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Infos' diverses 2021 (II/II)

Date de création: 11-01-2022 19:48
Dernière mise à jour: 11-01-2022 19:48
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FINANCES- INFOS’DIVERSES-INFOS’ DIVERSES 2021  (II/II)

-Le dollar américain est depuis longtemps la devise la plus forte du monde. Tenant la position de monnaie de réserve de facto, il est accepté pour le commerce dans le monde entier. Selon le Fonds monétaire international (FMI) (juin 2021)plus de 61 % des réserves mondiales de devises sont détenues en dollars. Même la Chine, la grande économie à la croissance la plus rapide, doit plus d'un milliard de dollars américains. De plus, 80% de tous les billets de 100 $ en circulation sont détenus en dehors des États-Unis et environ 90% des transactions sur le forex(Le change (forex ou FX) est l'échange d'une devise contre une autre. Par exemple, on peut échanger le dollar américain contre l'euro. Les opérations de change peuvent avoir lieu sur le marché des changes, également connu sous le nom de marché des changes.)  sont effectuées en dollars américains.  Mais le dollar n'a pas toujours été aussi fort. Le 19e et le début du 20e siècle ont vu la livre sterling du Royaume-Uni régner comme la principale réserve de devises mondiale. Ce n'est qu'après 1944 que le dollar américain est devenu la principale monnaie de réserve

 

-Le résultat bénéficiaire net réalisé par la Compagnie algérienne des assurances (CAAT) en 2020 s’élève à 2,8 milliards de dinars (DA), soit une progression de 10%, a indiqué mardi un communiqué de la compagnie.

Quant au chiffre d'affaire, en 2020, il s’est élevé à 24,750 milliards de dinars, permettant de dégager "une légère croissance en dépit de la difficile conjoncture marquée par les effets de la pandémie", a précisé la même source.

- La  liquidité  bancaire  globale  s’est  établie  à “681,71 milliards de dinars” au  31 janvier 2021, une indication inscrite dans les états financiers de la Banque centrale figurant au Journal officiel n°62 datant du 15 août dernier.

La liquidité globale des banques a baissé au cours des neuf premiers mois de 2020, passant de 1 100,8 milliards de dinars à fin 2019 à 461,8 milliards de dinars à fin septembre 2020, corrélativement au déficit courant de la balance des paiements et aux impacts économiques de la pandémie de Covid-19, indiquait, en février dernier, la Banque d’Algérie dans un communiqué.

Cette liquidité a commencé à s’améliorer au cours du dernier trimestre de 2020, sous l’effet des mesures de politiques monétaires décidées par la Banque d’Algérie en matière de baisse du taux des réserves obligatoires, de l’augmentation des seuils de refinancement des titres publics négociables, de l’allongement de la durée du refinancement de 7 jours à un mois et de la satisfaction totale des demandes de refinancement des banques. Ainsi, la liquidité bancaire a atteint 632,3 milliards de dinars à fin 2020.

-Dans un discours prononcé, mardi 9 /11 , devant les participants à la Conférence des chefs des missions diplomatiques et des consuls algériens, qui se tient depuis lundi dernier à Alger, le premier responsable du gouvernement met l’accent sur «le faible niveau de transferts des devises de l’immigration algérienne». Il cite des chiffres, dont les données du rapport de la Banque mondiale publié en 2019.

Selon lui, ce document souligne que «les transferts en devises des Algériens étaient de seulement 1,7 milliard de dollars»«Ce montant ne reflète pas pleinement les capacités de notre communauté nationale à l’étranger, compte tenu, notamment, de son nombre et de son poids économique», précise-t-il. Et de souligner : «La valeur de ces envois de fonds est actuellement très faible par rapport aux pays qui ont une communauté beaucoup plus petite que la nôtre.»

Aïmene Benabderrahmane donne également un autre chiffre, plus actualisé visiblement. «Les envois des Algériens n’ont pas dépassé 3,2 milliards de dollars en moyenne annuelle, y compris les envois de retraités à l’étranger, au cours des trois dernières années, soit près de 2% du PIB (produit intérieur brut)», indique-t-il, rappelant que «les envois de fonds vers l’Afrique subsaharienne ont atteint 44 milliards de dollars en 2019»«Ces envois de fonds augmentent rapidement et dépassent désormais les niveaux d’aide publique au développement et d’investissement étranger direct en Afrique subsaharienne», dit-il.

L’orateur cite aussi d’autres exemples de pays qui bénéficient des fonds de leurs citoyens de l’étranger, à l’image de l’Inde (83,1 milliards de dollars), la Chine (68,4 milliards de dollars), le Mexique (38,5 milliards), les Philippines (35,2 milliards de dollars), l’Egypte (26,8 milliards de dollars), le Nigeria (24,3 milliards de dollars) et le Pakistan (21,0 milliards de dollars).

 

-La dette mondiale a atteint l’an passé le niveau record de 226 000 milliards de dollars, soit 256% du produit intérieur brut mondial, sous l’effet de la crise provoquée par la pandémie, a annoncé hier le Fonds monétaire international.

Cela représente une hausse de 28%, la plus forte depuis la Seconde Guerre mondiale. «Les emprunts des gouvernements ont représenté un peu plus de la moitié de cette hausse» se hissant ainsi à un record (99% du PIB mondial) tandis que «la dette privée des sociétés non financières et des ménages a également atteint de nouveaux sommets», ont détaillé Vitor Gaspar et Paulo Medas, responsables des affaires budgétaires du FMI, et Roberto Perrelli, économiste du Fonds dans un article de blog.

La seule dette des gouvernements représente désormais près de 40% de la dette mondiale totale, «soit la part la plus élevée depuis le milieu des années 1960», précisent-ils.

L’accumulation de dette publique est la conséquence directe de deux crises économiques majeures, la crise financière mondiale de 2008, puis la pandémie de Covid-19.