Nom d'utilisateur:
Mot de passe:

Se souvenir de moi

S'inscrire
Recherche:

Sciences (et Recherche scientifique)

Journée du Lundi 18/05/2021

<< novembre 2024 >>
sam dim lun mar mer jeu ven
26 27 28 29 30 31 1
2 3 4 5 6 7 8
9 10 11 12 13 14 15
16 17 18 19 20 21 22
23 24 25 26 27 28 29
30 1 2 3 4 5 6



-Quatre (04) membres, sur les 46 que compte l’Académie algérienne des sciences et technologies (AAST) figurent parmi les 2% meilleurs scientifiques au monde, selon un classement qui vient d'être réalisé par une équipe de l'université américaine de Stanford, a annoncé mardi l'Académie. Il s'agit des Dr Houria Triki, Dr Adel Belouchrani, Dr Azzedine Bousekssou et du Dr Oualid Hamdaoui, activant dans diverses spécialités, précise à l'APS, la présidente de l’AAST, Pr M. Allab-Yaker, se réjouissant de "ces très hautes distinctions scientifiques et technologiques internationales qui honorent leurs récipiendaires et procurent une très grande satisfaction autant pour l'Académie que pour l'Algérie". Cette classification, ajoute-t-elle, vient s’ajouter à celle obtenue tout récemment par le Dr. Azzedine Boussekssou, établi en France et Directeur de Recherche-Classe Exceptionnelle (ERC), qui a été récipiendaire d'une prestigieuse Bourse ERC sénior 2021, attribuée par le Conseil Européen de la Recherche. La bourse en question lui a été octroyée à la suite d'un projet sélectionné dans "un contexte hautement compétitif au niveau européen" et portant sur l’élaboration de "Matériaux moléculaires pour une nouvelle génération de muscles artificiels", détaille-t-elle, faisant savoir que les bourses ERC sénior (avoisinant les 3 millions d’euros) "permettent à des scientifiques, reconnus aux niveaux national et international, de mener des projets novateurs à haut risque et ouvrant de nouvelles voies dans leur discipline ou dans d’autres domaines". Ce pourquoi, elles sont considérées par les chercheurs européens comme un pré-Prix Nobel dans une discipline donnée, souligne la directrice de l'Académie algérienne, avant de conclure: " Cela prouve que l'Algérie dispose d'un vivier de compétences qui ne demandent qu'à travailler pour peu qu'elles en aient les moyens et qu'elles bénéficient de la reconnaissance qu'elles méritent".