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Culture (et Religion)

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  • 25-02-2021
    -La ministre de la Culture et des Arts, Malika Bendouda, a mis l'accent sur l'urgence de promulguer un nouveau cahier des charges régissant l'organisation des festivals culturels et artistiques en Algérie, indique un communiqué du ministère. S'exprimant lors d'une réunion tenue jeudi en présence de cadres du secteur en vue d'examiner la relance des grandes manifestations culturelles et artistiques et arrêter le calendrier culturel au titre du mois sacré de Ramadhan et du mois dédié au patrimoine, Mme Bendouda a souligné l'impératif d'accélérer «la promulgation d'un nouveau cahier des charges régissant l'organisation des festivals». Le nouveau cahier des charges devra prendre en compte le plan de mise en place des contrats de performance adopté par le secteur, et s'inscrire dans la vision du département de la culture basée essentiellement sur le développement de l'économie culturelle, en y associant le reste des secteurs, y compris les collectivités locales, a ajouté la même source.
  • 20-02-2021
    -Le ministre des Affaires religieuses et des Wakfs, Youcef Belmehdi, affirmé, ce samedi à Alger, que les slogans scandés par les Algériens, lors du Hirak, étaient «une confirmation de leur attachement à leur histoire et à leur patrie». «Les slogans, puisés de la glorieuse guerre de Libération et de la Déclaration de Novembre, scandés par le peuple algérien, le 22 février 2019, dans des manifestations pacifiques, ont confirmé à tous que les Algériens demeurent attachés à leur histoire et à leur patrie, et n'en ont nullement dévié», a précisé le ministre, dans une déclaration à Dar El-Coran, à la veille du deuxième anniversaire du Hirak populaire. «Ceux qui sont sortis le 22 février n'ont jamais dévié de l'Algérie, qu'ils ont voulu République démocratique fondée sur les principes et valeurs de l'islam, comme l'ont rêvé nos ancêtres», a soutenu M. Belmehdi, mettant en avant des slogans «novembristes, inspirés de nos héros et symboles, ainsi que de la Déclaration du 1er Novembre 1954». Pour M. Belmehdi, cette journée «mérite la commémoration, car beaucoup misaient sur la fin de l'Algérie, comme cela avait été le cas lors de la décennie noire qu'a traversée notre pays». À cette occasion, le ministre a exhorté les jeunes à «préserver le message des chouhada, qui se sont sacrifiés pour leur offrir l'indépendance et la liberté», saluant également «le rôle des mosquées et des écoles coraniques dans la préservation de l'identité de l'Algérie tout au long des siècles». «Un rôle que les mosquées continuent à jouer, à travers l'accompagnement des hautes autorités du pays en toutes circonstances, notamment aujourd'hui, par la sensibilisation à l'impératif de préserver la vie dans le cadre de la lutte contre la pandémie de Coronavirus», a-t-il conclu.
  • 19-02-2021
    -« Meursault, contre-enquête” de Kamel Daoud continue de séduire la critique littéraire. Ainsi, le prestigieux quotidien britannique The Guardian le classe parmi les dix romans qui redonnent une nouvelle vie à des classiques de la littérature universelle. L’article signé par l’auteure américaine, Ali Benjamin, suggère que pour dépoussiérer les classiques, il faut lire ces nouveaux romans-répliques. Lire Meursault pour redécouvrir L’Étranger.“Soixante-dix ans plus tard, l'homme assassiné obtient enfin un nom, Moussa, ainsi qu'un passé, une maison, une famille et un héritage. Le frère de Moussa, Haroun, maintenant un vieil homme, révèle à un étranger la longue ombre portée par l’effacement de Musa ; lentement, une histoire de chagrin et de rage impuissante se transforme en la propre confrontation de Haroun avec l’absurde”, écrit Ali Benjamin. À l’inverse des critiques étroites réservés au roman lors de sa sortie en Algérie, l’auteure américaine décèle dans Meursault, contre-enquête un “livre qui élargit l'enquête existentialiste sur les questions de colonialisme, de dépossession et d'identité”. “ Ne lisez pas l’un sans l’autre”, recommande l’auteure de l’article.
  • 11-02-2021
    -Le chanteur Baaziz a révélé pour la première fois, lors de son passage sur le plateau de l’émission Raina show de Kada Benamar, que le célèbre clip « Algérie mon amour » a été produit par un français pour la somme de 70 000 euros. Sans citer son nom, Baaziz a juste précisé que le producteur en question avait produit la “Lambada” qui a apparu ensuite être un plagiat d’une chanson écrite en espagnol par les frères Hermosa, leaders du groupe bolivien Los Kjarkas) lancée en août 1989. Le producteur en question (source www.dia) c’est Jean Karakos, un franco-grec, qui produit de nombreux artistes de Jazz et qui avait participé en 1969, au festival panafricain d’Alger, d’ou son soutien pour cette opération pour la promotion de l’Algérie. Le clip “Algérie mon amour”, avait été écrit par Baaziz, qui s’est inspiré d’une chanson rai. Installé à Paris suite à la menace terroriste, il avait réussi, avec son ami Mohamed Ali Allalou à convaincre de nombreux chanteurs algériens exilés et installés en France pour interpréter une chanson en amour à l’Algérie. Il voulait une chanson à la “We are the world”, qui associerait toutes les tendances musicales du pays. La majorité des chanteurs en herbe venait de s’installer en France, c’est c’est le cas de Souad Massi, qui a fait juste une figuration dans ce challenge. Parmi les chanteurs présents dans ce clip, il y’avait des chanteurs confirmés aussi: Behidja Rehal, Mohamed Lamine, Jimmy Wahid, Djalti, Mazigh Kateb, Safy Boutella, Djamel Allam, Brahim Izri, Moh Sidi Bemol, le groupe T34, le groupe Intik, Mohamed Polyphène, Hamidou et Khaled Junior. Ce dernier a été associé au clip pour palier à la défection de Cheb Khaled qui avait refusé comme cheb Mami de participer à ce clip car le cachet n’était pas intéressant. Enregistré à Paris au studio Acoustica en février 1999, la chanson a remporté un grand succès en Algérie et fut largement utilisée durant la campagne politique pour la Charte de réconciliation nationale. La chanson a été utilisée également par Bazziz pour se refaire une nouvelle virginité avec le pouvoir à Alger, après la polémique engendrée par une chanson interprété en direct à la télévision publique contre les généraux et qui lui vaudra une interdiction de passage dans les médias lourds et l’interruption de sa tournée en Algérie.
  • 07-02-2021
    -Un projet de création d’une école supérieure de cinéma et de l’audiovisuel est à l’étude. L’école aura son siège à Tipaza. « Le dossier de la création de cette école est prêt à 90 %. Il y a encore quelques études à faire sur le programme pédagogique », a annoncé Youcef Sehairi, secrétaire d’État chargé de l’Industrie cinématographique et de la Production culturelle, dans une interview à Ennahar TV. Selon le ministre, l’Institut supérieur des métiers des arts de spectacle et de l’audiovisuel (ISMAS) de Bordj El Kiffan (Alger) reviendra à son programme de formation initiale concentrée sur les arts dramatiques. Il a annoncé que le ministère de la Culture a récupéré, entre 2014 et 2020, 80 salles de projection. Des salles restées sans exploitation commerciale pour la plupart. « La solution est de confier la gestion des salles à des privés avec un cahier de charges et des incitations. Les investisseurs ne vont pas trop s’aventurer car le marché du cinéma n’est pas connu », a-t-il noté. Il a parlé de projets d’initiative privée de construction de multiplex dans certaines wilayas. « Il existe aussi de nouvelles plateformes numériques que nous allons alimenter avec des films algériens », a-t-il annoncé. Youcef Sehairi a évoqué la révision de l’organisation des festivals de cinéma pour qu’ils aient « une dimension économique et touristique ». Les associations doivent, selon lui, être encouragées à créer leurs propres festivals. Le Centre algérien du développement du cinéma (CADC) a été instruit, selon le ministre, pour réunir tous les producteurs et réalisateurs dont les films sont en litige, non finalisés ou non encore présentés au public. Le ministre a annoncé que l’avant-projet de décret relatif à l’artiste et aux techniciens de l’image est au niveau du SGG (Secrétariat général du gouvernement) avant d’être mis en application. Le texte précise tous les types de relations de travail. La loi 11/03 du 17 février 2011 relative à la cinématographie sera révisée. Youcef Sehairi a abordé également le projet de création du Centre national du cinéma. « Il sera un guichet unique, le seul interlocuteur des opérateurs économiques algériens et étrangers, fera des propositions au gouvernement sur les aspects législatifs et organisationnels du cinéma, donnera toutes les autorisations liées à l’activité cinématographique. Il interviendra dans tous les domaines du cinéma, distribution, production, de coproduction, d’exploitation de salles », a-t-il détaillé. Le centr eveillera à assurer, selon lui, la mission de service public « une fois le marché ouvert aux privés » (cinéma commercial). Actuellement, il existe trois organismes chargés du cinéma en Algérie : le CADC, le CNCA (Centre national de la cinématographie et de l’audiovisuel) et le CAC (Le centre algérien de la cinématographie). Youcef Sehairi a confirmé l’existence de discussions actuellement entre les télévisions algérienne et turque pour étudier la possibilité de tourner une partie de la deuxième saison du feuilleton épique « Barberousse » en Algérie. « Nous sommes favorables au projet. Cela pourrait être concrétisé l’année prochaine », a-t-il déclaré. Le feuilleton, réalisé par Taylan Biraderler, revient sur le chef militaire ottoman Kheireddine Barberousse, devenu Sultan d’Alger en 1518, une année avant le rattachement de la Régence d’Alger à l’Empire Ottoman..................................................................................................................................................................................................... --La ministre de la Culture et des Arts Malika Bendouda a installé ce dimanche au siège de son département, M. Ahmed Belalem dans ses nouvelles fonctions de directeur du Centre national des manuscrits, indique le ministère dans un communiqué. La ministre de la Culture et des Arts a instruit le nouveau directeur afin de redynamiser le rôle du Centre national des manuscrits sur les plans, local et national, et travailler de manière à dresser un inventaire des manuscrits existants et les numériser. Malika Bendouda a insisté sur la nécessité de mettre au point des programmes à même de conserver, restaurer et mettre en valeur les manuscrits en impliquant des compétences qualifiées en collaboration avec les institutions concernées. L'importance de travail de proximité et des échanges avec les différents acteurs, associations, zaouia, et citoyens a également été soulignée par la ministre. Natif de la wilaya d'Adrar, Ahmed Belalem est diplômé dans le domaine des finances et de l'économie, il a occupé plusieurs postes de responsabilité dans l'administration du secteur des finances. Membre actif de la société civil activant dans les domaines liés au patrimoine, il a également été collaborateur principal dans le projet de la Khizana nationale du patrimoine qui a numérisé un grand nombre de manuscrits de la région d'Adrar. Créé en janvier 2006, le Centre national des manuscrits, instalé dans la wilaya d'Adrar, est chargé de faire l`inventaire national du fonds de manuscrits, de localiser les khizanas, de cataloguer, de conserver et de procéder à la paléographie des plus importantes pièces de ces bibliothèques traditionnelles………………………………………………. -Après sa nomination le 1er janvier dernier par le pape François nonce en Algérie, Mgr Kurian Mathew Vayalunkal, 54 ans, vient d’être nommé représentant du Saint-Siège en Tunisie. Du coup, ce représentant du Vatican supervisera deux pays à la fois, et ce, après avoir été représentant en Papouasie-Nouvelle-Guinée et dans les îles Salomon. Ainsi, ce prêtre de 54 ans, natif de Vadavathoor, dans l’État du Kerala (Inde), se retrouve en charge des nonciatures en Algérie et en Tunisie. À noter que ce canoniste polyglotte avait déjà successivement travaillé dans les nonciatures en Guinée, en Corée du Sud, en République dominicaine, au Bangladesh, en Hongrie et en Égypte.
  • 05-02-2021
    - Invité à l’émission de TV5 monde MOE – Maghreb-Orient Express, pour présenter son livre d’entretiens avec Catherine Lalanne “Le Baiser et la Morsure” sorti aux éditions Pocket et l’adaptation graphique de son roman “Dieu n’habite pas à la Havane” publié aux éditions Michel Lafont, l’écrivain algérien Yasmina Khadra a ouvertement dénoncé les tentatives d’un vainqueur du Goncourt Tahar Benjelloun, de l’empêcher de percer en France. “Après vingt ans de silence, ne voyant personne s’assagir et tenter de renoncer à la vilénie, j’ai été contraint de dénoncer les manœuvres inqualifiables d’un écrivain que j’ai toujours respecté et qui s’est avéré être indigne de considération. J’ai nommé Tahar Benjelloun.” a déclaré sur le plateau de TV5, Yasmina Khadra affirmant qu’il est temps de rassurer ses lecteurs et les libraires, qui le défendent contre vents et marées. L’écrivain marocain avait fait largement circuler la rumeur comme quoi Yasmina Khadra n’est pas le véritable auteur de ses romans. L’écrivain algérien qui était militaire quand il a commencé clandestinement sa carrière d’écrivain, avait adopté un pseudonyme créé par sa femme. Il explique sa vie cachée d’auteur dans le livre “Le Baiser et la Morsure”.