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Défense (et Sécurité nationale)

Journée du Vendredi 02/01/2021

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-La Cour d'appel militaire de Blida a prononcé samedi l'acquittement pour Mohamed Mediène, Athmane Tartag, Bouteflika Said et Louisa Hanoune, suite au pourvoi en cassation par la Cour suprême pour les chefs d'inculpation de "complot ayant pour but de porter atteinte à l'autorité du commandant d'une formation militaire" et "complot dans le but de changer le régime", indique un communiqué du ministère de la Défense nationale (MDN). "Nous informons l'opinion publique que la Cour d'appel militaire de Blida a prononcé, lors de l'audience tenue aujourd'hui 02 janvier 2021, une décision d'acquittement pour Mohamed Mediene, Athmane Tartag, Saïd Bouteflika et Louisa Hanoun, suite au pourvoi en cassation par la Cour suprême pour les chefs d'inculpation: ‘complot ayant pour but de porter atteinte à l'autorité du commandant d'une formation militaire’ et ‘complot dans le but de changer le régime’. Des actes punis par l'article 284 du Code de la Justice militaire et les articles 77 et 78 du Code pénal", lit-on dans le même texte. Par ailleurs, le MDN a précisé que "Mohamed Mediene et Louisa Hanoune, qui était en liberté, ont été relaxés". "S'agissant de Tartag Athmane, il sera maintenu en prison militaire à Blida, faisant l'objet de poursuites judiciaires devant la justice militaire", a-t-on ajouté de même source. "Quant à Saïd Bouteflika, il sera transféré à une prison civile, étant donné qu'il est poursuivi dans d'autres affaires devant le Pôle pénal économique et financier relevant de la Cour d'Alger", conclut-on dans le communiqué........................................................................................................................................................................................... --Quatre terroristes ont été éliminés ce samedi 02 janvier 2021 dans un accrochage à Messelmoune, daïra de Gouraya à Tipaza, dans lequel deux militaires ont été tués, a annoncés le Ministère de la Défense dans un communiqué de presse. «Dans le cadre de la lutte anti-terroriste et lors d’une opération de recherche et de ratissage menée près de la commune de Messelmoune, daïra de Gouraya, à Tipaza, un détachement de l’Armée nationale populaire a abattu, ce samedi 2 janvier, quatre terroristes et récupéré, un pistolet mitrailleur de type Kalachnikov, un fusil mitrailleur de type (RPK) et deux fusils à pompe, suite à un accrochage avec un dangereux groupe terroriste», précise le MDN. « Lors de cette opération, toujours en cours, le sergent Mebarki Saadeddine et le caporal-chef Gaid Aichouche Abdelhak sont tombés en martyr au champ d’honneur », poursuit la même. « Cette opération qui intervient à l’entame de la nouvelle année 2021 sera, avec la détermination et les sacrifices des vaillants soldats de l’Armée nationale populaire, décisive pour venir à bout des résidus du terrorisme, et confirme la résolution de nos Forces armées à préserver la sécurité et la stabilité à travers tout le territoire national », assure le MDN............................................................................... --Trente-sept (37) terroristes ont été mis hors d’état de nuire et 108 éléments de soutien aux groupes terroristes ont été arrêtés par des détachements de l’Armée nationale populaire (ANP), durant l’année 2020, indique samedi un bilan opérationnel de l’ANP. Dans le cadre de la lutte antiterroriste, des détachements de l’ANP ont mis hors d’état de nuire 37 terroristes durant l’année écoulée dont 21 terroristes ont été abattus, 9 capturés et 7 autres se sont rendus aux autorités militaires, précise le bilan de l’ANP. Selon la même source, 108 éléments de soutien aux groupes terroristes ont été arrêtés durant cette période par des détachements de l’ANP qui ont, également, découvert et détruit 251 casemates pour terroristes et saisi 40 pistolets mitrailleurs, 25 pistolets automatiques et 249 fusils de différents types. Un total de 74 chargeurs de munitions et 64710 balles ont été saisis durant l’année passée, souligne le bilan de l’ANP qui fait état de la découverte et la destruction de 391 bombes et mines de différents types, et de 831,585 kilogrammes d’explosifs, mais aussi de la saisie de 31paires de jumelles. Dans le cadre de la lutte contre la criminalité organisée et la sécurisation des frontières, 1028 narcotrafiquants ont été arrêtés durant l’année 2020, marquée par la saisie d’énormes quantités de kif traité s’élevant à 703,2 quintaux, et de 27,89 kilogramme de cocaïne, ainsi que de 3611868 comprimés psychotropes. Un total de 4755 contrebandiers et orpailleurs ont été arrêtés, en outre, durant l’année passée et 2376 marteaux piqueurs, 3460 groupes électrogènes,186 détecteurs de métaux, 1304908 litres de carburants, 2451 tonnes de denrées alimentaires, 4652 quintaux de Tabac, 1001 véhicules et 5051 caméras de surveillance ont été saisis. Quelque 3765 moyens de liaison et 4483352 articles pyrotechniques ont été saisis durant cette année. Dans le cadre de la lutte contre l’immigration clandestine, le bilan de l’ANP fait état de l’arrestation de 8184 candidats à l’émigration clandestine via des embarcations de construction artisanale, et de interception de 3085 immigrants clandestins de différentes nationalités…………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………. -Le Groupe de soutien à l’islam et aux musulmans, affilié à Al-Qaïda, a revendiqué l’attaque qui a coûté la vie à trois soldats français lundi au Mali, dans un communiqué publié par sa plate-forme de propagande. Le GSIM (ou Jnim selon l’acronyme arabe), principale alliance djihadiste du Sahel, invoque la poursuite de la présence militaire française dans la sous-région, les caricatures de Mahomet et la défense prise par le président Emmanuel Macron de leur publication au nom de la liberté d’expression, ainsi que la politique du gouvernement français vis-à-vis des musulmans de France. «Pour mettre fin à l’occupation française de la région du Sahel, vos frères moudjahidine (du GSIM) ont mené une opération qualitative contre un convoi des forces d’occupation françaises sur la route reliant Gossi et Hombori», a écrit le groupe dans ce communiqué diffusé vendredi 1er janvier et authentifié par le centre américain de surveillance des sites jihadistes SITE. «Cette opération bénie a coûté la vie à trois membres des forces d’élite de l’armée d’occupation». Le GSIM n’a pas fourni de détail sur l’attaque. Les trois soldats ont été tués dans la zone frontalière avec le Niger et le Burkina Faso quand leur véhicule blindé a été atteint par un engin explosif improvisé alors qu’ils participaient à une mission d’escorte, selon la présidence française. Deux autres soldats français ont été tués samedi dans le nord-est du Mali dans une attaque à l’engin explosif improvisé, après la mort de trois militaires français dans des circonstances similaires lundi, a annoncé la présidence française. Ce samedi soir, un communiqué du ministère des Armées précise que le véhicule blindé léger (VBL) qu’occupaient les soldats a explosé au contact d’un engin explosif improvisé, et qu’un troisième militaire a été blessé. Leur décès porte à 49 le nombre de soldats français tués au Sahel depuis 2013 dans les opérations Serval puis Barkhane. La France a engagé en 2020, 600 soldats supplémentaires au Sahel, portant ses effectifs à environ 5.100. Elle examine actuellement l’évolution de cet engagement. Le GSIM appelle les Français à «faire pression sur (leurs) chefs pour se retirer de la terre du Mali». Fin novembre, le commandant de Barkhane, Marc Conruyt, avait désigné devant les députés français le GSIM comme l’«ennemi le plus dangereux» au Sahel.