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Culture (et Religion)

Mois du 10/2020

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  • 30-10-2020
    - L’Algérie a condamné l’acte terroriste "odieux" ayant ciblé un lieu de culte à Nice en France, tout en appelant à la consolidation de la coopération internationale pour un "front commun" contre tous les extrémismes, indique vendredi un communiqué du ministère des Affaires étrangères (MAE). "L’Algérie condamne l’acte terroriste odieux ayant ciblé un lieu de culte à Nice et exprime sa solidarité avec les familles des victimes", précise la même source. Face au terrorisme, la position de l’Algérie est "constante et claire". Elle rejette "toute forme de justification et tout amalgame avec l’islam, religion de paix et de tolérance", note la même source. Elle en appelle à "la consolidation de la coopération internationale et au dialogue pour un front commun contre tous les extrémismes", ajoute le communiqué du MAE.
  • 29-10-2020
    -Quelques 200 citoyens, munis de leurs tapis personnels, ont eu le privilège d'accomplir jeudi, jour de la naissance du prophète Mohamed (QSSL), la prière du Dohr à la salle de prière de la Grande mosquée d'Alger, symboliquement inaugurée la veille.
  • 28-10-2020
    -Le Premier ministre, Abdelaziz Djerad, a présidé mercredi à Alger, la cérémonie d'ouverture de la salle de prière de laGrande mosquée d'Alger "Djamaà El Djazaïr" à l'occasion de la célébration du Mawlid Ennabawi, sous le haut patronage du président de la République, Abdelmadjid Tebboune.
  • 27-10-2020
    - La première conférence nationale sur l'œuvre du penseur Malek Bennabi intitulée, "A l'écoute d'un témoin du siècle", a été inaugurée mardi à Alger, par le Premier ministre Abdelaziz Djerad, accompagné de la ministre de la Culture et des Arts, Malika Bendouda. Organisée les 27 et 28 octobre à la Bibliothèque nationale d'El Hamma, cet événement-hommage s’est ouvert par la visite du Premier ministre, d’une exposition retraçant le parcours intellectuel de Malek Bennabi à travers ses ouvrages et ses essais, avant de baptiser la salle rouge de la Bibliothèque nationale du nom de cet illustre penseur.
  • 26-10-2020
    _"A l'occasion d'El Mawlid Ennabawi et conformément à la loi 63-278 du 26 juillet 1963 modifiée et complétée fixant la liste des fêtes légales, la journée du jeudi 12 Rabie el Aouel 1442 de l'hégire, correspondant au 29 octobre 2020 est chômée et payée pour l'ensemble des personnels des institutions et administrations publiques, des établissements et offices publics et privés, ainsi qu'aux personnels des entreprises publiques et privées, tous secteurs et statuts juridiques confondus y compris les personnels payés à l'heure ou à la journée", précise la même source. "Toutefois, les institutions, administrations, établissements, offices et entreprises précités sont tenus de prendre les mesures nécessaires pour assurer la continuité des services organisés en mode de travail posté", ajoute le communiqué............................................................................ -Le Haut Conseil Islamique (HCI), a condamné "énergiquement",ce lundi dans un communiqué, la campagne "enragée" menée contre le l'Islam et le prophète Mohammad (QSSSL). "Le HCI condamne énergiquement cette campagne enragée contre la meilleure et la plus noble des créatures, le prophète Mohammad (QSSSL), symbole de la tolérance et de la coexistence, mais aussi contre l'Islam, religion de paix épousée par des centaines de millions de personnes dans les quatre coins du monde", indique le communiqué. Le HCI saisit cette occasion pour appeler l'ensemble des musulmans, les sages à travers le monde, les organisations à caractère religieux et les instances en charge des droits de l'Homme et du dialogue interreligieux à "contrer ce discours radical et inhumain" et à "faire prévaloir la raison qui prône le respect des symboles religieux communs et le bannissement de la haine et du racisme" "L'opinion, quelle qu'elle soit, ne saurait être libre dans tous les cas, encore moins lorsqu'elle est exprimée à des fins immorales et attentatoires à la dignité humaine", précise le HCI fustigeant, par la même, "l'émergence d'une catégorie de pervers n'ayant aucun égard aux valeurs humaines, des dépravés enclins au mal qui prétendent s'exprimer au nom de la liberté d'expression en portant atteinte à l'Islam et à son prophète et en parodiant les symboles religieux dont le respect et l'intangibilité sont pourtant consacrés par les lois internationales". Le HCI a rappelé "le mois dédié au soutien au prophète Mohammad (QSSSL) qui fut une miséricorde pour l'humanité, l'exemple le plus éloquent de sagesse, de perspicacité, de droiture et de tolérance et la meilleure illustration des hautes valeurs humaines, en témoignent de grands philosophes et penseurs d'Orient et d'Occident".
  • 24-10-2020
    -La remise des distinctions aux lauréats du 7e Prix littéraire Mohamed Dib s’est déroulé, ce samedi à Alger, sous le signe de la célébration de l’œuvre de cet illustre écrivain-romancier, dont la cérémonie s’est largement imprégnée de son esprit. Accueillie par l’Agence algérienne pour le rayonnement culturel (Aarc), la cérémonie s’est déroulée à la Villa Dar Abdeltif, en présence de la ministre de la Culture et des Arts, Malika Bendouda, de la présidente de l’association «La grande maison», Sabiha Benmensour, et de la directrice de l’Office national des droits d’auteur et droits voisins (Onda), Nacera Ayaïchia. La ministre de la Culture et des Arts, qui a présidé la cérémonie dans le strict respect des mesures sanitaires de prévention contre la pandémie de coronavirus, a remis aux trois lauréats, Abdelmounaïm Bensayeh, Mourad Zimu et Mustapha Benfodil, leurs distinctions, financées par l’Onda, lors des trois dernières éditions, à hauteur, cette année, d’1 million de dinars pour chacun des trois prix.
  • 20-10-2020
    -Le Président de la République, Abdelmadjid Tebboune, a affirmé, hier, que le projet de révision de la Constitution soumis à référendum le 1er novembre prochain «sera une illustration éloquente des valeurs civilisationnelles de l'Algérie, consacrera la loyauté au serment des chouhada et confortera l'Etat de droit prôné par le Hirak béni authentique». «Nos valeurs civilisationnelles, puisées des préceptes du Saint Coran, sont une illustration de notre loyauté au serment des chouhada et à notre Histoire», a indiqué le Président de la République dans un message adressé aux participants aux travaux de la 22e Semaine nationale du Coran, lu en son nom par le ministre des Affaires religieuses et des Wakfs, Youcef Belmehdi............................................... --Les lauréats de la 7e édition du Prix littéraire Mohammed Dib ont été dévoilés ce mardi 20 octobre 2020 par l’Association culturelle « La Grande Maison ». Mustapha Benfodil a été primé pour son roman en langue française « Body Writing », paru aux éditions Barzakh. Abdelmonaim Bensayeh est le deuxième lauréat pour son roman en arabe « ????? ????????? ?? ???? », paru aux éditions El Mahir. Mourad Zimu a été récompensé pour son roman Kawitu, paru en tamazigh aux éditions Casbah. Dans un Tweet, Mustapha Benfodil a dédié son prix au journaliste Khaled Drareni, condamné en appel à 2 ans de prison par la Cour d’Alger ainsi qu’à « tous les prisonniers politiques et détenus d’opinion ». Abdelmonaim Bensayeh s’est dit « très heureux par cette consécration qui embellit ma carrière et encourage ma créativité ». Il a remercié ses proches qui l’ont encouragé à participer à ce Prix et son éditeur.
  • 17-10-2020
    -Les salles de cinéma, inexploitées ou détournées de leur vocation initiale, peuvent être rétrocédées au domaine privé de l'Etat et dont la gestion est confiée au ministère de la Culture, selon le texte du Projet de loi de finances (PLF 2021), publié sur le site Internet du ministère des Finances. "Les salles de spectacles cinématographiques, cédées aux communes en application de l’article 88 de la loi n 80-12 du 31 décembre 1980 portant loi de finances pour 1981, non exploitées ou détournées, peuvent être, après délibération de l’Assemblée populaire communale, rétrocédées au domaine privé de l’Etat et dont la gestion est confiée au ministère de la Culture, selon les termes de l'article 109 du texte, qui exclut "les biens immeubles appartenant à des particuliers". L'article 110 du projet de loi stipule que l'Etat apportera une contribution financière au profit des communes concernées par le transfert des salles de cinéma. Les salles de cinéma, entre autres structures publiques, ont été cédées, à titre gratuit, au profit des communes sur le territoire desquelles ces lieux de spectacle sont situés, selon les termes de l'article 88 de la Loi de finances pour 1981. Le ministère de la Culture et des Arts compte aujourd'hui 81 salles de cinéma sous sa tutelle dont à peine 25 sont exploitées, alors que les communes s'attribuent la gestion de plus de 251 autres salles majoritairement inexploitées, délabrées ou détournées.
  • 14-10-2020
    -La Fondation « Benbahmed », dédiée à la fraternité Algérie, a annoncé l’ouverture, samedi 17 octobre, du premier musée privé en Algérie. Baptisé «Itinéraires Algérie Afrique», le musée raconte l’histoire du continent africain, à travers des objets d’art, des objets du quotidien, tableaux, manuscrits, photographies, cartes etc. Provenant des différents itinéraires effectués à travers le continent africain, depuis 1962, par Amina et Abdelkrim Benhamed. La Fondation « Benbahmed », a été créé le 02 septembre 2020. Elle pour but de faire connaître, par l’observation, l’étude et la recherche, le continent africain dans ses interrelations avec l’Algérie. Ce projet a été inspiré par la défunte Amina Benhamed et son époux Abdelkrim Rachid Benbahmed, deux amoureux de l’Afrique, qui ont sillonné le continent pendant de nombreuses années et rapportée dans leurs valises des objets et des histoires, qui seront mis en valeur dans ce musée. À l’occasion du premier anniversaire de la disparition d’Amina Benbahmed, inspiratrice de la fondation « Benbahmed », ce premier musée du genre sera ouvert au public au siège de ladite fondation, sis « Dar Aziza Amina», 48 bois des Cars, 16 320 Dely Brahim. « Ces visites, ces voyages, ces itinéraires combien enrichissant, Amina et moi, les avons pérennisés par la collecte systématique d’objets représentatifs ou symbolisant ces cultures. Ces objets sont anciens, ou récents, rituels ou ordinaires mais toujours beaux, richement cisèles, que ce soit une statuette en bois, un manuscrit, un tissu traditionnel, une simple saucière ou un instrument de musique. Petit à petit l’idée de créer une fondation dédiée à l’Afrique a fait son chemin et a suscité moult débats entre Amina et moi. Après le quarantième jour de la disparition de ma compagne Amina, ma famille et moi décidâmes de tout mettre en œuvre pour que ses volontés soient exaucées, notamment par la création de la Fondation Benbahmed » précise Abdelkrim Rachid Benbahmed. La fondation « Benhamed », sera composée de trois entités : un musée, un « Think Tank » et un centre de documentation/bibliothèque. Le « Think Tank » est un laboratoire d’idées, de réflexion, d’étude et de recherche multidisciplinaire, dédié à l’Afrique, en général et à l’Algérie, en particulier. Le centre de documentation/bibliothèque, est un un fonds documentaire constitué d’ouvrages multidisciplinaires axés notamment sur les sciences sociales, revues, dossiers, études et documents divers, constitués par le couple Amina et Abdelkrim Benbahmed, durant leur longue présence professionnelle et académique sur le continent africain............................................................................................................................... --Huit jeunes romanciers ont été retenus dans « la short list » de la 7e édition du Prix littéraire Mohammed Dib, annonce l’association « la Grande Maison », organisatrice du Prix.En langue arabe. La short list met en lice le roman « Maraa iftiradhia » de Leila Amer, « Linarkous tarantilla thouma namout » de Abdel Mounaim Besayah et « Kafi Rich » de Mohamed Ftelina.Les romans, « Tanagit » de Sahli Walid et « Kawitu » de Murad Zimu, ont été retenus pour la langue amazighe. « Ecorces » de Bali Hajar, « Body writing: Vie et mort de Karim fatimi écrivain (1968-2014) » de Benfodil Mustapha et « Alter Ego » de Hanane Bourai ont été choisis en langue française. La liste des lauréats, dans les trois langues, sera annoncée le 20 octobre en cours sur la page Facebook de l’association organisatrice........................................................................................................................................................................; - Réunion du gouybernement : Il a entendu une communication présentée par Monsieur le ministre des Affaires religieuses et des Wakfs relatives aux préparatifs prévus pour l’inauguration de Djamàa El Djazaïr. A l’issue de cette communication, le Premier ministre a annoncé les décisions de Monsieur le Président de la République relatives à l’ouverture de la salle de prière de Djamàa El Djazaïr et à la levée de la suspension de la prière du Vendredi. La situation de la pandémie du coronavirus (Covid-19) et son évolution aux niveaux mondial et national empêchent l’inauguration de Djamàa El Djazaïr en présence des autorités religieuses musulmanes des cinq continents, des institutions et universités du monde musulman, des organisations internationales islamiques, des oulémas et des intellectuels. De ce fait et une fois la pandémie passée, Monsieur le Président de la République procédera personnellement à l’inauguration de Djamàa El Djazaïr en présence des invités de l’Algérie. En attendant cette inauguration, Monsieur le Président de la République, après consultation du Haut Conseil Islamique, a décidé, dans un premier temps, l’ouverture de la salle de prière de Djamàa El Djazaïr à l’occasion de la célébration du Mawlid ennabaoui echarif qui sera organisée le mercredi 11 Rabie El Aouel 1442 correspondant au 28 octobre 2020. Cette ouverture de la salle de prière coïncide avec la célébration du 1er Novembre 1954, date du déclenchement de la Révolution, marquant ainsi les liens les plus forts du peuple algérien avec ce moment historique qui l’a libéré du colonialisme. En ce qui concerne la prière du Vendredi, Monsieur le Président de la République, après consultation du Haut Conseil Islamique et du Comité scientifique auprès du ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière, a décidé la levée de la suspension de la prière du Vendredi à partir du vendredi 20 Rabie El Aouel 1442 correspondant au 06 novembre 2020 dans les mosquées ayant une capacité supérieure à 1.000 fidèles à travers l’ensemble du territoire national et ce, dans un premier temps. Pour ce qui est de la prière du Fadjr, celle-ci sera autorisée, à partir de cette même date et à travers l’ensemble du territoire national, y compris dans les wilayas concernées par le confinement partiel à domicile. A cette occasion, le Premier ministre rappelle que cette démarche graduelle et flexible a permis de maîtriser et de stabiliser l’évolution de la pandémie du coronavirus (Covid-19) dans le pays et ce, grâce aux efforts des pouvoirs publics, du corps médical ainsi que la prise de conscience des citoyens et la solidarité de tout le peuple algérien. Le gouvernement compte sur la responsabilité des citoyens et des citoyennes sur la nécessité de continuer à respecter les mesures de distanciation sociale, du port obligatoire du masque, de l’utilisation du gel hydro-alcoolique, d’éviter les regroupements et de rester vigilants car le Covid-19 demeure toujours actif. Il rappelle enfin que le non-respect des prescriptions édictées par les pouvoirs publics entraînera systématiquement des sanctions à l’égard des contrevenants.»
  • 13-10-2020
    -L'écrivaine algérienne Houda Bouhraoua a décroché, mardi à Doha (Qatar), le 6ème Prix Katara du roman arabe, dans la catégorie "Roman de jeunes", pour son roman "Nahwa Ennour" (Vers la lumière). Organisé à distance en raison de la pandémie de Coronavirus, ce concours est organisé par la Fondation du village culturel de Katara sous l'égide de l'Organisation arabe pour l'éducation, la culture et les sciences (ALECSO). Enseignante de langue anglaise, dramaturge pour enfants, Houda Bouhraoua figurait déjà, en 2019, sur la short-list du Prix Choumane de la littérature pour enfant en Jordanie. Elle compte à son actif plusieurs œuvres, dont "El-wali Salah" (Le Saint patron).
  • 12-10-2020
    -Le Comité de Sélection Algérien chargé par l’Academy of Motion Picture Arts and Sciences (AMPAS) de désigner le film qui représentera l’Algérie aux Oscars 2021 pour le prix du Meilleur Film International (Anciennement Film en langue Étrangère) vient de choisir à l’unanimité le film « Héliopolis » de Djaafar Gacem « Héliopolis » est la première œuvre cinématographique du réalisateur et producteur Djaafar Gacem, connu pour ses sitcoms et feuilletons comme « Nass Mlah City », « Djemai Family », « Achour El Acher » et « Mawed maa el qadar ». Le président du Comité de Sélection du représentant Algérien aux Oscars M.Mohamed Lakhdar Hamina et les membres du jury ont salué la grande qualité technique, artistique et thématique du film « Héliopolis » .
  • 11-10-2020
    - L'artiste plasticien algérien, Farid Izemmour prend part au Festival international des arts et de l'architecture "Borders Festival Future Landscapes", prévue à Venise (Italie) du 15 octobre au 29 novembre, indique les organisateurs sur la page officielle du festival. Invité à ce festival, Farid Izemmour, sera présent parmi 110 artistes représentant une trentaine de pays. L'artiste exposera au Palazzo Albrizzi-Capello, quatre œuvres de "Traces", une de ses séries, où il a mis en valeur les lettres alphabétiques arabes dans une calligraphie empreinte de douceur, conçue dans une texture vivante aux couleurs éveillées. Né le 24 septembre 1961 à Alger, Farid Izemmour a manifesté des aptitudes pour le dessin dès son enfance, pour qu'il découvre en 1978 à l’Ecole des Beaux Arts d'Alger, l’enluminure et la calligraphie, travail de minutie au sens élevé du détail. Réticent à suivre un schéma d'études préconçu, l'artiste opte pour des études dans le domaine de la santé et obtient à Alger une licence d'instrumentiste, avant de s'établir Genève (Suisse). Reprenant en main sa vocation d'artiste, il entame des recherches sur le classicisme, l'expressionnisme et le dadaïsme et commence alors à s'identifier dans le courant abstrait en s'imprégnant notamment de, Vassily Kandinski (1866-1944) et Jackson Pollock (1912-1956), deux célèbres peintres du XIXe et XXe siècles. Entre 1991 et 1994, Farid Izemmour se spécialise dans la calligraphie, un art ancestral qu'il entretient depuis 30 ans, en le renouvelant constamment par des explorations de nouvelles lignes et textures. Le "Borders Festival Future Landscapes" de Venise est une rencontre artistique pluridisciplinaire qui regroupe les arts plastiques, la photographie, les installations, l'architecture, la vidéo et les performances.
  • 10-10-2020
    -Décret exécutif n° 20-287 du 22 Safar 1442 correspondant au 10 octobre 2020 modifiant et complétant le décret exécutif n° 11-209 du 30 Joumada Ethania 1432 correspondant au 2 juin 2011 portant création, organisation et fonctionnement du conseil national des arts et des lettres. (Joradp n° 61 en date du 11 octobre 2020.)
  • 09-10-2020
    -Dans un communiqué publié, ce vendredi, le ministère saoudien du ‘’Hadj’’ et de la ‘’Omra’’ a indiqué que les sessions du petit pèlerinage (Omra) allaient être rouverts aux pèlerins étrangers. La même source a souligné que le ministère a, à cet effet, instruit les institutions et infrastructures d’hébergement à réactiver leurs différentes plateformes numériques pour se préparer à cette première campagne post Covid-19. Il serait utile de rappeler qu’en raison de la pandémie, les autorités saoudiennes ont décidé de relancer le petit pèlerinage en trois étapes avec des mesures destinées à empêcher, comme pendant le hajj organisé fin juillet, toute contamination. Dans un premier temps, seuls 6.000 Saoudiens et résidents étrangers seront autorisés, chaque jour à partir de dimanche, à effectuer ce pèlerinage. Les 6.000 fidèles seront divisés en 12 groupes pour permettre la fluidité de mouvement et assurer le respect de la distanciation physique lors des circonvolutions autour de la Kaaba, a expliqué le ministre du Hajj, Mohammed Benten la semaine dernière à la télévision saoudienne. Le 18 octobre, le nombre de fidèles (Saoudiens et résidents étrangers) autorisés à effectuer le petit pèlerinage sera porté à 15.000 par jour et 40.000 autres seront admis dans la Grande mosquée pour les prières quotidiennes. Les fidèles venant de l'étranger seront eux autorisés à partir du 1er novembre, quand le nombre de pèlerins admis s'élèvera à 20.000 par jour et celui des personnes autorisées à effectuer les prières à 60.000. Les pays d'origine des pèlerins étrangers seront sélectionnés par le ministère de la Santé sur la base de l'évolution de la pandémie de Covid-19. De ce fait, et après que les autorités saoudiennes aient, officiellement, donné leur feu vert, il est à prévoir que la voie sera ouverte pour les Algériens, l’Algérie étant le pays qui enregistre le taux le plus faible des contaminations par coronavirus, à ce jour. Reste à attendre, la décision des hautes autorités du pays qui maintiennent fermées les frontières et la navigation aérienne.
  • 08-10-2020
    -Le prix Nobel de littérature 2020 est revenu à la poétesse américaine Louise Glück. Elle succède à la romancière polonaise Olga Tokarczuk et à l’écrivain autrichien Peter Handke, primés en 2019. « Louise Glück est couronnée pour sa voix poétique caractéristique, qui avec sa beauté austère rend l’existence individuelle universelle », a annoncé l’Académie suédoise, reprise par les agences de presse. Louise Glück, 77 ans, native d’une famille juive hongroise, a fait ses débuts en littérature à New York avec la parution de son premier recueil, « Firstborn » (premier-né) en 1968. Depuis, elle a écrit une quinzaine de recueils dont The Garden (le jardin) en 1976, The Wild iris (Les Iris Sauvages) en 1992 et The Seven Ages (Les sept âges) en 2001. Son oeuvre est concentrée sur les rapports familiaux…………………………………………………………………….......................................................................................... Khenchela: -Un militant a été condamné ce jeudi 08 octobre 2020 à une peine de 10 ans de prison ferme et une amende de 10 millions de Da par le tribunal de Khenchela, a indiqué le comité national pour la libération des détenus (CNLD). Le parquet avait requis 8 ans de prison ferme à l’encontre de Yacine Mebarki, lors de son procès mardi 6 octobre au tribunal de Khenchela. Il avait été arrêté le mercredi 30 septembre 2020 après une perquisition à domicile. Le CNLD fait savoir que la police a trouvé « des anciens livres religieux et d’histoire et un livre du Coran appartenant à son grand père. Et après fouille, ils ont trouvé une feuille déchirée dans le Coran », rajoute la même source, qui explique ceci par l’ancienneté du livre. Placé en détention provisoire le lendemain, jeudi 01 octobre 2020 après avoir été présenté en comparution immédiate devant le juge d’instruction, Yacine Mebarki, militant pour la cause amazighe également, est accusé « d’incitation à l’athéisme, offense ou dénigrement du dogme ou des préceptes de l’Islam et atteinte à l’unité nationale », poursuit le CNLD.
  • 06-10-2020
    -Le journal britannique « The Guardian » a classé, dans un numéro paru récemment, les deux films algériens « La Bataille d’Alger » et « Chronique des années de braise » parmi les vingt meilleurs long-métrages dans l’histoire du cinéma en Afrique. Réalisé par Gillo Pontecorvo, en 1966, « La Bataille d’Alger » revient sur une des périodes de la guerre de libération algérienne, en braquant les projecteurs sur la résistance des habitants de la Casbah contre l’occupant français. Le film a reçu plusieurs distinctions, dont le « Lion d’or » dans le Monstra de Venise en Italie en 1966. Sorti en 1974, « Chronique des années de braise », relate la souffrance des Algériens aux plans socioéconomique et culturel durant le joug colonial lors des années 40 et 50 du siècle passé. Réalisé par Mohammed Lakhdar-Hamina, le long métrage remporte, entre autres, la « Palme d’or » de la 28e édition du festival cinématographique de Cannes en 1975. Le cinéaste anglais Peter Bradshaw, qui intervient très souvent dans la rubrique du 7e art à la radio de BBC, a cité les deux titres algériens aux côtés de « Abouna (2002/Tchad), « Touki Bouki » (1973/Sénégal), « Gare centrale » (1958/Egypte), « En attendant le bonheur » (2002/Mauritanie) et « La Saison des hommes » (2000/Tunisie)
  • 05-10-2020
    -« Le Parc national du Djurdjura » (PND) a remporté le deuxième prix à la 1re édition du Festival Mongorno du film de montagne, a indiqué le chargé de communication de cette institution, le conservateur principal des forêts Ahmed Alileche. Le PND a participé au concours en ligne de la première édition de ce festival organisé par l’Office du tourisme de Médéa sous le haut patronage des ministres du Tourisme et de l’Artisanat et du Travail familial et de l’Environnement, avec un documentaire de 16 minutes, mettant en valeur la diversité et la richesse environnementale et socioculturelle de ce parc, a précisé la même source «Le PND s’est distingué par un classement honorifique en arrachant le deuxième prix. Après un travail de longue haleine qui a pris beaucoup de temps et des efforts colossaux, vu la superficie étendue et le relief accidenté du Djurdjura», des efforts qui ont permis de mettre en valeur le parc et de dévoiler ses potentialités nombreuses dont sa diversité faunistique et floristique avec ses espèces endémiques, son riche patrimoine hydrique, culturel, historique et cultuel, ses curiosités géologiques et géomorphologiques, ses villages suspendus aux falaises et la palette des sports de montagne qui sont ou peuvent y être pratiqués. La fragilité de cet écosystème de montagne, menacé par une surfréquentation, la pollution causée par les déchets laissés sur place par des randonneurs et des campeurs, la surexploitation de ses ressources hydriques, le surpâturage, et la nécessité de sa préservation pour le léguer aux générations futures ont été également mis en exergue dans ce film. Pour le Parc national du Djurdjura, «ce rendez-vous a été une occasion pour montrer les trésors cachés du Djurdjura qui est un orobiome (écosystème de montagne) et la nécessité de promouvoir ses valeurs patrimoniales dans le cadre du développement durable», a-t-on indiqué. Ce prix a été décroché sur un total de 14 films en compétition. Le premier prix a été remporté par le documentaire « Mina El Kima »( From above )de Mohamed Gribi, alors que le troisième a été attribué au film « Timezguida el Fatina» (Timezguida la séductrice) de Mahiedine Skender, ont annoncé, sur les réseaux sociaux, les organisateurs de cette manifestation destinée à promouvoir et développer la production des films de montagne et la protection de l’environnement. Le prix du jury a été attribué à « Kouat el aazima », (Power of will) d’Ishak Lafani, et celui du public au court métrage « Rekoub Edarradja » (Cycling) de Samir Djebari, ont ajouté les initiateurs de ce festival placé sous le slogan «Pour la promotion du tourisme de montagne en Algérie» et organisé du 24 au 27 septembre dernier à Médéa.
  • 02-10-2020
    -Le président français Emmanuel Macron annonce son intention de “libérer l'islam de France des influences étrangères”, en mettant fin au système de formation des imams à l'étranger, en promouvant une labellisation des formations d'imams et en renforçant le contrôle sur les financements des cultes. Afin de construire “un islam qui puisse être en paix avec la République”, il est d'abord nécessaire de “libérer l'islam en France des influences étrangères”, a assuré E. Macron dans un discours aux Mureaux, une banlieue sensible en région parisienne. Pour renforcer le contrôle des financements des lieux de culte, il a affirmé qu'il entendait “inciter” les associations cultuelles musulmanes, qui sont majoritairement constituées sous le régime de l'association loi 1901 “à basculer” dans le régime de la loi de 1905 sur la séparation de l’Église et de l'État (fondement de la laïcité à la française) moins souple sur le plan des obligations comptables.