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Very influent personalities (Vip 2012) - Top 15

Date de création: 12-12-2012 20:09
Dernière mise à jour: 14-01-2013 13:37
Lu: 2298 fois


SOCIETE - PERSONNALITES - VERY INFLUENT PERSONALITIES (VIP 2012) - TOP 15

Pour la quatrième année consécutive, le site www.almanach-dz.com présente sa liste des personnalités les plus influentes (Very influent personalities) . Durant les deux premières années , la liste avait sacrifié aux canons habituels en se limitant à un Top ten (10) . Depuis  2011, il s’agit d’un TOP 15.

Le choix se porte  non sur des personnalités occupant des postes de décideurs (dites "importantes") , mais sur des personnalités (ou groupes de personnes)   qui, tenant compte de leur notoriété, position, fonction et actions ont un « pouvoir » d’influence sur tout ou partie (s) de la  société et/ou sur la vie quotidienne des citoyens et leur devenir   

Le choix s’est fait sur la base d’une observation continuelle des médias(et de la société )  tout au long de l’année , avec, en parallèle,  la récolte   d’avis et d’opinions , tout particulièrement dans les milieux de l’enseignement universitaire  et de la presse. Belkacem Ahcene-Djaballah

RAPPELS : VIP 2011 (TOP 15),  Daho Ould Kablia, ministre de l'Intérieur et des Collectivités locales / VIP 2010 (TOP 10), Gendarme et-ou Policier chargé de la circulation routière / VIP 2009 (TOP 10), Bouteflika Abdelaziz, Chef de l'Etat.               Voir FICHES DOCUMENTAIRES                                                                                                                                                      1/SELLAL ABDELMALEK……64 ans, né à Constantine, diplômé de l’Ena ,
administrateur, chef de daira, wali dans cinq  wilayate, conseiller
technique dans un ministère, chef de Cabinet et DG au Mae ,
ambassadeur (Hongrie) , six  fois ministres ( Intérieur et
Collectivités locales,  Jeunesse et Sports, Travaux publics,
Transports, Ressources en eau par deux fois),  et un ministère pour un
intérim (Transports) ,  il a dirigé, avec doigté et efficacité,  les
staffs des deux campagnes électorales présidentielles de Abdelaziz
Bouteflika.  Il est désigné  Premier ministre le 4 septembre 2012. Il
est connu et apprécié , par tous (et les journalistes en particulier
dont il a été toujours un « bon client ») , pour sa disponibilité ,
son optimisme et son sens de l’ humour populaire : Par son style de
gouvernance assez souple, il  réussit toujours  à détendre et à
décrisper les climats chargés. Homme accessible , « toujours partant,
jamais placé »….jusqu’ici, il est apprécié par l'Algérien ordinaire.
Voici ce qu’écrit un site électronique juste après sa nomination : «
Abdelmalek Sellal possède un profil intéressant. Contrairement à
Ouyahia, il n’est pas dans une logique de clivage permanent dressant
les Algériens les uns contre les autres. Son bilan est également
positif. À la tête des Ressources en eau, il peut se vanter d’avoir
réglé en partie, certes à coups de milliards de dollars, le problème
de la distribution de l’eau dans les grandes villes. Son secteur a
également été épargné par les scandales de corruption qui ont secoué
ces dernières années les grands projets d’infrastructures du
président, notamment l’autoroute Est-Ouest ». Un commentateur le
décrit comme « un homme du système politiquement inclassable » alors
qu’un autre trouve en lui le « déverrouilleur psychologique au service
de Bouteflika ».Et, on peut le classer comme un des meilleurs
connaisseurs du Sud du pays, où il a séjourné longtemps, en tant que
wali (Adrar et Laghouat). Ceci expliquerait-il cela ?

2/ PROCUREURS DE LA REPUBLIQUE…..Chargés d’étudier les dossiers
(présentés par les citoyens) et de fournir des décisions de justice
autorisant des  corrections et/ou des rectifications éventuelles (en
cas d’erreurs , d’oublis, de destruction, de disparition, de mauvaise
transcription, en arabe ou en français, au niveau des APC…) de
documents d’état-civil  …….bien souvent  nécessaires à l’obtention ,
auprès des services communaux, d’un 12 S correct….passage obligé pour
l’élaboration du passeport biométrique (auprès des daïrate ou des
consulats à l’étranger)

3/ GUENAIZIA ABDELMALEK…………..76 ans, né à Souk Ahras, il est ministre
délégué auprès du ministre de la Défense nationale  depuis le 1er mai
2005. Général-major à la retraite (il a été chef d’état-major de l’Anp
en 1990 et il quittera le poste en 1993 pour être remplacé alors
par le général Lamari Mohamed) , ancien ambassadeur à Berne , il avait
participé au lancement du chantier de la professionnalisation de
l’armée en 1984.  Il est passé des 31ème et 32ème  rangs protocolaires
ministériels dans les gouvernements de Belkhadem et de Ouyahia (2007
et 2008) …à la seconde place , juste après le Premier ministre,  dans
le gouvernement de Sellal le 4 septembre 2012 ; les ministres d’Etat
ayant disparu, il est vrai,  de la liste . De plus, depuis le 28
octobre 2012, ses missions et attributions ont été, par décret
présidentiel (le Chef de l’Etat étant le chef des Armées …...et
ministre de la Défense nationale) ,  modifiées et complétées….. en
quelque sorte élargies (ou renforcées). Un chef discret et efficace.
Sportif et jovial, il est connu pour sa courtoisie. Il est titulaire
de l’Etoile militaire et de la  médaille commémorative , décernée à
l’issue de la guerre de Kippour, par le Président de la République
Arabe d’Egypte.

4/ BOUDERBALA  ABDOU………………59 ans,  né à Aflou mais ayant grandi entre
Mascara et Béchar. Licencié en droit et sciences
administratives. Directeur de la législation fiscale à la DGI
, ministère des Finances), puis DGI, il est Directeur général des
Douanes Algériennes depuis le 29 juin 2006.Son expérience, acquise au
sein de l’Administration centrale, lui a permis, à partir de 2007,  de
lancer un ambitieux programme de modernisation et de « mise à niveau»
des Douanes algériennes, une institution-pivot de l’économie
nationale, alors empêtrée dans la bureaucratie ,  et (encore ?)
éclaboussée par des « affaires » internes et externes et subissant le
poids des lobbies . Son challenge sera de préparer, avec d’autres
institutions,  les Douanes algériennes à l’adhésion de l’Algérie à
l’OMC  et au démantèlement tarifaire prévu dans quelques années avec
l’Union européenne.  Il sera alors jugé sur sa capacité à organiser la
protection de l’économie sans tomber dans le protectionnisme

5/ HALILOZIDC VAHID………….. 60 ans, entraîneur de l’équipe nationale de
football depuis le 22 juin 2011 et ce pour trois années . De
nationalité bosnienne , et  de nationalité française depuis 1995,
ancien joueur professionnel et entraîneur dans des clubs européens  ,
le  « Coach  Vahid »  a réussi,  et ce n’est pas peu, à qualifier la
formation
algérienne à la Can 2013 ….  à la positionner dans le Top 20 du
classement mondial de la Fifa , et il a pour objectif la qualification
à la prochaine Coupe du monde de football. « Bosseur » et hargneux , ,
rigoureux et dévoué, respecté par les joueurs, il a réussi, pour
l’instant ( ?) à faire face aux « coups bas »  et aux
dénigrements…dans un pays qui compte «trente millions d’entraîneurs de
l’équipe nationale de football »

6/ LAKSACI MOHAMED ……………  56 ans, né à Aoulef (wilaya d’Adrar), ayant
étudié à l’Université Catholique de Louvain en Belgique ,assistant à
l’Ecole Supérieure de Commerce d’Alger  en 1987,il passe à la Banque
d’Algérie en 1990 en qualité de Directeur des Etudes avec Hadj Nacer
Abderrahmane comme gouverneur, lui aussi issu de la même université,
au moment des réformes économiques lancées par Mouloud Hamrouche
.Après le départ de Keramane,  il occupe le poste de  Gouverneur de la
Banque d’Algérie à ce jour . Grand «argentier » du pays depuis très
longtemps, son nom et son institution  se confondent….avec les
réserves de change en devises du pays. Peut-être trop de discrétion et
assez peu de communication …en dehors des conférences officielles
habituelles….même durant les phases les plus difficiles de
l’entreprise (dont le récent incendie à l’hôtel des monnaies) . Ce qui
explique en partie , au delà de sa personne, que l‘indépendance de son
institution reste encore bien  relative . Il est, aussi, président du
Conseil de la Monnaie et du Crédit et, depuis 2012, président de
l’Association des banques centrales d’Afrique, ABCA, dont il était
vice-président




7/ RAHMANI CHERIF……………….. 67 ans , né à Ain Oussera/ Wilaya de Djelfa,
diplômé de l’Ena et Docteur en Aménagement du territoire, wali de
Tébessa, Directeur général des collectivités locales au ministère de
l’Intérieur, Inspecteur général à la Présidence de la République,wali,
secrétaire  général du ministère de l’Intérieur (avec El Hadi Khediri)
 ,  plusieurs fois ministre (Jeunesse et Sports, Equipement,
Equipement et Aménagement du territoire, ministre en mission
extraordinaire de l’Administration de la wilaya d’Alger, ministre -
gouverneur du Grand Alger, ministre de l’Aménagement du Territoire et
de l’Environnement , ministre de l’Aménagement du territoire, de
l’Environnement et du Tourisme,  ministre de l’Aménagement du
territoire et de l’Environnement  et,  depuis le 4 septembre  2012,
dans le gouvernement Sellal, ministre de l ’Industrie, de la  Pme et
de la Promotion des investissements. Il a donc  fait  toute sa
carrière dans l'administration.  Membre de la direction du
Rassemblement national démocratique ( RND),il avait été élu député RND
de Djelfa , en mai 2012
Il est,  aussi, président de Déserts du monde , une Organisation
intergouvernementale (OIG) internationale indépendante regroupant des
membres fondateurs venus de tous les pays et de tous les horizons,
créée en 2002,  et dont le siège est à Ghardaia. Il a été  , par
ailleurs, porte-parole honorifique de l’Année internationale des
Nations unies pour les déserts et la lutte contre la désertification
(en 2006). Il a beaucoup fait pour l’amélioration de l’Environnement
en Algérie, ne serait-ce que sur le plan réglementaire, mais il a été
souvent critiqué pour ses « silences » face aux facilités accordées
aux princes du Golfe qui, entre autres « largesses », venaient, en
Algérie,  chasser des espèces rares ou en voie de disparition comme
l’outarde.

8/OULD KHALIFA LARBI……..74 ans, né à Tizi-Ouzou ( ?), à Béjaia ( ?),
à Souk Ahras ( ?), en fait à Ain Draham, dans une famille originaire
de Ain El Hammam (Kabylie), président de l’Assemblée populaire
nationale depuis 2012, après avoir été Président du Conseil supérieur
de la Langue arabe (Csla) , ancien ministre (deux secrétariat d’Etat
entre 1980 et 1984) et ancien ambassadeur (Iran et Yémen).
Homme de consensus (il est apprécié, dit-on,  par les « frondeurs » du
Fln) et discret, il a été membre du comité exécutif du Fln de 2005 à
2009 après le départ de Ali Benflis et il s’est retrouvé « tête de
liste » Fln à Alger lors des dernières élections législatives…. au
détriment de ténors, alors que la place était convoitée par plusieurs
« dinosaures » du parti .On dit qu’il a été « imposé » à la présidence
de l’ APN face à Rachid Haraouabia. Professeur d’université ,
spécialiste de la langue arabe, auteur d’ouvrages historiques et
philosophiques, parfait polyglotte (arabe, tamazight,  français,
anglais…….et  dit-on, le farsi), il est très apprécié pour son sens
des relations humaines, du dialogue et, surtout , pour son combat
intellectuel pour  l’ouverture du pays à l’universel et à la
modernité, tout en restant bien ancré dans l’authenticité
arabo-musulmane et berbère, dont les langues sont la base. Certains
lui reprochent son manque d’autorité…mais les apparences sont bien
souvent …trompeuses


9/ TEBBOUNE ABDELMADJID…………….67 ans, né à Mechria (Naâma). Diplômé de
l’ENA, 2è promotion. Plusieurs fois wali (Djelfa, Adrar, Tiaret,
Tizi-Ouzou), ministre délégué chargé des collectivités locales,
ministre de la Communication et de la Culture, de nouveau ministre
chargé des collectivités locales, ministre de l’Habitat et ce
l’Urbanisme . Il a représenté le président A. Bouteflika lors de
plusieurs missions à l’étranger après son départ du gouvernement.
Ministre de l‘Habitat depuis le 4 septembre 2012 dans le nouveau
gouvernement de A. Sellal. Un poste qui se conjugue intimement avec
l’insondable et inextricable problème du logement dont la demande ne
que fait que croître . Chargé de la  Communication en 1999, il avait
alors contribué (discrètement, mais efficacement), en avril 2000,  à
la mise place , par les journalistes , d’un Conseil de l’Ethique et de
la Déontologie. Sous des dehors tranquille et discret, il  a un sens
efficace de la communication. Va-t-il réhabiliter la justice sociale
si demandée par les demandeurs de logements ? Ce qui est sûr, c’est
qu’il fera tout pour démontrer son efficacité dans ce secteur sensible
sur le plan social et que son éviction momentanée était imméritée




10/ TOUMI KHALIDA………………54 ans, née à Ain Bessam/Wilaya de Bouira,
ministre (de la Communication, au départ ) et de la Culture …depuis
2003,  elle a réussi à imposer son style de gouvernance, ses
idées…..et certains changements dans un secteur assez «léthargique»,
tout particulièrement en matière de préservation et de promotion du
patrimoine culturel. Elle a réussi à « tirer son épingle du jeuj» et à
mener « à bon port » les  « Années »  et les multiples festivals, tout
en affrontant résolument les diverses « attaques » émises ça et là.
Son expérience politique dans le mouvement associatif et au Rcd (son
parti politique d’origine qu’elle représenta à l’Apn) lui a beaucoup
servi pour les esquiver (les attaques)  , résister et agir sans
complexe. Son charme  et ses efforts pour maîtriser la langue
arabe ont plu….Bénéficiant de moyens budgétaires importants, certains,
par contre, lui reprochent un penchant pour les « grands-messes » et
l’événementiel médiatisé au détriment ,disent-ils,  de la diffusion et
la formation culturelle à large échelle au sein de la société , des
régions ,et des villes et villages du pays . Il est vrai que la
plupart des collectivités locales, surtout  les communes (Apc)  ne
font pas de grands efforts en ce sens, se contentant d’attendre les «
idées » et les « initiatives » de l’Etat et de l’Administration
lcentrale.

11/ HADDAD ALI……………47 ans, né à Azzefoun, vice-président du Forum des
chefs d’entreprises, c’est l’un des propriétaires et Pdg du groupe
(familial) spécialisé , au départ , dans les Travaux publics
l’Etrhb-Groupe Haddad. Propriétaire , aussi, et entre autres, de deux
quotidiens de presse  (Le Temps d’Algérie , en français et El Waqt ,en
arabe) et d’une chaîne web de télévision (www.dzairwebtv.com) . Il est
propriétaire  d’un des plus fameux clubs de football professionnel,
l’USM Alger, club de Ligue 1 qui draine derrière lui une bonne partie
des supporters de la ville d’Alger et de ses environs. Il pèse lourd
dans le secteur du BTP et notamment en matière de réalisation de
marchés publics (aujourd’hui, avec plus de 6 000 collaborateurs et
beaucoup de partenaires étrangers, il est dans l’habitat, le tourisme,
la concession automobile et des engins de chantier…) . Sa réussite
rapide et fulgurante suscite des jalousies qui ne l’inquiètent pas
outre mesure, tout en ayant conscience que son groupe doit  résoudre
et réussir sa phase de croissance pour asseoir sa pérennité et ses
performances dans le cadre d’une plus grande ouverture

12/ HACHEMI SOUHILA….. Journaliste à la Chaîne 3, après avoir  suivi
des études de droit, elle anime , tous les matins, du dimanche au
jeudi, durant  la « matinale »,  une émission phare : « L’Invité de la
rédaction »..qui a été animée par le passé par les défuntes Meriem
Yacine et Ghania Chérif .  Vingt cinq  minutes  chrono (8h 20 – 8h
45) avec un décideur ou un expert, selon l’actualité du moment.
Ministres, Pdg, Dg, Directeurs d’Administration centrale, Professeurs
d’Université, Entrepreneurs, Syndicalistes, Elus….tout y passe. Une
femme-orchestre qui , bien souvent, n’hésite pas à bousculer ses
invités , par un style inquisiteur, afin qu’ils aillent jusqu’au bout
de la « vérité ». Faute d’émissions similaires sur les autres chaînes
de radio du service public , son émission est devenue culte et courue
par les personnalités de différentes sphères pour informer l’opinion
nationale sur les questions de fonds et d’actualité . Cela n’enlève
rien à son mérite et à sa volonté pour « s’accrocher » et « se frotter
» à des sujets bien différents et complexes , même pour des initiés
D’autant que
l’heure de diffusion, le matin,  est parmi la plus propice à l’écoute
….dans les embouteillages. Devenue une véritable « agence de presse »
pour les quotidiens, elle a un credo , propre à tout bon
journaliste professionnel  : suivre l’actualité et se documenter. Son
ambition : « Faire son métier au mieux »








13/ KAMEL DAOUD…………… 42 ans, né à Mostaganem, journaliste –chroniqueur
au Quotidien  d’Oran, tenant une chronique « Raina-Raikoum », il est
aussi un écrivain ayant obtenu, entre autres, le Prix Mohamed Dib en
2008, . Abordant les sujets politiques d’actualité ou parmi les plus
délicats, il  « choque» par son style caustique en allant « droit au
but » et par l’usage de formules qui déplaisent à certains (surtout
les décideurs) ou qui  « font plaisir » à beaucoup  d’autres (surtout
les lecteurs) . Il convainc par un  déroulé toujours bien argumenté et
 chargé de vérités (plus amères que douces). Peut-être un peu trop
polarisé sur les questions de « pouvoir » ?

14/ BOUAKBA SAAD……………..65 ans , né à El Harrouch (Skikda), parmi les
premiers diplômés arabophones de l’Ecole nationale supérieure de
journalisme de l’Université d’Alger, ancien journaliste d’Echaâb avant
 l’ouverture du champ médiatique , animateur du Mouvement des
journalistes algériens (Mja) , ancien Dg d’El Massa, co-fondateur,  en
1991 d’Echourouk El Ousboui puis d’Echourouk quotidien avec  Ali
Fodil, chroniqueur à El Fedjr puis, actuellement, à El Khabar (avec
son « Point d’ordre »,  titre qui dure depuis des décennies , avec son
 même logo) . Ses écrits sont , par la pertinence de leur contenu et
par l’impertinence de leur forme, toujours suivis avec « anxiété » par
les hommes politiques, alors que les lecteurs trouvent en lui un
«concasseur » de mots qui font mouche, celui    qui étale,
quotidiennement,  au grand jour, en empruntant parfois le langage et
les dictons du terroir, leur exaspération ou leurs fantasmes. Il se
classe dans la même famille que Kamel Daoud , Hakim Laâlam, Chawki
Amari, El Guellil,  Dilem, Ayoub, le Hic…et, par le passé, Sas…même
s’il est bien plus porté sur la polémique

15/ CHEKKAT KAMEL…….45 ans,  né à Alger, directeur d’édition ,
rédacteur en chef –adjoint à la Revue des études islamiques du HCI,
activant dans des associations comme l’AAPF et le réseau Nada, c’est
l’assez jeune membre et une « étoile  montante » de l’Association des
Ulémas Algériens. Il est  consultant (en affaires religieuses) à la
radio (Chaîne III) et la télévision nationales (Canal Algérie, TV
Coran) ….et,  souvent, collaborateur de journaux. Maîtrisant les
langues étrangères (français, allemand et italien), il est apprécié
pour son érudition, ses  analyses fines et précises des textes
religieux les plus complexes,
son ouverture d’esprit…et sa liberté de ton, en arabe et en français (
il maîtrise aussi  l’allemand et l’italien), il a largement dépassé
ses orientations politiques de jeunesse. Producteur d’une  pédagogie
de qualité pour expliquer et clarifier des notions bien difficiles
pour le commun des mortels,  il rend les concepts et les préceptes de
la spiritualité simples et accessibles à tous .  L’ «étoile montante »
de l’Association ? En tout cas, l’espoir d’une Algérie tolérante, et
ouverte sur la modernité et l’universel.
POUR TEXTE EN ARABE, Voir EL  MASSA Quotidien) en date du 13 janvier 2013