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Commerce

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  • 29-09-2020
    -L’opération de dépôt des comptes sociaux par les opérateurs économiques au niveau du Centre National du Registre du Commerce (CNRC) pour l’exercice 2019 a été prorogée jusqu’au 30 novembre, selon le ministère du commerce. Il est à noter que les sociétés dépositaires des comptes sociaux seront épargnées des sanctions édictées par la législation en vigueur, notamment l’inscription au fichier national des fraudeurs................................................................................................................. -L'accord sur la Zone de libre échange continentale africaine (Zlecaf) transformera les économies des pays africains en un marché important plus synergique et qui profitera à l'intégration dans tous ses aspects et à l'exploitation collective des richesses que recèle le continent, a affirmé ce mardi à Alger le ministre du Commerce, Kamel Rezig.
  • 23-09-2020
    -Prévue initialement du 23 au 27 septembre, la 1re Foire nationale de l'agriculture et de l'agroalimentaire est reportée pour des raisons d'ordre organisationnel. La nouvelle date sera communiquée ultérieurement, indique un communiqué publié sur le site de la Société algérienne des foires et exportations. La manifestation devait regrouper près de 180 exposants issus de plusieurs wilayas. Cet événement s’inscrit dans le cadre de la relance économique et devait constituer une occasion pour exposer et écouler les différents produits agricoles ayant connu des méventes, particulièrement en cette période de crise sanitaire qui a duré plus de six mois. Des producteurs de 24 wilayas devait prendre part à cette foire qui sera organisée sur une superficie de 4.000 m², avec en prévision 5.000 visiteurs, ................................................................ --Le ministre du Commerce, Kamel Rezig a affirmé, jeudi, que le retour de la gestion du commerce extérieur par le système des licences "n'est pas du tout à l'ordre du jour". Le retour au système des licences n'est pas du tout à l'ordre du jour (...) Nous sommes en train d'encadrer et de soutenir les exportateurs par la levée de toutes les contraintes administratives rencontrées, la suppression du certificat d'exonération des droits de douane en est la preuve", a déclaré le ministre à l'APS.
  • 17-09-2020
    - Après plus de six mois d’hibernation suite au Covid-19, les foires et les salons vont être relancés aux Pins Maritimes révèle la direction de la SAFEX dans un communiqué rendu public. Et c’est avec l’agriculture que le bal des foires sera rouvert avec la tenue du tout premier Salon de l'agriculture et des industries agroalimentaires à partir du 23 jusqu’au 27 septembre courant. «La société compte organiser les différentes manifestations prévues au deuxième semestre 2020, coïncidant avec la reprise graduelle des activités économiques, après le confinement sanitaire», précisé le communiqué. Cet évènement commercial dédié exclusivement à tous types de produits agricoles et alimentaires constitue une opportunité offerte aux exposants pour la promotion et la commercialisation de leurs produits. Ce qui traduit, lit-on, «la volonté des pouvoirs publics à concrétiser le programme de relance économique dans son volet inhérent au secteur agricole en particulier. Il sera l'occasion pour exposer les différents produits agricoles locaux et du terroir ainsi que ceux des autres filières concernées», a fait savoir la Safex dans son communiqué. La SAFEX rassure les participants et le professionnels du secteurs qu’un dispositif de prévention contre la Covid-19 sera mis en place, conformément au protocole sanitaire de l'Union internationale des expositions, a souligné la même source........................................................................................... -- La franco-algérienne Zineb Ghout, ancienne directrice marketing Renault Algérie, a été nommée directeur général Renault au Portugal depuis le 1er septembre dernier, succédant à Fabrice Crevelo, appelé à d’autres fonctions. Elle occupait jusque là le poste de directeur marketing pour Renault Portugal et Espagne depuis juin 2017. Cette franco-algérienne a débuté sa carrière chez Renault en 2003 comme chef de produit junior pour les pays internationaux. Quatre ans après, en 2007, le constructeur lui propose une mission à l’international… en Algérie. Arrivée chez Renault Algérie en 2005 où elle avait occupé le poste de coordinatrice marketing avant de prendre en charge le service approvisionnements, et le réseau en 2007, Mme Ghout a ensuite dirigé le département du Service Prix-produit Renault & Dacia de 2009 à 2011. Pendant 8 ans, elle participera au développement de la marque, avec des ventes passant de 25.547 à 111.378 unités annuelles, entre son arrivée et son départ. Après son départ d’Alger en 2014, Mme Ghout est nommée directrice de concession de Renault Retail Group dans le 8e arrondissement à Paris, où elle gère, sur 4 sites, 110 employés, avec des enjeux liés à la vente, mais aussi à l’après-vente, avec la réparation en atelier. Son arrivée au Portugal est également le fruit d’un travail colossal réalisé en Espagne avec le groupe Renault. En 2017 elle a réalisé le « Grand Chelem », puisque elle a terminé leader du marché, tant sur le segment relatif eux véhicules particuliers et utilitaires, que sur le seul segment des véhicules particuliers. Au total, elle a vendu 184.719 véhicules, en hausse par rapport à 2016 et augmenté ses parts de marché (12,9%) dans un marché qui a globalement crû, en dépit de la fin des plans PIVE. .
  • 08-09-2020
    -Comme cela avait été exprimé plusieurs fois par ses hauts responsables, l'Algérie n’est pas très chaude à l’idée de donner son OK pour l’entrée en vigueur de la zone de libre-échange (ZLE) avec l'UE et souhaite renégocier certaines dispositions de l’accord d’association. En effet, le porte-parole de la Commission européenne a révélé hier à l’AFP que l’Algérie a demandé «oralement» à l’Union européenne de reporter l’achèvement de la zone de libre-échange entre les deux régions, initialement prévue le 1er septembre. L’entrée en vigueur de la zone de libre- échange devait intervenir le 1er septembre 2020, c'est-à-dire depuis une semaine déjà, conformément aux dispositions de l’accord d’association entre Alger et Bruxelles, entré en vigueur au 1er septembre 2005. Mais le porte–parole de la commission soutient que «les dernières données disponibles confirment que les autorités algériennes n’ont pas démantelé les derniers droits de douane prévus, ce qui aurait dû être fait avant le 1er septembre 2020». Une perspective qui, si elle se confirmait», constituerait d’après lui t «une violation de l’accord », a-t-il ajouté. Pourtant, l’Algérie à demandé là moult reprises et depuis des années aux responsables de l’UE de renégocier l’accord d’association jugé à juste titre, nettement défavorable à son économie alors qu’il était censé garantir une partenariat «gagnant-gagnant». Le responsable de la commission européenne ne ferme tout de même pas la porte et concède que celle-ci est prête a «écouter d’éventuelles propositions algériennes» «Toute révision de l’accord (…) devrait faire l’objet d’une décision mutuelle au sein du Conseil d’association UE-Algérie, a-.t-il précisé. En creux, l’UE invite les responsables algériens à faire une demande de report de la ZLE en bonne et due forme et solliciter la renégociation de l’accord d’association qui, il est vrai fait consensus contre lui en Algérie. Celui-ci prévoyait, faut-il le rappeler, une période de transition de douze ans, (soit jusqu’en 2017), avant que l’Algérie n’élimine progressivement ses droits de douane sur des produits industriels et qu’elle applique une libéralisation sélective de ses produits agricoles. Cette période a par la suite été prolongée de trois ans, jusqu’au 1er septembre dernier, pour certains produits comme l’acier, les textiles, les produits électroniques et l’automobile. Le fait que l’Algérie n’ait pas encore démantelé les derniers droits de douanes prévus, est signe qu’elle n’est pas bien préparée à cette ZLE qui induirait un flux massifs des produits européens et pourront être fatale à son économie qui subit gravement les contrecoups de la double crise financière et sanitaire.