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Défense (et Sécurité nationale)

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  • 31-05-2021
    --Dans la dynamique de ses visites d’inspection au niveau des différentes Régions militaires, le général de corps d’Armée Saïd Chanegriha, chef d’état-major de l’Armée nationale populaire, a effectué, lundi, une visite de travail en 1re Région militaire à Blida, a indiqué un communiqué du ministère de la Défense. A l’entame et après la cérémonie d’accueil par le général-major Sidane Ali, commandant de la 1ère Région militaire, le général de corps d’Armée a observé une minute de recueillement à la mémoire du Chahid «M’hamed Bougara», commandant de la Wilaya 4 historique, dont le siège du Commandement de la Région porte le nom, et a déposé une gerbe de fleurs devant la stèle commémorative, avant de réciter la Fatiha à la mémoire de tous nos vaillants Chouhada. Par la suite, le général de corps d’Armée a tenu une rencontre avec les cadres de la 1re Région militaire, où il a adressé une allocution d’orientation, diffusée par visioconférence à travers toutes les unités de la Région, lors de laquelle il a souligné que le devoir impose à tous les personnels de l’Armée nationale populaire, non seulement de s’acquitter de leur devoir électoral à l’occasion des élections législatives, mais également de veiller à sécuriser et assurer le bon déroulement de cette importante échéance nationale, pour permettre aux citoyens de s’exprimer dans un climat de sérénité, de quiétude et de stabilité. «Notre pays vivra, dans les quelques jours à venir, une importante échéance électorale, à savoir, les législatives prévues pour le 12 juin prochain. Cet évènement national, d’une vitalité extrême pour notre pays et notre peuple, représente une nouvelle étape prometteuse dans le processus d’édification de l’Algérie nouvelle. Ces élections interviennent suite au dernier amendement constitutionnel, initié par Monsieur le Président de la République, Chef suprême des Forces armées, ministre de la Défense nationale, et plébiscité par le peuple algérien, à travers un référendum populaire», a indiqué le général de corps d’Armée. Le général de corps d’Armée a ajouté : « A cet effet, le devoir de citoyenneté impose aux personnels de l’Armée nationale populaire de s’acquitter de leur devoir électoral, conformément aux lois républicaines, afin de se joindre à leurs concitoyens dans l’accomplissement de ce devoir national, en s’exprimant en toute liberté et transparence.» En outre, dans le but de sécuriser cette importante échéance nationale et d’en assurer le bon déroulement, afin de permettre aux citoyens de s’exprimer dans un climat empreint de sérénité, de quiétude et de stabilité, il appartient à tous les Commandements d’appliquer rigoureusement les instructions et les orientations émanant du Haut Commandement dans ce contexte, et de veiller à mettre en échec tout plan ou action visant à perturber le déroulement de ces élections, a mentionné le général de corps d’Armée. Le général de corps d’Armée Saïd Chanegriha a affirmé également être pleinement convaincu que le peuple algérien est devenu, plus que jamais, conscient, et ne peut être manipulé ou poussé dans des dédales périlleux et qu’il se mobilisera contre tous les desseins pernicieux, pour repousser ainsi ceux qui guettent notre pays. «Nous sommes pleinement convaincus que le peuple algérien est devenu, plus que jamais, conscient qu’il ne peut être manipulé ou poussé dans des dédales périlleux, qu’il se mobilisera contre tous les desseins pernicieux, pour les contrecarrer et affronter ceux qui les trament, et se tiendra, comme à l’accoutumée, tel un seul homme aux côtés des institutions de l’Etat, face à ceux qui guettent le pays», a affirmé Saïd Chanegriha, chef d’état-major de l’Armée nationale populaire. Il a poursuivi en soulignant que «c’est un peuple authentique, forgé par les épreuves et l’adversité, et qui a mené une des plus glorieuses révolutions de libération de l’histoire contemporaine et vaincu les plans du terrorisme barbare. Un peuple mû par des valeurs, des principes, une volonté et une ambition qui lui permettent de s’inscrire sur la voie du progrès et du développement, de constituer une puissance réelle, et de continuer, avec détermination et résolution, à aller de l’avant afin de concrétiser ses attentes légitimes pour construire un Etat puissant, moderne et prospère». A l’issue, le général de corps d’Armée a présidé une réunion de travail avec le Commandement, les cadres de la Région, les commandants des Secteurs militaires et les responsables des services de sécurité. A cette occasion, un exposé sur la situation sécuritaire en territoire de compétence a été présenté par le commandant de la 1re Région militaire, suivi des exposés des commandants des Secteurs militaires et des différents services de sécurité. Ensuite, le général de corps d’Armée a dispensé une série d’orientations et d’instructions axées, dans leur ensemble, sur la nécessité de préserver la disponibilité opérationnelle des unités et de réunir les facteurs de sécurité et de stabilité à travers tout le territoire de la 1re Région militaire, notamment à l’occasion des prochaines législatives. Enfin, le général de corps d’Armée a procédé à l’inauguration du siège du nouveau Centre payeur régional.
  • 30-05-2021
    © El Wattan, Salima Tlemcani L’ancien commandant de la 4e Région militaire, le général-major Abderrazak Cherif, a écopé d’une peine de 15 ans de réclusion criminelle, prononcée tard dans la journée de jeudi dernier, par la cour d’appel militaire de Blida, confirmant ainsi la décision du tribunal (militaire de Blida) de première instance. La condamnation est assortie de la confiscation de tous les biens de l’accusé, de ses enfants et de son épouse, à l’exception de la maison familiale. Poursuivi pour deux chefs d’accusation – «trafic d’influence» et «enrichissement illicite» –, le haut gradé a été condamné pour avoir érigé, avec les membres de sa famille, notamment ses enfants, une importante fortune en Algérie et à l’étranger, dont il n’a pas pu, selon l’enquête judiciaire, «justifier l’origine». La cour d’appel n’a fait en fait que confirmer la peine de 15 ans de réclusion criminelle infligée à l’accusé le 13 novembre 2019 par le tribunal militaire de Blida, déboutant ainsi le parquet général qui avait requis la peine maximale de 20 ans de réclusion et créant la «surprise» chez ses avocats, qui s’attendaient à une décision «plus clémente». Abderrazak Cherif avait été démis de son poste de chef de la 4e Région militaire, fin août 2018, pour être remplacé par le général-major Atamnia, au même moment où le commandant des forces terrestres, Ahcène Tafer, était admis à la retraite, pour être remplacé par Saïd Chengriha. Advertisements Deux décisions qui annonçaient le début d’une grande opération de purge dans les rangs de l’armée «au nom de la lutte contre la corruption» qui intervenait alors que le scandale des 701 kg de cocaïne, saisis à Oran sur un navire en rade, venait d’éclater, entraînant dans son sillage le premier responsable de la police (DGSN), le général-major Abdelghani Hamel, limogé, poursuivi et condamné moins d’une année après pour des faits liés à la corruption. Le 14 octobre 2018, cinq généraux-majors, Abderrazak Cherif, Habib Chentouf, ex-chef de la 1re Région militaire, Menad Nouba, ancien patron de la Gendarmerie nationale, Boudjemaâ Boudouaouer, ex-directeur des finances au ministère de la Défense, et Saïd Bey, ex-chef de la 2e Région militaire, sont poursuivis et placés en détention par le tribunal militaire de Blida pour «enrichissement illicite», «trafic d’influence» et «non-respect des consignes militaires». Le 5 novembre 2018, sur intervention de la Présidence, les cinq hauts gradés sont remis en liberté, avec confiscation de leurs passeports diplomatiques. Au mois d’avril 2019, leurs affaires reviennent sur la place publique. Les cinq sont convoqués par la tribunal militaire de Blida, mais deux, Abderrazak Cherif et Habib Chentouf, ne sont plus en Algérie. Le premier avait quitté le pays pour se soigner et le second pour ne plus revenir. Le 30 octobre 2019, Menad Nouba et Boudjemaâ Boudouaouar sont condamnés à une peine de 15 ans de réclusion criminelle, et quelques jours après, c’était au tour de Saïd Bey et de Abderrazak Cherif de passer devant la même juridiction, le premier pour «dissipation et recel d’armes et de munitions de guerre au profit de personnes non habilitées à les détenir» (en l’occurrence Ali Haddad), «enrichissement illicite» et «infraction aux consignes de l’armée», et le second pour «enrichissement illicite» et «trafic d’influence». Des faits pour lesquels, le parquet a requis 20 ans de réclusion criminelle, avant que le tribunal ne les condamne à une peine de 15 ans, assortie de la «confiscation» de tous leurs biens, à l’exception de la maison familiale. En ce qui concerne Habib Chentouf, il se trouve toujours à l’étranger et un mandat d’arrêt international a été lancé à son encontre «pour enrichissement illicite», «trafic d’influence» et «violation des obligations du contrôle judiciaire» auxquelles il était soumis. ....................................................................................................... -Ordonnance n° 21-06 du 18 Chaoual 1442 correspondant au 30 mai 2021 modifiant et complétant l’ordonnance n° 06-02 du 29 Moharram 1427 correspondant au 28 février 2006 portant statut général des personnels militaires (Joradp n°39 du 30 mai 2021)
  • 26-05-2021
    -L’Armée nationale populaire s’attèle à poursuivre l’exécution de ses "nobles missions constitutionnelles" à l’aune de la conjoncture que traverse la région, a affirmé le Général de Corps d'Armée Saïd Chanegriha, chef d'Etat-Major de l'ANP, mettant l'accent sur "la sécurité de l’Algérie, la préservation de sa stabilité et la sauvegarde de son indépendance et de sa souveraineté nationale", indique mardi un communiqué du ministère de la Défense nationale. "Dans la poursuite de ses visites d'inspection aux différentes Régions militaires (RM), le Général de Corps d'Armée Saïd Chanegriha, chef d'Etat-Major de l'ANP, a entamé ce mardi 25 mai 2021, une visite de travail et d'inspection en 3e RM en se rendant au Secteur opérationnel Sud de Tindouf où, après la cérémonie d’accueil, il a tenu, en compagnie du Général-Major Mostefa Smaali, Commandant de la 3e RM, une rencontre avec les Commandants et cadres des unités déployées dans ce Secteur opérationnel névralgique, et dispensé une série d’instructions qui portent, dans leur ensemble, sur "la nécessité de renforcer les facteurs de la disponibilité opérationnelle et de se tenir prêt à faire face aux différentes formes de menaces, quelles que soient leur nature ou leur origine, outre de faire preuve des plus hauts degrés de vigilance et de précaution", précise la même source.
  • 23-05-2021
    -Guermit Bounouira, adjudant-chef en retraite et ex-secrétaire particulier de l’ex-Chef d’Etat-major, le défunt Ahmed Gaid Salah, en fuite en Turquie, a été livré à l’Algérie selon un communiqué des services de sécurité ce dimanche 02 août 2020. « Sur ordre du président de la République, chef suprême des forces armées, ministre de la Défense nationale, et après coordination entre nos services de sécurité et les services de sécurité turcs, l’adjudant-chef Guermit Bounouira a été livré jeudi dernier et sera présenté devant le juge d’instruction militaire lundi », rapporte l’APS. Guermit Bounouira était le secrétaire particulier de Gaïd Salah jusqu’au décès de ce dernier en décembre 2019. Il s’était réfugié en Turquie depuis le début de l’année. Il est accusé de détournement, fuite de documents et d’informations confidentielles du MDN, rapportent plusieurs médias. Il est aussi soupçonné d’être entré en contact avec des individus recherchés et en fuite à l’étranger. Algérie Patriotique affirmait que le Guermit Bounouira « a pu quitter le pays le 5 mars dernier grâce à la complicité de l’ancien patron de la DGSI, Wassini Bouazza, actuellement en prison ». Le même média croit savoir que « Guermit Benouira négociait sa naturalisation contre des documents qu’il aurait subtilisés de l’ancien vice-ministre de la Défense nationale ». Il sera présenté devant le juge d’instruction près le tribunal militaire demain, lundi 03 août 2020…………………………………………………………………………. -L’ex-Directeur général de la Sécurité intérieure, (DGSI), le général Wassini Bouazza, condamné fin mars dernier à 16 ans de prison ferme, a été dégradé au rang de djoundi après avoir été entendu par le conseil de discipline militaire, au début du mois en cours. Selon le quotidien francophone El Watan, l’ancien DGSI, Wassini Bouazza a été entendu durant des heures par ledit conseil. Il se serait défendu sans ses avocats, de même qu’au moment de son procès lié à l’interférence dans le scrutin du 12 décembre 2020, en affirmant « avoir exécuté les ordres » du défunt chef d’état-major de l’Anp, Ahmed Gaïd Salah, son supérieur hiérarchique de l’époque. A la fin de l’audience, le conseil a sanctionné l’ex-patron de la DGSI, Wassini Bouazza, par la «cassation de grade et de la remise au rang de djoundi». Une sanction statutaire prévue par la loi 06/02 de 2006, notamment dans ses articles 69, 70, 71 et 72, apprend-on encore de même source. L’article 69, précise-t-on stipule qu’en dehors des sanctions pénales qu’elle peut entraîner, « le militaire s’expose, selon la nature et la gravité de la faute commise, à une sanction disciplinaire, professionnelle et/ou statutaire ». Wassini Bouazza de général à djoundi Les dispositions de l’article 70 stipulent, en outre, que « les sanctions professionnelles sont le retrait partiel ou total, temporaire ou définitif, d’une qualification professionnelle sont prononcées en cas de fautes professionnelles, après avis d’un conseil d’examen des faits professionnels et fixées par les statuts particuliers ». L’article 72, rapporte le quotidien El Watan, énumère les sanctions comme suit : «La radiation du tableau d’avancement pour une durée déterminée, rétrogradation dans le grade, la cassation de grade et la remise au rang de djoundi et enfin la radiation des rangs de l’Armée nationale populaire par mesure disciplinaire.» Le même article explique que «les sanctions statutaires sont prononcées pour manquement aux obligations statutaires, inconduite habituelle, faute grave dans le service ou contre la discipline, faute contre l’honneur, condamnation criminelle ou pour une peine d’emprisonnement, ferme ou assortie de sursis, pour délit(s) jugé(s) incompatible(s) avec les exigences de l’état de militaire». Pour rappel, l’ex DGSI a été condamné par le tribunal militaire de Blida à des peines de réclusion, l’une à 8 ans, confirmée par la cour d’appel pour les délits d’ »outrage à corps constitué », « faux et usage de faux » ainsi que « détention d’armes et de munitions de guerre » et l’autre à 16 ans pour « trafic d’influence », « infraction aux consignes de l’armée », « entrave à la justice » et « enrichissement illicite », dont le procès en appel, programmé pour le 19 mai, a été renvoyé au 23 juin prochain……………………………………………………………………………………….. ; -Le Général de corps d'Armée Saïd Chanegriha, chef d'Etat-major de l'Armée nationale populaire (ANP), a indiqué que les sites et les réseaux sociaux constituaient un sanctuaire pour les réseaux du crime organisé, «connus pour leur rancune et leur haine envers l'Algérie, qui a réussi à contrer leurs attaques et mettre en échec tous leurs plans et complots menés à travers le cyberespace», rapporte un communiqué du ministère de la défense nationale (MDN). S’exprimant, lundi, dans son allocution inaugurale des travaux d'un séminaire tenu sous le thème de "La Cyber-sécurité et la cyber-défense: Enjeux et défis à la lumière des nouvelles mutations multidimensionnelles", Chanegriha (Photo) a souligné que «L'Algérie a connu de nombreuses cyber-attaques qui ont ciblé des sites étatiques et d'autres appartenant à des institutions économiques vitales et stratégiques», a-t-il affirmé, ajoutant que «Ces attaques se sont intensifiées récemment avec la sortie de notre pays de sa crise et l'amorce de la phase de construction de l'Algérie nouvelle, initiée par Monsieur le président de la République, Chef suprême des Forces Armées, ministre de la Défense nationale». Le chef d’Etat major de l’ANP s’étalera sur le sujet, relevant que «Les sites et les réseaux sociaux ont constitué, ainsi, une tribune pour les réseaux du crime organisé, connus pour leur rancune et leur haine envers l'Etat algérien, connu par ses principes immuables, ses nobles valeurs humaines et sa Révolution de libération inégalée dans l'histoire, pour mener des campagnes subversives visant à porter préjudice à la stabilité et à semer la discorde entre les fils du même pays». Il a mis en avant, dans ce même contexte, que «les tentatives de manipulation, la diffusion des messages de propagande, la promotion des idées subversives par ces réseaux ont, clairement, pour objectif de servir des agendas hostiles qui sont désormais démasqués pour tous», dira- t- il, en substance. Et de se satisfaire, néanmoins, de ce que, et «grâce à la prise de conscience des concitoyens et la mobilisation de toutes les institutions spécialisées en cyber-sécurité, l'Algérie a réussi à contrer ces attaques et mettre en échec tous les plans et complots menés à travers le cyberespace», a-t-il conclu. A noter que ce séminaire de deux jours, organisé au Cercle national de l'Armée par le département Emploi-Préparation de l’Etat-major de l'ANP, s'inscrit dans le cadre de la promotion et du développement de la sécurité et la défense cybernétique au sein de l'ANP. Cette manifestation scientifique s'est poursuivie par la tenue de conférences animées par des enseignants universitaires et des spécialistes civils et militaires, axées dans leur ensemble, sur le traitement des différentes approches adoptées dans ce domaine ainsi que sur l'échange de points de vue concernant les enjeux découlant des nouvelles formes de cyber-menaces, indique le communiqué du MDN. Ont pris part à cette rencontre les ministres de l'Intérieur, des Collectivités locales et de l'Aménagement du territoire, de la Communication, de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, de la Numérisation et des Statistiques, des Postes et Télécommunications, du Directeur général de l'Institut National des Etudes de la Stratégie Globale. Côté Armée, le SG par intérim du MDN, les commandants des Forces armées et de la Gendarmerie nationale, le commandant de la 1ère Région militaire, les chefs de départements et les Directeurs et chefs des services centraux, ont également pris part à ce séminaire, selon le document du ministère.
  • 20-05-2021
    - Le général de Corps d'Armée, Saïd Chanegriha, chef d'Etat-major de l'Armée nationale populaire (ANP), a supervisé, au 2e jour de sa visite en 2e Région militaire à Oran, un exercice tactique avec munitions réelles, dans le cadre de la clôture du programme de préparation au combat au titre de l'année 2020/2021 intitulé ‘RAAD-2021’, a indiqué ce jeudi un communiqué du ministère de la Défense nationale.
  • 19-05-2021
    - Le chef d'Etat-major de l’Anp, Said Chengriha , en visite ce mercredi à la troisième région militaire d'Oran, a adressé un message de fermeté et de mise en garde à ceux qu'il qualifie d'"aventuriers tentés de jouer avec l'unité et l'intégrité de l'Algérie. "Je profite de l'occasion pour avertir les aventuriers de tous bords idéologiques contre toute tentative de porter atteinte à l'unité de la nation forgée dans le sang mêlé des martyrs qui ont consenti le sacrifice suprême pour son indépendance", prévient t-il dans une prise de parole devant les officiers de la 3éme région. Et Said Chengriha de renchérir en assenant :" A ceux-là , je le dis avec force: les forces de l'ANP vont s'opposer avec détermination et résolution a toute velléité de jouer avec les fondements de la nation. Nous agirons avec fermeté pour démystifier leurs desseins devant l'opinion nationale et internationale" Pour Said Chengriha, "l'unité nationale a toujours été un phare qui a illuminé notre chemin, à chaque fois que l'Algérie fait face à des crises et des vicissitudes politiques", dit-il en lançant un appel aux "homme libres , sincères et fidèles à s'unir la main dans la main pour défendre pour défendre l'unité et l'intégrité de l'Algérie"
  • 18-05-2021
    -- Le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, Chef suprême des forces armées, ministre de la Défense nationale, a présidé mardi une réunion périodique du Haut Conseil de Sécurité, a indiqué un communiqué de la Présidence de la République. "Le président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, Chef suprême des forces armées, ministre de la Défense nationale, a présidé, mardi 18 mai 2021, une réunion périodique du Haut Conseil de Sécurité", a précisé le communiqué. "Après avoir écouté les interventions des membres du Haut Conseil de Sécurité sur les questions inscrites à l'ordre du jour, le président de la République a examiné les mesures relatives à l'ouverture des frontières aériennes et les conditions devant être remplies par les voyageurs, avec le maintien des frontières terrestres fermées sauf en cas de nécessité", a ajouté la même source, soulignant que "les mesures détaillées seront définies par un décret exécutif". Le Haut Conseil de Sécurité "s'est également penché sur les actes hostiles et subversifs commis par les mouvements dits (Rachad) et (MAK) pour déstabiliser le pays et attenter à sa sécurité, et décidé, dans ce cadre, de les classer sur la liste des organisations terroristes et de les traiter comme telles", selon le communiqué. Le Haut Conseil de Sécurité a aussi abordé "les derniers préparatifs des élections législatives du 12 juin 2021". Le Président Tebboune "s'est dit satisfait des efforts consentis par les institutions de l'Etat pour assurer le déroulement du rendez-vous électoral dans de bonnes conditions", a conclu le communiqué.
  • 17-05-2021
    -"Phoenix Express 2021", la 16e itération de l'exercice maritime nord-africain, a débuté lundi à Tunis et dans toute la mer Méditerranée et continuera jusqu'au 28 mai, a indiqué le capitaine Harry Knight de l'armée américaine en sa qualité du directeur de ces manœuvres militaires auxquelles prennent part au total 13 pays dont l'armée algérienne. .La partie en mer de l’exercice permettra de tester les capacités des forces maritimes nord-africaines, européennes et américaines à répondre à l’immigration illégale et à lutter contre le trafic et le mouvement illicite de marchandises et de matériels. Au total 13 pays participant à "Phoenix Express 2021" à savoir la Tunisie, l'Algérie, la Belgique, l'Égypte, la France, la Grèce, l'Italie, la Libye, Malte, la Mauritanie, le Maroc, l'Espagne et les États-Unis.
  • 15-05-2021
    -L’Algérie prend part à un exercice maritime (multilatéral + Phoenix Express 21+) près des côtes nord tunisiennes (16-28 mai) . 130 officiers de 12 pays dont l’Egypte, le Maroc, les Etats Unis, l’Italie, L’Espagne…
  • 08-05-2021
    -Le ministère de l’Intérieur a souligné ce dimanche 09 mai 2021 l’obligation de déclarer les marches de la part de leurs organisateurs. Deux jours après le 116e vendredi du Hirak, qui a connu un changement d’itinéraire des manifestants, le département de Kamel Beldjoud dénonce, dans un communiqué, des « dépassements dangereux », qui « dérangent le citoyen et portent atteint à leurs libertés ». « Il a été constaté que les marches hebdomadaires enregistrent dernièrement des dépassements dangereux, qui ne prennent pas compte du dérangement et de l’atteinte aux libertés dont souffrent les citoyens », écrit le communiqué. Le ministère de l’Intérieur évoque particulièrement « le changement incessant des itinéraires des manifestations, sous prétexte qu’ils sont libres de marcher dans n’importe quel sens, n’importe quelle rue ». Ceci, poursuit la même source, « est en contradiction avec l’ordre public et la loi de la République ». Le ministère de l’Intérieur estime « nécessaire de rappeler ce qu’énonce la Constitution de novembre 2020 en matière de liberté de manifestation et ce, à travers une simple déclaration ».Le ministère poursuit ainsi « qu’il est obligatoire de déclarer la marche de la part de ses organisateurs, l’heure du début et de la fin de la manifestation, l’itinéraire, les slogans qui seront scandés et ce, en vertu de la loi ». Le département de Kamel Beldjoud conclut que le « non-respect de ces obligations, en enfreignant la loi et la Constitution, rompt le caractère légitime de la marche, contre laquelle il faut agir sur cette base ». Le communiqué ne précise pas les modalités de déclaration des marches. Selon l’article 52 de la Constitution, « Les libertés de réunion et de manifestations pacifiques sont garanties, elles s’exercent sur simple déclaration ». La déclaration exigée par le ministère peut buter sur l’absence de leaders ou d’organisateurs des marches Hirak et ce, depuis son déclenchement le 22 février 2019. Le 116e vendredi du Hirak a notamment été marqué par le changement, de la part des manifestants, de l’itinéraire de la marche, surprenant le dispositif sécuritaire installé à Alger-Centre. Ils se sont ainsi dirigés vers Ruisseau via le quartier de Belcourt et la rue Hassiba au lieu de monter par la rue Pasteur et se diriger vers Didouche Mourad......................................................................................
  • 05-05-2021
    -Le feu de la contestation est loin d'être atteint chez les sapeurs pompiers, qui ont organisé mercredi des sit -in dans leurs unités respectives, comme le montrent plusieurs vidéo partagées sur les réseaux sociaux. Biskra, Tizi-Ouzou, Béjaia, M'Sila, Tlemcen, Ouargla, pour ne citer que ces wilayas ont à nouveau "bougé" pour réitérer les revendications exprimées lors de la grande marche d'Alger en début de semaine et pour dénoncer également la mesure de suspension de 230 pompiers en réclamant leur réintégration "immédiate et sans condition". Les revendications des sapeurs pompiers portent sur l'augmentation des salaires ,la majoration du point indiciaire de 45 90 dinars, la révision du statut particulier, la revalorisation de la prime de risque ainsi que le règlement de la question du service militaire pour nombre d'agent dont la situation reste pendante. Pour rappel, le ministère de l'Intérieur, au soir de la grande marche des pompiers sur Alger, , redu publique un communiqué particulièrement virulemment dans lequel il accuse des "parties " sans les citer d'instrumentaliser les préoccupations socioprofessionnelles des agents pour des dessins politiques « Nourrit par des parties servant des agendas hostiles à l’égard de l’Algérie, ce mouvement intervient au moment où la tutelle a procédé à l’examen des préoccupations socioprofessionnelles des affiliés de ce corps et à la prise en charge des revendications soulevées dans le cadre de la loi, comme affirmé par le syndicat national des agents de la protection civile publié le 29 avril 2021 », lit-on dans le communiqué
  • 04-05-2021
    -La revue d'El Djeich, dans son dernier numéro, n'y va pas par quatre chemins, dans son décryptage de l'emballement sans précédent, qui caractérise actuellement le front social, en proie à des grèves en chaine, en portant des accusations graves. "Des parties cherchent le pourrissement et appellent aux grèves pour faire échouer les prochaines législatives", écrit l'organe de l'institution militaire qui ajoute que ces mêmes parties "poussent à enflammer la rue". Poursuivant dans la même veine, la revue accuse "les parties criminelles de poursuivre leurs actions de sabotage sous couvert de protestations sociales" et prévient cependant que "l'Algérie a une armée qui fera face aux professionnels de la désinformation pour induire en erreur l'opinion'. "Ceux qui appellent aujourd'hui aux grèves et ceux qui projettent de perpétrer les attentats sont les faces d'une même médaille" souligne encore l'organe de l'Armée qui appelle "les patriotes sincères à ne pas laisser l'Algérie des Chouhada aux mains des traîtres".
  • 03-05-2021
    -Le ministère de l'Intérieur, des Collectivités locales et de l'Aménagement du territoire a indiqué, dimanche, que le sit-in de protestation organisé par les agents de la protection civile, était"une violation inadmissible en leur qualité de corps constitué particulier", les appelant à renoncer définitivement au mouvement et que la tutelle observe le droit de prendre les mesures légales à cet effet. "Il a été enregistré un mouvement de protestation organisé par nombre d'agents de la protection civile, contraire à la loi 02-90 relative à la prévention et au règlement des conflits collectifs de travail et à l'exercice du droit de grève, notamment l'article 43, ainsi qu'à l'article 23 du statut particulier des fonctionnaires relevant des corps de la protection civile", a précisé le communiqué. "Nourrit par des parties servant des agendas hostiles à l'égard de l'Algérie, ce mouvement intervient au moment où la tutelle a procédé à l'examen des préoccupations socioprofessionnelles des affiliés de ce corps et à la prise en charge des revendications soulevées dans le cadre de la loi, comme affirmé par le syndicat national des agents de la protection civile publié le 29 avril 2021", a indiqué le ministère dans son document. Le ministère de l'Intérieur a rappelé "les concernés par ce mouvement orchestré en leur qualité de corps constitué que ces comportements qui portent atteinte à la sécurité et à la quiétude publiques, sont strictement inadmissibles", les appelant à "rompre définitivement ce mouvement". Et d'ajouter "le ministère de l'Intérieur observe son droit à prendre les mesures légales en vigueur"………………………………………………………………. -Le ministère de l’Intérieur a annoncé ce lundi 3 mai 2021 la suspension de pas moins de 230 agents de la Protection Civile ayant participé à la marche des pompiers, organisée hier, dimanche, dans la capitale. Dans un communiqué de presse, le ministère annonce également des poursuites judiciaires contre ces agents. Une manifestation des agents de la Protection civile eu lieu hier à Alger. Les manifestants, qui désiraient se rendre à la Présidence, ont forcé plusieurs barrages de la police qui a tenté de les bloquer le long de leur parcours avant de rejoindre, finalement, la Direction et observer un sit-in devant son entrée à Hydra Le département de Kamel Beldjoud avait réagi hier à cette manifestation. Dans un communiqué, le ministère a immédiatement qualifié la manifestation d’illégale, enfreignant la loi 02-90 sur les conflits sociaux et les mouvements de grève. Pour cette institution, cette protestation est « infondée », « provoquée par plusieurs parties hostiles à l’égard de l’Algérie avec des agendas tendancieux » et « coïncidant avec la prise en charge, par les autorités », des revendications des sapeurs-pompiers. Le ministère a ainsi sommé les participants à cette « marche délibérée » de « renoncer à ces mouvements de protestation, qui portent atteinte à l’ordre et la tranquillité publique », se « réservant le droit d’appliquer les mesures nécessaires ». Ce lundi, le même ministère revient à la charge pour annoncer la suspension de 230 agents, « en vertu de l’article 173 » de la loi sur la fonction publique. Le ministère a également appelé ce corps à ne pas « s’aligner aux appels désirant porter atteinte à la stabilité de cette institution ».
  • 02-05-2021
    -Manifestation des agents de la Protection civile vers la Direction à Hydra à Alger. Les manifestants ont forcé plusieurs barrages de la police qui a tenté de les bloquer le long de leur parcours. Les manifestants scandaient « silmiya, silmiya » et « nos revendications sont légitimes » au fil de leur progression. La police a usé des gaz lacrymogènes pour stopper la progression des agents de la protection civile notamment au niveau de El Mouradia. La semaine dernière des agents de la protection civile avaient organisé des sit-ins devant leurs casernes pour exiger la révision de leur statut particulier et l’amélioration de leur situation socioéconomique. Un mouvement de protestation dont s’est démarqué le syndicat juste après le communiqué du Gouvernement hostile aux revendications syndicales. Le syndicat national des agents de la Protection civile relevant de la Mutuelle nationale des travailleurs des collectivités locales et de l’administration (UGTA) s’est « démarqué catégoriquement » des sit-ins de protestation organisés appelant à « la retenue et la sagesse ».......................................................................... --La Direction générale de la protection civile (DGPC) a réaffirmé, dimanche, que toutes les revendications de ses agents, inscrites dans le Statut particulier et exprimées lors de sit-in de protestation, seront satisfaites dès l’examen des statuts. "La majorité des revendications qui s’inscrivent dans le cadre Statut particulier des agents de la Protection civile seront traitées et satisfaites dès l’examen des statuts", a indiqué la DGPC dans un communiqué, précisant que "toutes les catégories de fonctionnaires du secteur seront associées à l’enrichissement du projet de révision du Statut particulier du corps, en vue de satisfaire toutes les préoccupations soulevées". Exhortant l'ensemble des agents "à faire montre de discipline et de sens élevé de responsabilité, reconnus aux enfants du secteur et à ne pas céder aux publications subversives visant à semer la confusion et le chaos et à attenter à la stabilité de la patrie", la DGPC assure que toutes les revendications exprimées "ont été soumises aux autorités concernées et qu'une commission se penche sur leur examen". Les agents de la Protection civile avaient organisé un sit-in de protestation devant la DGPC, scandant des revendications professionnelles, notamment l'augmentation du salaire de base, l'octroi de la prime de contagion et la revalorisation des points indiciaires.