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Culture (et Religion)

Journée du Mardi 09/12/2020

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-Le cérémonial religieux à la mémoire de l’ancien archevêque d’Alger, Monseigneur Henri Teissier, décédé le 1er décembre, a débuté mercredi matin à la Basilique Notre Dame d’Afrique à Alger par de vibrants hommages de citoyens de différentes confessions, de religieux et d’officiels. Dés 9h00, de nombreux citoyens, Algériens, Français et autres, se sont relayés, dans un profond recueillement, devant la dépouille du défunt, exprimant leur profonde compassion ainsi que leur attachement aux valeurs de fraternité et du vivre-ensemble prônées et défendues, sans relâche, par le religieux franco-algérien. De vibrants témoignages et de pieuses pensées ont également été adressés au défunt et consignés dans le Livre d’or destiné à cet effet, aussi bien par des Musulmans que par des Chrétiens, tous adeptes de son message d’amour, de paix et de tolérance. Un hommage officiel sera rendu, à partir de 11 heures, au défunt à l’intérieur de la Basilique, par des officiels algériens et des représentants de l'Eglise. Selon le programme annoncé par l’Archevêché d’Alger, la cérémonie religieuse prévoit, de 12h à 15h 45, la poursuite du recueillement devant la dépouille et la signature du Livre d’or, mais également la rencontre avec les membres de la famille Teissier, les quatre évêques d’Algérie et des membres de l’Eglise. Afin de permettre aux personnes n’ayant pu assister au déroulé de la cérémonie religieuse à l’intérieur de la basilique, une diffusion directe est programmée sur la page Facebook de l’église (https://www.facebook.com/notredameafrique) ainsi qu’une retransmission à la cour de la basilique via des hauts parleurs. La cérémonie religieuse devra prendre fin autour de 16h00 par la mise en terre de la dépouille du défunt, dans l'intimité, dans la Chapelle Sainte Monique de la Basilique où il reposera, désormais, aux côtés du Cardinal Duval. Il sera possible, les jours suivants, de se recueillir sur la tombe du père Teissier pendant les heures d’ouverture de la Basilique, avait informé l’Archevêché d’Alger. La dépouille de Mgr Teissier, décédé dans la ville française de Lyon (Oran) où il naquit il y a 91 ans, est arrivée mardi en début d'après-midi à l’aéroport international Houari Boumediène d’Alger. A 17h00, une cérémonie religieuse a eu lieu à la Basilique Notre-Dame d’Afrique, également suivie en direct sur la page Facebook de la Basilique et par haut parleur depuis l’esplanade de cette dernière………………………………………… -Le réalisateur et producteur cinématographique Bachir Derrais a réagi mercredi à la convocation judiciaire de l'ancien ministre de la culture Azedine Mihoubi, sur des faits de corruption liés à la gestion de son département ministériel, en l'accusant de l'avoir privé du transfert d'argent vers l'étranger pour le besoin en poste de production de l'un de ses films. Dans un message posté sur son compte Facebook, Derrais écrit "je viens de recevoir le procès verbal de l'audition de Azeddine Mihoubi au Tribunal de Bir Mourad Rais. Je me rends compte que finalement mon film est le seul projet financé par le ministère de la culture qui n'a bénéficié d'aucun centime d'euro et qui s'est vu refuser toute autorisation de transfert d'argent pour le poste production. À l'époque, Quand j'avais cherché à comprendre les raisons de ce refus, M. Mihoubi avait dit aux responsables du CADC, mon partenaire étatique, que c'était Ahmed Ouyahia, premier ministre, qui ne supporte pas Bachir Derrais, qui est derrière ce refus (je n'ai pas cru à cette version une seule seconde)". Le réalisateur producteur poursuit ses accusations en notant que "dans la même semaine, ce Mihoubi accorde une autorisation de transfert d'un montant de 1 millions d'euros vers le compte de la société de Yamina Benguigui pour un film français et 3 autres autorisations pour deux autres projets. Alors que j'avais demandé le transfert du quart de la somme accordée au film de Y.Benguigui". Pour Bachir Derrais, "il y a une justice devine. Mais ceux qui croient que je vais me taire, se trompent lourdement. Je règle quelques petits soucis liés au prochain film et je m'occuperai de tout ceux qui ont saboté mon film (ministres ou ses larbins) par toutes les voies juridiques et légales en Algérie et à l'étranger".