Nom d'utilisateur:
Mot de passe:

Se souvenir de moi

S'inscrire
Recherche:

Culture (et Religion)

Journée du Mercredi 13/08/2020

<< août 2020 >>
sam dim lun mar mer jeu ven
1 2 3 4 5 6 7
8 9 10 11 12 13 14
15 16 17 18 19 20 21
22 23 24 25 26 27 28
29 30 31 1 2 3 4



- Des ruines romaines ont été découvertes à Mila suite aux deux secousses telluriques survenues vendredi passé dans la commune de Hamala, a annoncé le chef du service de patrimoine culturel à la direction locale de la culture, Lezghad Chiaba, Les failles de terrain provoquées par ces deux séismes ont dévoilé des pierres taillées, des tuiles, un bassin en pierre, des murs de constructions et des colonnes de forme cylindrique, a fait savoir la même source. Ces nouvelles ruines ont été découvertes à la cité El Amel, qui fait partie d’un site archéologique déjà recensé et classé parmi les biens culturels immobiliers de la wilaya. Il s’agit d’une ferme romaine occupant un vaste terrain dans le prolongement du vieux Mila, a déclaré le même cadre. Les premiers constats montrent qu’il s’agit bien de cette ferme, que les failles causées par le séisme ont fait réapparaître après être restée longtemps ensevelie..........................................................................................................................................................................................;; -Le film franco-algérien « SŒURS » réalisé par Yamina BENGUIGUI sera présenté est en avant-première mondiale au Festival du Film d’Angoulême, ce 31 août. La réalisatrice Yamina Benguigui, les actrices Isabelle Adjani, Rachida Brakni et l’acteur Rachid Djaïdani seront présents à la projection au CGR Angoulême – Méga CGR le lundi 31 août à 17h ont annoncé les organisateurs sur leur page facebook. Soeurs est avant tout une histoire autobiographique de Yamina Benguigui. Il retrace l’histoire de trois soeurs algériennes, dont le père est un militant du Front de libération nationale (FLN) et assigné à résidence en France à Saint-Quentin. « C’est un soldat qu’on n’a jamais débranché. Ses filles sont déchirées entre deux identités : à la maison, c’est l’Algérie, dehors, c’est la France, » résume Yamina Benguigui. Devenues adultes, les trois femmes vont se disputer lorsque l’une d’elles décide de raconter au théâtre la vie de leur père mourant. « Le film est à 60% autobiographique, 40% fiction, reconnaît Yamina Benguigui. Mon cinéma s’ancre dans le réel. Les yeux de l’enfance, je ne peux pas les réinventer, c’est pour cela que j’avais besoin de tourner à Saint-Quentin. Ma maman y vit, mes deux frères et ma soeur aussi, j’ai une émotion particulière à tourner ici. », précise Benguigui dans un média français. Le film dont une partie a été tournée en Algérie est coproduit avec le Centre Algérien du Développement du Cinéma (CADC), met en vedette une pléiade de comédiens français d’origine algérienne à l’image de Adjani, Brakni, Maiwenn, Djaidani et bien sûr Benguigui. Coproduit par les sociétés françaises « Bandits » appartenant à Dupuis-Mendel et « Elemiah » dirigé par Liza Benguigui, le film devait sortir en 2019, mais sa sortie a été ensuite retardée par la crise du Coronavirus. Faute de sélection au festival de Cannes, le film de Benguigui qui traite de l’histoire commune entre l’Algérie et la France s’est rabattu sur l’un des plus importants festival français: Angoulême.