Nom d'utilisateur:
Mot de passe:

Se souvenir de moi

S'inscrire
Recherche:

Infos' diverses 2020

Date de création: 23-01-2021 18:34
Dernière mise à jour: 23-01-2021 18:34
Lu: 613 fois


VIE POLITIQUE- INFOS’ DIVERSES – INFOS’ DIVERSES 2020

-La campagne électorale de Abdelmadjid Tebboune pour l’élection présidentielle du 12 décembre 2019 n’aura coûté que 5,9 milliards de centimes, selon le bilan présenté par les responsables chargés de la campagne de ce candidat qui est devenu président de la République.

Ce chiffre est dérisoire comparativement à ce qui était dépensé ou dilapidé par l’ancien président de la République, Abdelaziz Bouteflika. La comparaison est sidérante!

Selon les chiffres officiels révélés lors du procès sur l’affaire de montage des véhicules dans lequel sont impliqués les deux anciens Premiers ministres, Ahmed Ouyahia et Abdelmalek Sellal ainsi que plusieurs hommes d’affaires, la campagne de l’ancien président a coûté des sommes qui font froid dans le dos.

En ce sens, le patron du Groupe Maazouz, Ahmed Maazouz, a révélé avoir versé 39 milliards de centimes pour la campagne électorale de Abdelaziz Bouteflika en prévision du 5e mandat avorté. Selon Maazouz, également, Ali Haddad avait déboursé 180 milliards de centimes pour la campagne électorale de Bouteflika pour le 5e mandat et était chargé de la collecte des fonds pour cette campagne.

Ces deux hommes d’affaires ont versé, à eux seuls, 219 milliards sans compter les sommes versées par les autres hommes d’affaires et industriels qui ont bénéficié, en contrepartie de plusieurs avantages comme les exonérations fiscales et le foncier.

L’argent versé par ces hommes d’affaires à la campagne électorale de Bouteflika n’est pas leur argent, mais plutôt un argent provenant des crédits bancaires non remboursés de même que des projets non achevés ou non réalisés. Il s’agit en somme de l’argent du peuple, d’où la fonte comme neige des réserves de change du pays.

-        Il y a 62 détenus d’opinion, répartis à travers 26 wilayas, selon le dernier décompte du Comité national pour la libération des détenus (CNLD). Alger vient en tête avec neuf détenus, suivie des wilayas de Bordj Bou Arréridj et Adrar avec sept détenus chacune. Beaucoup d’entre eux sont de jeunes militants ou activistes, dont des étudiants.

Le plus ancien d’entre eux est l’étudiant Walid Nekiche, arrêté lors de la marche des étudiants du 26 novembre… 2019 (El Watan, S 26/9/2020)