Nom d'utilisateur:
Mot de passe:

Se souvenir de moi

S'inscrire
Recherche:

Communication ( et Presse)

Mois du 12/2020

<< décembre 2020 >>
sam dim lun mar mer jeu ven
28 29 30 1 2 3 4
5 6 7 8 9 10 11
12 13 14 15 16 17 18
19 20 21 22 23 24 25
26 27 28 29 30 31 1



  • 30-12-2020
    -Lina TV est, depuis jeudi 1 octobre 2020, en diffusion expérimentale sur le satellite NileSat, sur la fréquence 10922 H 27500. « Télévision lina ou likoum » (une télévision pour nous et pour vous) est le slogan choisi pour cette nouvelle chaîne privée qui sera dirigée par Samir Boudjadja, ancien responsable à Echourouk TV et El Djazairia. « Lina TV est une chaîne généraliste destinée à tous les Algériens et à la région maghrébine, ambitionne d’apporter un plus visuel et culturel à travers des programmes variés qui expriment la diversité et la richesse du patrimoine culturel algérien », est-il souligné dans un communiqué. « Une chaîne généraliste, tolérante, non politicienne. Sa ligne éditoriale respecte la déontologie professionnelle en harmonie avec les ambitions des algériens et respecte les valeurs réelles d’une presse honnête et objective », est-il ajouté. «Lina TV entend créer « un espace interactif de débat » qui contribuera à « construire une conscience chez le téléspectateur » en phase avec les ambitions des algériens. La chaîne dit s’appuyer sur des compétences algériennes dans les métiers de l’image et du journalisme en offrant à l’écran « une image sophistiquée, belle et rationnelle qui exprime réellement la richesse du pays ». Lina TV rassemble des journalistes et présentateurs connus de l’espace audiovisuel algérien comme Leila Bouzidi, Rochdi Redouane et Younes Saber Chérif. Une grande place sera accordée dans la programmation de la chaîne aux émissions culturelles, aux débats sur des thématiques sociales, aux sports et aux divertissements.
  • 24-12-2020
    -L’écrivain et journaliste Mouloud Achour est décédé ce jeudi 24 décembre 2020 à l’âge de 76 ans Né le 19 mars 1944 à Tizi Ouzou, Mouloud Achour a été journaliste dans les rédactions d’El Moudjahid, Algérie Hebdo et Liberté. Il a aussi travaillé à la télévision nationale et dans les secteurs de la culture et de la communication. Il était d’ailleurs membre puis président de la commission de lecture de la télévision nationale. En 1971, il a publié son premier recueil de nouvelles « Le survivant » qui sera suivi de « Héliotropes » et de « Les dernières vendanges ». Il a aussi été secrétaire permanent du Conseil national de la culture en 1990 et 1991 puis directeur du cabinet du ministre de la Communication, en 1991 et 1992. En 201, Mouloud Achour a signé son dernier ouvrage en tant qu’auteur intitulé « Un automne au soleil ». Il a également travaillé dans le domaine de l’édition littéraire avec les éditions Casbah. L’écrivain et journaliste en a été le directeur éditorial puis responsable du domaine « Livre » lors de l’année de l’Algérie en France en 2003. L’enterrement a eu lieu au cimetière de la commune d’Irdjen, dans la daïra de Larbaâ Nath Irathen
  • 17-12-2020
    -La Fédération internationale des journalistes (FIJ) a publié mi- décembre 2020 un document de référence, « le Livre blanc sur le journalisme mondial ». En plus des études et des enquêtes sur la liberté d'expression, les conditions de travail, la jeunesse ou l'égalité des genres, la FIJ annonce dans ce document que 2 658 journalistes ont été assassinés depuis 1990 et que 235 sont actuellement en prison. Lorsque la Fédération a publié son premier rapport annuel sur les journalistes tués en 1990, très peu de personnes s'attendaient à ce que la "Liste" soit toujours en vigueur 30 ans plus tard………………………………. -Depuis janvier dernier (2020) , 88 journalistes ou collaborateurs de médias ont été tués dans 30 pays dans le monde contre 75 l'an dernier (2019) . L'Inde et le Mexique ont été les pays les plus dangereux, a indiqué à Genève la Campagne Presse Emblème (PEC) dans son rapport annuel, rendu public mi-décembre 2020. Parmi les journalistes assassinés, 16 seulement l'ont été dans des zones de guerre. « Moins de journalistes sont morts dans des zones de conflit armé cette année, par contre beaucoup trop d'entre eux ont été ciblés pour leur travail dans des pays en paix », a commenté le secrétaire général de la PEC, Blaise Lempen. Quelques années : 2006 :96 tués/ 2009 : 122/ 2012 : 141/ 2014 : 138/ 2015 : 135/ 2016 : 127/ 2018 :117/ 2019 : 75
  • 14-12-2020
    - L'Autorité de régulation de l'audiovisuel (ARAV) a relevé avec "désolation", que certains médias ne respectent pas les "exigences des bonnes moeurs et de l'éthique de la profession", a indiqué dimanche un communiqué de l'ARAV. L'ARAV relève que " certains médias et leurs journalistes débattent de thèmes et contenus qui sont, le moins qu'on puisse dire, contraires aux bonnes moeurs, aux valeurs humaines et à l'éthique professionnelle". A ce propos, l'ARAV affirme avoir suivi la bande-annonce du programme de l'émission "Ma waraa el djoudrane" (Derrière les murs), qui devait être diffusée mercredi dernier à 21:00 sur la chaîne Ennahar TV. L'animatrice avait accueilli sur le plateau, une personne "connue pour s'adonner au charlatanisme et à la mystification et qui prétend même guérir la sorcellerie, la possession démoniaque et diverses maladies organiques et psychologiques", indique l'ARAV dans le communiqué. Cette personne "s'est livrée à des scènes très répugnantes, dont le but est de faire dans le sensationnel, faire monter l'audimat et assurer le gain facile, au détriment du droit du téléspectateur à des émissions de qualité qui diffusent les bonnes moeurs et contribuent au développement et au progrès de la société", a estimé l'ARAV. Suite à quoi, l'ARA affirme qu'elle avait convoqué le premier responsable à la chaîne, à l'effet de le mettre en garde contre les répercussions qui découleront de la diffusion de cette émission et indique que la direction de la même chaîne, "avait assuré qu'elle ne procédera pas à sa diffusion, en réponse au rappel à la mise en garde de l'ARAV". L'Autorité de régulation de l'audio-visuel qui tient à souligner " son attachement à la nécessité de promouvoir le contenu médiatique", réitère par là même, "son refus catégorique de toute production médiatique qui consacre de tels contenus, fait la promotion de l'ignorance, fait fi de la Science et porte atteinte à l'image de l'Information en particulier et du pays en général"……………………………………………………………………………………. -Il "reste à un niveau historiquement haut". Le nombre de journalistes détenus à travers le monde s'élevait à 387 fin 2020, un chiffre quasi stable sur un an, selon le bilan annuel de Reporters sans frontières (RSF) publié lundi 14 décembre. Comme en 2019, où l'ONG avait recensé 389 journalistes emprisonnés pour avoir exercé leur métier, cinq pays concentrent plus de la moitié d'entre eux (61%). La Chine reste ainsi en tête avec 117 journalistes (professionnels ou non) détenus, devant l'Egypte (30), l'Arabie saoudite (34), le Vietnam (28) et la Syrie (27). Arrestations liées la crise sanitaire Les femmes, "de plus en plus nombreuses dans la profession, ne sont pas épargnées", dénonce le secrétaire général de RSF, Christophe Deloire, cité dans un communiqué. D'après le rapport, 42 d'entre elles "sont actuellement privées de liberté", contre 31 en 2019 (+35%). Au total, 17 ont "été jetées derrière les barreaux" au cours de l'année, dont quatre en Biélorussie, centre d'"une répression sans précédent depuis" la réélection jugée frauduleuse d'Alexandre Loukachenko. Autre évolution notable : l'augmentation des arrestations liées la crise sanitaire, avec 14 journalistes "toujours sous les verrous" en raison de leur suivi de la pandémie, dont sept en Chine. RSF, qui a lancé en mars l'Observatoire 19, dédié à la question, a enregistré "plus de 300 incidents directement liés à la couverture journalistique de la crise sanitaire" entre février et fin novembre, impliquant près de 450 journalistes. Par ailleurs, "au moins 54 journalistes sont actuellement détenus en otages" en Syrie, au Yémen, et en Irak, leur nombre ayant baissé de 5% en un an. L'ONG recense en outre quatre journalistes portés disparus en 2020, alors qu'aucun nouveau cas de disparition n'avait été enregistré en 2019. Ils sont originaires du Moyen-Orient, d'Afrique subsaharienne et d'Amérique latine. .
  • 07-12-2020
    -Le ministre de la Communication, porte-parole du Gouvernement, Amar Belhimer a affirmé, lundi 7/12/2020, que la résolution du Parlement européen (PE) sur la situation des droits de l'homme en Algérie reflétait "les plans voués à l'échec" ourdis contre l'Algérie qui "n'accepte point de leçons creuses, ni de paternalisme hérité de la colonisation". "Notre réponse en tant que porte-parole du Gouvernement algérien à la résolution du Parlement européen était claire et sans ambiguïté. Il s'agit de la deuxième résolution du PE concernant la situation interne en l'Algérie, ce qui reflète les plans voués à l'échec de lobbies et de parties étrangères qui tentent en vain d'entamer la stabilité de l'Algérie, en prenant pour première cible l'Armée nationale populaire (ANP), rempart de l'Etat et garant de sa souveraineté, de sa sécurité et de sa stabilité", a fait savoir M. Belhimer dans un entretien accordé au site "Sputnik". "Cette position intervient à point nommé et dans un contexte qui impose au Gouvernement algérien de se prononcer sur la résolution du Parlement européen et d'adresser un message à certaines parties à l'intérieur du pays et à l'étranger: l'Algérie nouvelle agit et interagit de manière différente, elle n'accepte point de leçons creuses, ni de paternalisme hérité de la colonisation". "L'opinion publique algérienne a salué, dans son ensemble, cette position claire et ferme à l'adresse des forces politiques internes et étrangères qui agissent contre la nouvelle orientation de l'actuelle politique algérienne qui rejette toute tutelle étrangère, quelle qu'elle soit". A une question sur "les desseins de ces positions et décisions", le ministre a affirmé que l'objectif de telles positions ou décisions émanant du Parlement européen "est clair et connu de tous: il s'agit d'attitudes invitant de manière tacite à une ingérence dans les affaires internes de l'Algérie, au service d'intérêts de parties données". "Les parties hostiles ont des positions traditionnelles envers l'Algérie. Le Parlement européen doit assumer ses responsabilités vis-à-vis de ces éléments, c'est pourquoi nous avons démasqué ces parties qui œuvrent contre les intérêts de l'Algérie et divulguent les desseins inavoués de leurs agissements", a-t-il dit. "Il est évident que les résolutions non contraignantes émanant du PE s'inscrivent dans le cadre d'un plan visant la déstabilisation de certains pays en voie de développement, dont l'Algérie qui demeure attachée à sa souveraineté et à ses positions en faveur des causes justes de par le monde, telles les causes sahraouie et palestinienne", a-t-il ajouté. "Pourquoi le PE ne dénonce-t-il pas les violations flagrantes des droits de l'homme au Yémen, plongé dans une véritable tragédie ou au Sahara occidental et en Palestine, ou même dans certains pays européens?", s'est-t-il interrogé. Le ministre de la Communication a déploré le fait que "certains membres d'une institution aussi prestigieuse que le PE, jouent le rôle de mercenaires au service de certains lobbies notoires dont l'objectif principal est d'éliminer ce qui reste des Etats en Afrique, dans le monde arabe, en Amérique latine et en Asie, en y semant la discorde entre gouvernants et gouvernés et en exerçant des pressions par divers moyens, à même d'entamer leur image tant au niveau local qu'international". Pour M. Belhimer, le but derrière tout ça est "de satisfaire des ambitions purement expansionnistes et d'exploiter les richesses de ces pays en voie de développement, sans que ces puissances occultes qui agitent les sbires du Parlement européens n'aient à recourir à la force militaire". A une question sur l’ouverture par les Emirats et le Bahreïn de consulats à Laayoune occupée, le ministre a répondu "l’Algérie ne s’ingère pas dans les affaires internes des pays, c'est là une position de principe. Mais, par principe aussi, l’Algérie ne cessera d'apporter son soutien au droit des peuples à l’autodétermination, la cause sahraouie étant une question de décolonisation et la République arabe sahraouie démocratique étant membre fondateur de l’Union africaine (UA). De ce fait, les villes sahraouies dont Laayoune sont des villes occupées par le Royaume du Maroc". Dans ce contexte, l’Algérie appelle à "l’application des décisions onusiennes concernant le règlement politique qui permettrait au peuple sahraoui de disposer de son avenir", a poursuivi le ministre ajoutant que la cause sahraouie "était présente en force lors des travaux du sommet extraordinaire de l’UA tenu sous le thème +Faire taire les armes+ où la majorité écrasante des intervenants avait condamné la violation de l’accord du cessez-le-feu par le Maroc, réitérant leur solidarité avec le peuple sahraoui et leur soutien à son droit intangible à l’autodétermination et à l’indépendance, conformément aux décisions de la légalité internationale". Concernant l’impact des agissements marocains dans la région d’El Guerguerat sur les relations algéro-marocaines, M. Belhimer a fait savoir qu'il s'agissait de "violation du cessez-le-feu signé entre les deux parties du conflit (Front Polisario et Maroc". "Tout conflit armé crée, naturellement, une tension auprès des pays voisins", a-t-il ajouté. "L'attitude du Maroc a fait exploser la situation à nouveau et la résurgence du conflit armée. L’Algérie n'a eu de cesse de mettre en garde" contre ce scénario, a précisé M. Belhimer invitant les "autorités marocaines à faire preuve de sagesse et à appliquer les décisions onusiennes à travers l’activation du rôle de l’UA et la relance du Conseil de paix et de sécurité, chargé officiellement du suivi de cette affaire".....................................................................................................................; --Le centre relevant de l'Entreprise publique de télévision algérienne (EPTV) a été officiellement inauguré ce lundi, en présence du wali de la wilaya, des élus et responsables locaux ainsi que les représentants de la télévision publique. Situé à un jet de pierre du siège de la radio locale, le centre de la télévision est situé au niveau de la place «Mohamed Boudiaf», en plein cœur de la ville de Tiaret. Appelé à renforcer le paysage médiatique local, pour la capitale des hauts plateaux de l'Ouest et sa région, le centre de l'EPTV a déjà commencé à émettre, avec des reportages et couvertures sur divers sujets. Sous l'égide de la station régionale d'Oran, des journalistes et techniciens ont été convoqués pour des entretiens en vue de leur éventuel recrutement, suivi d'une formation au niveau des stations de la télévision publique. Le nouveau centre de la télévision algérienne à Tiaret est constitué de trois ailes (rédaction, montage et administration).
  • 05-12-2020
    -Le groupe Jeune Afrique, plombé par la pandémie, prévoit une vingtaine de départs sur un total de 134 salariés, après avoir enregistré 7 à 8 millions d’euros de pertes sur cette année, a indiqué à l’AFP le groupe, confirmant des informations du Monde. Jeune Afrique Media Groupe, groupe familial, comprend Jeune Afrique, hebdomadaire devenu mensuel en 2020 (après le premier confinement), ainsi que le site rattaché au magazine, la publication anglophone trimestrielle The Africa Report (et son site), et la lettre d’information professionnelle Jeune Afrique Business+. Le groupe, propriété à 80% de la famille Ben Yahmed (dont le père, Béchir, avait créé le magazine en 1960), a dû annuler le forum annuel en mars dernier, Africa CEO Forum, ce qui a entraîné des coûts, a indiqué le groupe. L’épidémie, au printemps, a empêché la distribution du magazine, alors hebdomadaire, dont près de 80% des 50 000 exemplaires se vendent à l’étranger. L’hebdo est devenu mensuel en cours d’année, une évolution prévue mais dont le calendrier s’est accéléré en raison de la pandémie. Le plan de sauvegarde de l’emploi (PSE) est actuellement en cours de négociation, mais devrait se traduire par le départ d’une vingtaine de salariés, sur 134. C’est la première fois que le groupe réduit ses effectifs, a indiqué le groupe, bénéficiaire ces dernières années. “La direction souhaite revenir au même nombre de salariés d’ici deux ans (...) en étoffant nos équipes dans le digital et la data”, a indiqué à l’AFP Amir Ben Yahmed, directeur général du groupe et fils du fondateur. Jeune Afrique Media Groupe bénéficie d’un prêt garanti par l’État (PGE) et la famille a prévu d’investir dans le groupe, a-t-il ajouté. Le site web du magazine compte quelque 20 000 abonnés payants, et le groupe a pour objectif 100 000 abonnés numériques d’ici à 2024.
  • 03-12-2020
    -Certains sites d’information en ligne bloqués mercredi 2 :12 en Algérie sont à nouveau accessibles ce jeudi 3 décembre dans la soirée, à l’exception de « Casbah Tribune », fondé par le journaliste emprisonné Khaled Drareni, a rapporté l’AFP ce soir. Dans un communiqué, RSF a dénoncé jeudi les «dernières entraves à la liberté de la presse» en Algérie et exhorté les autorités à «respecter leurs engagements internationaux». «La répression des voix critiques ne cesse de s’intensifier, en ligne comme hors ligne. Nous appelons les autorités algériennes à respecter la Constitution et ses engagements internationaux, au risque de voir le pays se vider de ses journalistes», a déclaré Souhaieb Khayati, directeur du bureau Afrique du Nord de RSF.
  • 02-12-2020
    -Les sites d’informations Twala et Casbah Tribune sont censurés en Algérie, ont annoncé leur rédactions respectives ce mercredi 02 décembre 2020. « Plusieurs lecteurs nous ont indiqué qu’ils ne peuvent plus accéder au site de Twala à partir des trois réseaux mobiles et de l’ADSL » lit-on dans un communiqué. Le média dit avoir « confirmé ce blocage dont nous ignorons le prétexte. Le journal n’en a jamais été informé ». Les journalistes du site d’informations « dénoncent vigoureusement cette censure arbitraire qui a touché d’autres médias algériens ces dernières années. C’est une atteinte à la liberté de la presse et à la liberté d’informer en Algérie ». Plusieurs médias ont affirmé avoir été censurés durant les années 2019 et 2020, notamment Maghreb Emergent, Radio M ou TSA Algérie. Des sites comme Le Matin sont également inaccessibles sans VPN. « Depuis son lancement le 15 octobre 2020, Twala a publié de nombreux reportages, des enquêtes, des podcasts, des analyses et des entretiens. Nos contenus ont été largement appréciés par nos lecteurs. Les nombreux retours reçus de la part de notre lectorat et de nos pairs nous confortent dans l’idée que nous sommes en train d’accomplir la mission que nous nous sommes donnée : celle de produire un journalisme de qualité et indépendant », poursuit la même source dans son communiqué. Le journal en ligne Casbah Tribune, fondé par le journaliste Khaled Drareni, en prison depuis mars 2020, a également annoncé être censuré.
  • 01-12-2020
    -L'agence Algérie Presse Service (APS), a célébré son 59e anniversaire. L'APS a été créée à Tunis le 1er décembre 1961 à l'initiative du Gouvernement provisoire de la République algérienne (GPRA) pour être le porte-voix de la Révolution algérienne sur la scène médiatique internationale. Au lendemain de l'indépendance, avec des moyens rudimentaires et un personnel réduit, l'APS a relevé le défi et commencé à se construire et à se renforcer pour devenir, au fur et à mesure des années, une véritable agence d'information nationale, couvrant toutes les wilayas du pays .L'Agence s'est engagée dans un vaste processus de modernisation de ses équipements et de formation de ses ressources humaines pour s'affirmer comme média de référence et assurer à ses abonnés (médias, institutions, entreprises et ambassades) et au large public une information diversifiée, fiable, crédible et en temps réel de l'essentiel de l'actualité nationale et internationale 24h/24 et 7j/7. Dans cette optique, l'APS s'est dotée en 2017, d'une nouvelle plate-forme rédactionnelle de gestion de tout le processus de production de l'information (texte et multimédia) au profit de ses abonnés. Elle dispose d'une douzaine de sites d'information (un site généraliste en arabe, en français et en anglais, en plus d'un site en tamazight et 8 sites consacrés aux régions de l'Est, de l'Ouest, du Centre et du Sud du pays). En plus de son site web, l'Agence a varié son produit et contenu à travers les services vidéo, photo, infographie et s'attelle à renforcer sa présence sur les réseaux sociaux. Dans le même ordre d'idées, l'Agence travaille à un projet de web TV devant diffuser des programmes en continu, en langue arabe dans un premier temps, puis en tamazight, en français et en anglais par la suite. Elle projette également un redéploiement de ses bureaux à l'étranger, en adéquation avec les intérêts de l'Algérie, dans le cadre d'une nouvelle stratégie, conformément aux nouvelles donnes internationales. L'APS compte actuellement un effectif de 455 salariés, dont 221 journalistes et 27 traducteurs, en plus d'équipes techniques et audiovisuelles.