladimir Poutine et le roi Salmane d’Arabie Saoudite. Le fardeau des réductions sera donc à la charge des seuls pays de l’Opep+. La question est maintenant de savoir si les coupes annoncées seront suffisantes pour stabiliser le marché et contribuer à faire remonter les prix de façon durable.
  • 13-04-2020
    -L'accord de l'Opep et de ses partenaires sur une baisse historique de la production de près de 10 millions de barils n'a pas été sans conséquences sur les cours du pétrole repartis à la hausse lundi en Asie. En tout début d'échanges asiatiques, le baril américain de West Texas Intermediate (WTI) a bondi de près de 8% et prenait 3,69% à 23,6 dollars vers 6H00 GMT, tandis que le baril de Brent de la mer du Nord gagnait 3,3% à 32,52 dollars. Pour rappel, l'Opep et ses partenaires sont convenus dimanche soir lors d'une réunion par vidéoconférence de la "plus grande baisse de production de l'histoire", dans l'espoir de faire remonter les prix du pétrole en pleine pandémie de coronavirus et malgré les tensions entre Moscou et Ryad................................................................................................................................. .-Marche pétrolier : Brent de la mer du Nord pour livraison en juin :31,61 dollars à Londres, en baisse de 0,41% par rapport à la clôture de lundi. A New-York, le baril américain de WTI pour mai perdait 1,65%, à 22,04 dollars.
  • 12-04-2020
    -Le méga projet Desertec avance à grands pas, selon le ministre de l’Energie, Mohamed Arkab. En effet et s’exprimant, ce dimanche, sur les ondes de la Radio nationale, le ministre a révélé qu’un accord de principe entre les deux pays a été conclu, début avril, via visioconférence, alors que les échanges restent en cours, selon le même procédé, entre le P-dg de Sonelgaz et la partie allemande pour faire aboutir les négociations et sceller l’accord, «dans les semaines qui suivent» précise Arkab, qui a déploré que n’était la pandémie de coronavirus, les experts allemands auraient été à pied d’œuvre en Algérie. Le premier accord sera éminemment technique et portera sur les capacités de l’Algérie en matière d’énergie solaire et les échanges sur le terrain, a fait savoir le ministre.
  • 11-04-2020
    -La compagnie aérienne, Tassili Airlines (TAL), effectuera une trentaine de vols durant la période allant du 11 au 24 avril en cours pour le transport du personnel de Sonatrach de et vers le sud. Selon les indications fournies par le directeur de la communication de Tassili Airlines (TAL), Karim Bahard c'est à la demande de Sonatrach et après obtention d'une autorisation de vol exceptionnelle auprès instances habilitées que "l'opération de rapatriement du personnel de Sonatrach de et vers le sud". Cette opération, pour laquelle toute la flotte (15 avions) de TAL a été mobilisée, s'étalera du 11 au 24 avril en cours. Ces vols sont programmés au départ et à l'arrivée à partir de plusieurs aéroports au niveau national, notamment d'Alger, Oran, Annaba, Constantine, Hassi-Messaoud, Adrar, In Amenas, Hassi-R'mel et Rhoude-Nouss, selon M. Bahard.
  • 10-04-2020
    -L'Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP) et ses alliés ont convenu, à l’issue de la réunion extraordinaire tenue de jeudi à vendredi par visioconférence, de réduire la production de 10 millions de barils par jour (mbj) dont 200 000 barils pour l'Algérie durant les mois de mai et juin en vue de stabiliser les prix du pétrole impactés par la crise du coronavirus, annonce le ministre de l’Energie, Mohamed Arkab………………………. Les pays de l'Opep + ont décidé également d'un second accord. Celui-ci porte sur une baisse de la production pétrolière de l'ordre de 8 millions (mbj) durant le second semestre 2020, a ajouté le ministre de l'Energie………………. Un troisième accord a été signé aussi par les pays de l'Opep + portant sur une réduction de la production pétrolière de l'ordre de 6 millions (mbj) et ce à partir de janvier 2021 jusqu'au mois avril 2022, a précisé encore M.Arkab……………………………. Les trois accords devront permettre, a-t-il souligné, de réduire aussi les quantités en surplus existant au niveau des stocks pétroliers mondiaux……………………… S'agissant du quota de baisse de la production algérienne, il sera de l'ordre de 200.000 barils par jour (bj) durant les deux mois de mai et juin, avant d'atteindre les 145.000 (bj) pendant le second semestre de l'année 2020, a expliqué le ministre de l'Energie. "Ces réductions sont nécessaires et indispensables pour aider à la stabilité du marché pétrolier", a-t-il indiqué, faisant observer que l'Arabie Saoudite et la Russie vont réduire pour chacune d'elle une quantité de 2,5 millions de barils/j (soit au total 5 millions de barils/j). A l'execption du Mexique pour qui la quantité de réduction de sa production n'a pas été encore fixée, tous les autres pays membres de l'Opep+ ont paraphé ces trois accords de baisse, a tenu à signaler le ministre de l'Energie. Par ailleurs, M. Arkab a affirmé que les pays de l'Opep+ ont convenu de convaincre, lors de la conférence virtuelle des ministres de l'Energie du G20, prévue vendredi, les autres producteurs pétroliers mondiaux d'adhérer aux présents accords. Ainsi, la Russie, l'Arabie Saoudite et le Mexique, en tant que pays membres du G20, ont été chargés, selon le ministre de l'Energie, de mener cette mission en vue de faire participer les autres producteurs mondiaux à une réduction supplémentaire de 5 millions barils par jour de manière à soutenir les efforts déployés pour la stabilisation du marché pétrolier.
  • 09-04-2020
    -L’Organisation des pays exportateurs de pétrole OPEP et non-OPEP, décide, ce jeudi, d'opérer une importante réduction de sa production de l'ordre de 10 million de barils par jour à compter de mai prochain afin d’arrêter la chute libre des prix du pétrole suite à la crise sanitaire mondiale du Coronavirus………………………………………………………………………………………………………………. -Les prix du pétrole grimpent ce jeudi 9/4/2020 encouragés par les signaux positifs envoyés notamment par la Russie et le Koweït, avant une réunion décisive des principaux pays producteurs pour enrayer la chute des cours……………………………………. Ainsi, jeudi matin, le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en juin valait 33,85 dollars à Londres, en hausse de 3,08% par rapport à la clôture de mercredi, alors qu’ à New York, le baril américain de WTI pour mai gagnait 4,03%, à 26,10 dollars………………………………………………………………………………………………………………….. - le prix du panier de quatorze pétroles bruts (ORB), qui sert de référence à l’Opep s’est établi à 21, 19 dollars mercredi, 8 selon les données de l'Organisation publiées jeudi sur son site web.
  • 08-04-2020
    - Marché pétrolier .Brent mer du Nord, livraison juin, 32,60 $ / Wti, livraison mai, 24,92 $
  • 05-04-2020
    - L'Algérie, qui assure la présidence de la Conférence de l'Opep, a appelé ce dimanche les producteurs de pétrole à saisir l’opportunité de la réunion prévue le 9 avril, pour "privilégier le sens de responsabilité" et aboutir à un accord sur une réduction de la production pétrolière qui soit "globale, massive et immédiate.......................................................................................... - Modalités de suivi et de l'évaluation du Fonds national pour la maîtrise de l'énergie et des énergies renouvelables et de la cogénération , fixées par arrêté interministériel -Joradp n° 19 du 2 avril)
  • 03-04-2020
    - Naftal: Recul de l'activités de 50% depuis la deuxième quinzaine de mars................................................................ - Marche pétrolier. Brent mer du nord, livraison juin: 33,18$ / Wti, livraison mai: 26,78 $
  • 01-04-2020
    - Coronavirus. Rush sur les carburants suite à une rumeur de "confinement général". Naftal et le ministère de l'Energie démentent toute pénurie ou rupture de stocks.Ils rassurent; toutes le stations services sont ouvertes 24h/24 et 7j/7.............................................................................. - Marché pétrolier Brent mer du nord, livraisn juin 25,11$ / Wti, livraison mai: 20,27$