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Culture (et Religion)

Journée du Mercredi 02/07/2020

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Les cinéastes Malek Bensmail et Salem Brahimi sont invités à rejoindre la liste des 810 nouveaux membres de l'Académie des Oscars, qui s’est ouverte sur d’autres nationalités, selon les responsables de l'organisation. Né en 1966 à Constantine, Malek Bensmail a fait ses débuts dans le cinéma amateur, avant de poursuivre une formation à Paris, puis à Saint Petersburg en Russie, pour allier plus tard sa passion du cinéma à son engagement pour son pays, auquel il consacrera une filmographie dédiée au documentaire de création. A travers des thématiques ciblées, le cinéaste va mettre à nu les travers et la complexité de l'individu, dans des films-documentaires en lien avec, entre autres sujets, la société, la tradition, l'identité et la modernité. Plusieurs fois distingué, Malek Bensmail compte à son actif une vingtaine de documentaires dont, "Décibled" (1998), sur la nouvelle scène musicale algérienne, "La Chine est encore loin" (2008), ou la vie d'un des villages des Aurès, berceaux de la Révolution, 50 ans après l'Indépendance, "1962, de l'Algérie française à l'Algérie algérienne" (2012) et "La Bataille d'Alger, un film dans l'histoire" (2017). Producteur, réalisateur, scénariste et acteur, Salem Brahimi est né en 1972 à Londres. Après "Rainbow pour Rimbaud" de Jean Teulé en 1995, il coréalise en 2010 avec Chergui Kharroubi, "Africa is Back- The 2nd Panafrican Cultural Festival of Algiers", un film-documentaire sur le 2e Festival Panafricain d’Alger, tenu en 2009. Après la réalisation d'un documentaire sur l'Emir Abdelkader, il signe, en 2014, le long métrage de fiction, "Maintenant, ils peuvent venir", adapté du roman éponyme d'Arezki Mellal, avec qui il a coécrit le scénario. Salem Brahimi a par ailleurs produit plusieurs longs métrages de fiction et documentaires, à l'instar de, "Selves and Others" (2002) d'Emmanuel Hamon, "Mon Colonel" (2006) de Laurent Herbiet, "Cartouches Gauloises" (2007) de Mehdi Charef, "Eden à l'Ouest" (2009) de Costa-Gavras (2009), ou encore, "A mon âge je me cache encore pour fumer" (2016) de Rayhana Obermeyer. L'Académie des arts et sciences du cinéma, plus connue sous l’intitulé de "Académie des Oscars", avait annoncé en 2016 un doublement du nombre de femmes et d'aurtes catégories sous-representées à horizon 2020, car critiquée durant plusieurs années et longtemps jugée déconnectée de la société. Afin de tenir ses objectifs, l'Académie a triplé ses effectifs étrangers qui sont désormais plus de 2.100 (sur un peu moins de 10.000 au total), représentant 68 nationalités......................................................................................... --Le poète et parolier de la chanson algérienne contemporaine, Mohamed Angar est décédé jeudi à Alger d’une crise cardiaque, à l’âge de 75 ans, ont annoncé ses proches. Ayant fait ses débuts dans la chanson comme interprète, le défunt a enregistré plusieurs vinyles de format 45 tours, diffusés à la Radio algérienne dans les années 1970, avant de se consacrer ensuite à l’écriture de textes de chansons. Surnommé le "faiseur de stars", le défunt a collaboré avec plusieurs chanteurs dans le genre rai, à qui il a écrit des textes accrocheurs qui ont fait leurs succès, dont notamment Abderrahmane Djelti avec "Kessa Twila" et Mohamed Lamine, avec "Hiya li biya", durant les années 1980. Mohamed Angar a également collaboré avec des artistes de renom, comme le regretté Blaoui El Houari, Cheb Mami, Hassiba Amrouche avec "Farhi ou saâdi" (1991), ou encore, Cheb Khaled avec "Win el harba win" (1995