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Culture (et Religion)

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  • 25-01-2021
    -Le Théâtre National Mahieddine-Bachtarzi (TNA) a dévoilé dimanche les lauréats du concours virtuel de la "Meilleure interprétation théâtrale", lancé en juillet 2020 à l'occasion de la célébration du 58e anniversaire du recouvrement de l'Indépendance et la fête de la jeunesse. Tiziri Benyoucef de Tizi Ouzou et Ahmed Brik Chaouch de Boumerdès ont tous deux été distingués du premier prix pour leurs interprétations de l'un des rôles dans les pièces "Ech'chouhada yaoudoun had el ousboue" et "Hafila Tassir", respectivement. Le deuxième prix est revenu à Amar Saber de Tizi Ouzou pour sa reprise de l'un des rôles dans la pièce "Hafila Tassir", alors que la troisième place du podium, a été obtenue par Bariza Saidi de Batna pour sa reprise de l'un des rôles dans la pièce "Si Keddour El Mech'hah". Une vingtaine de candidats inscrits à ce concours, organisé dans le cadre du programme virtuel du Tna qui s'est astreint, à l'instar de tous les autres établissements culturels, au strict respect du protocole sanitaire en vigueur contre la propagation de la pandémie de la Covid-19, ont choisi de rendre le rôle de l'un des personnages distribués dans huit pièces qui ont le plus marqué l'histoire du Théâtre algérien. Issus d'une dizaine de wilaya, les participants (une dizaine) ont envoyé au jury du Tna des enregistrements vidéo dans lesquels ils ont rejoué des extraits des pièces "Si Keddour el mech'hah", "El guerrab wes'salhine", "El Adjwed", "El Bouaboun", "Rih semsar", "Kalou laârab kalou", "Ech'chouhada yaoudoun had el ousboue" et "Hafila tassir". Les distinctions des lauréats sont dotées des sommes de 100.000 DA pour le premier prix, 60.000 DA pour le deuxième et 30.000 DA pour la troisième place.
  • 19-01-2021
    -Le doyen des musiciens algériens, Cheikh Namous, célèbre pour son jeu au banjo et au guember, est décédé dans la nuit de lundi à mardi à Alger à l’âge de 100 ans, annonce la radio nationale. Né en mai 1920 à Soustara, Mohamed Rachidi de son vrai nom a commencé à jouer dans l’orchestre de Mohamed Sridek à la fin des années 1930 avant de rejoindre l’orchestre d’El Hadj M’hamed El Anka. Namous a obtenu son certificat d’études en 1933 à l’école Sarouy. Sa famille a ensuite emménagé à Zoudj Ayoune, où l’ambiance, malgré la pauvreté, était plus joyeuse. Il avait également accompagné Moh Seghir Laâma pour toutes les fêtes animées à la Casbah et intègré l’orchestre de la radio en 1953. A l’indépendance, le musicien se faisait un plaisir de répondre aux sollicitations de chanteurs châabi comme Boudjemâa El Ankis, Amar El Aâchab, ou encore Dahmane El Harrachi. Il a également créé une école de musique où il a formé de nombreuses générations de musiciens.......................................................................................... -.-La nouvelle carte archéologique de l'Algérie a été présentée, ce mardi à Alger, sous forme d'application interactive conçue par plusieurs instances spécialisées en archéologie, relevant du ministère de la Culture et des Arts. Cette carte, dont la réalisation a été lancée en mai 2020 par le ministère de la Culture, se veut une mise à jour de l'Atlas archéologique réalisé par l'archéologue français Stéphane Gsell en 1911 durant la période coloniale, intitulé "Atlas archéologique de l'Algérie". Le livre de M. Gsell (Atlas archélogique de l'Algérie) "avait des dimensions idéologiques et un contexte colonialiste, en ce sens qu'il ne s'était penché que sur les sites archéologiques romains situés dans le nord de l'Algérie", a fait savoir la ministre de la Culture, Malika Bendouda qui a relevé que la nouvelle carte "reflète la réalité historique et civilisationnelle de l'Algérie qui remonte à 2,5 millions d'années et qui englobe toutes les régions de l'Algérie notamment le Sud du pays". Pour la ministre, la réalisation de cette carte s'inscrit dans le cadre de "la sécurité culturelle et du détachement de la carte et du discours culturel du colonisateur français", ajoutant que cette dernière avait touché plusieurs domaines et exigeait davantage de temps pour s'en défaire définitivement". Pour sa part, l'archéologue et initiateur du projet, Abderrahmane Khelifa, a estimé que cette carte constituait "un cadastre englobant 15.200 sites dont 7.640 recensés dans l'Atlas de Gsell et 7.652 nouveaux sites", ajoutant que ladite carte "devra être renouvelée en permanence et sera bientôt disponible au large public sur le site électronique du ministère de la Culture et des Arts". "La carte a des visées touristiques, historiques et économiques. Elle offre également une carte archéologique miniature de chaque wilaya, ce qui contribuera à la promotion des sites archéologiques de chaque région et à leur préservation lors de la réalisation de projets de développement". Ont participé à la réalisation de cette carte le Centre national de recherches préhistoriques, anthropologiques et historiques (CNRPAH), le Centre national de la recherche en archéologie (Cnra), l'Office de gestion et d'exploitation des biens culturels (Ogebc) et l'Office de protection et de promotion de la vallée du M'zab (OPVM). Les parcs nationaux ont également participé à ce projet, dont le parc national du Ahaggar et le parc culturel du Tassili N'Ajjer, outre les directions de wilaya de la Culture et des Arts.
  • 12-01-2021
    -Le président de la République Abdelmadjid Tebboune, a adressé, mardi, ses meilleurs vœux au peuple algérien à l'occasion du Nouvel An amazigh, souhaitant que cette année soit pleine de bien-être, de bénédictions et de prospérité. "A l'occasion du Nouvel An amazigh, je tiens à exprimer à tout le peuple algérien mes meilleurs vœux et souhaits, priant Dieu Tout-Puissant que cette année soit porteuse de bien-être, de bénédictions et de prospérité. +Assegas amegaz+", a écrit le Président Tebboune sur sa page Twitter.
  • 10-01-2021
    -La ministre de la Culture et des Arts, Malika Bendouda a donné une instruction pour la réouverture des théâtres, des maisons de la culture et des espaces relevant des établissements culturels sous tutelle, fermés depuis plus de 10 mois en raison de la propagation de la covid-19, indique un communiqué du ministère La décision de réouverture de ces espaces (théâtres, maisons de la culture et établissements culturels sous tutelle) intervient suite « à la réunion tenue récemment entre Mme Bendouda et les cadres du ministère et en réponse au besoin incessant exprimé par les intellectuels et artistes en vue de redynamiser les activités culturelles et artistiques ». …………………………………………………………………………… -Une statue à l’effigie du pharaon d’origine berbère Chachnaq qui a été érigée ce dimanche 10 janvier 2020 au centre-ville de Tizi Ouzou, fait polémique sur les réseaux sociaux. Cette statue rend hommage à ce légendaire et historique pharaon amazigh et se joint ainsi aux nombreuses festivités qui seront animées à travers toute la Kabylie et Tamazgha pour célébrer Yennayer. Cette oeuvre pharaonique de 5 mètres de hauteur, a été sculptée par de jeunes artistes de l’école des beaux arts d’Azzazga : Hamid Ferdi et Samir Salmi. Elle a été installée à proximité du musée de la ville des genêts et sera inaugurée par les élus locaux à l’occasion de Yennayer ce mardi. Sur la toile algérienne, beaucoup d’internautes, notamment les islamo-conservateurs ont réagi d’une manière violente et honteuse à cette initiative culturelle séculaire, accusant les initiateurs d’impies et de non musulmans. Certains qui ne connaissent pas l’histoire berbère, accusent les initiateurs de faire la promotion de l’histoire égyptienne des pharaons. Pour rappel, le roi Chachnak, est un pharaon d’Egypte, il y a de cela 950 ans avant Jésus Christ. Chachnak avait détrôné le pharaon Ramsès II à Iwa. Il avait fondé sa capitale à Tanis ville du Delta du Nil. (Portant actuellement le nom de San El Hadjer). C’est à partir de la date de son intronisation, qui est identifiée le 12 janvier, que fut célébrée Yennayer, le début de l’année amazigh et considérée comme une fête païenne, qui est également associée à un fait d’arme historique, qui est l’intronisation d’un Amazigh à la tête de l’Egypte antique.
  • 02-01-2021
    -L’écrivain Merzak Bagtache, ancien journaliste et auteur de plusieurs romans à succès, est décédé samedi à Alger à l’âge de 75 ans, a-t-on appris auprès de ses proches. Natif d’Alger en 1945, Merzak Bektache a fait son entrée en littérature dans les années 1960 avec des recueils de nouvelles avant de se lancer dans le roman. Membre du Cosneil suoérieur de k’Inforamation en1990-1993), nembre du Conseil consultatif national, créé en 1992 par le Président Mohamed Boudiaf, il avait été blessé dans un attentat terroriste. Lauréat en 2017 du Grand prix du roman Assia-Djebar pour son roman en langue arabe « La pluie écrit ses mémoires », Bagtache a signé dernièrement « Quatro », son dernier né paru aux éditions publiques « Anep ».