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Communication ( et Presse)

Journe du Lundi 15/09/2020

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-Le journaliste Khaled Drareni a été condamné en appel, mardi 15 septembre, à deux (2) ans de prison ferme. Le verdict a suscité la consternation et la fureur des journalistes présents à la cour d’Alger qui ont dénoncé une décision “injuste et injustifiée” et ont scandé le slogan de “Khaled Drareni, SahafI Hor” (journaliste libre). Les deux autres accusés, Samir Benlarbi et Slimane Hamitouche, ont vu leur peine légèrement réduite à 4 mois de prison ferme et un an de prison avec sursis. Le parquet avait requis 4 ans de prison ferme et 50 000 Da d’amende à l’encontre du journaliste Khaled Drareni, détenu depuis le 29 mars dernier, et Samir Benlarbi et Slimane Hamitouche. “Nous sommes tous en danger” ” a réagi, Me Abdelghani Badi, un des membres du collectif de défense. “Lorsque nous voyons de telles décisions, nous ne pouvons établir les libertés fondamentales du citoyen. Nous ne pouvons garantir la liberté de la presse. Aujourd’hui, nous sommes tous en danger. La presse est en danger, la profession d’avocat est en danger, les libertés sont en danger, les Algériens sont en danger” a-t-il déclaré. L’avocat a appelé à une mobilisation de tous pour une Algérie forte où ni “la loi, ni la presse ne sont bafouées”.................................................................. - -La condamnation du journaliste Khaled Drareni à deux de prison ferme en appel par la Cour d’Alger a fait réagir la présidente de la sous-commission des droits de l’homme de l’union européenne, Marie Arena. En réaction à cette lourde condamnation, Marie Arena a déclaré : « La condamnation en appel à deux ans de prison ferme du journaliste Khaled Drareni verrouille le droit à la liberté d’expression dans un pays où la liberté de la presse a été chèrement acquise mais sauvegardée. Il n’est pas de démocratie sans justice, ni de justice sans libertés. Les journalistes sont des défenseurs des droits de l’homme. Qui d’autre peut garantir l’indépendance de l’information en Algérie? ». Pour rappelle ce matin la Cour d’Alger a condamné le journalistes Khaled Drareni à 2 ans de prison ferme avec dépôt pour des faits liés à l’exercice de son métier. Le tribunal de première instance avait condamné Khaled Drareni a 3 ans de prison ferme.......................................................................................................................................................................................................... --Le ministre de la Communication, Porte-parole du Gouvernement, Amar Belhimer, a présidé ce mardi une séance de travail avec les directeurs et représentants des chaînes de télévision privées en Algérie, consacrée aux dernières retouches liés au référendum populaire sur la révision constitutionnelle, prévu le 1er novembre 2020, indique un communiqué du ministère.