Nom d'utilisateur:
Mot de passe:

Se souvenir de moi

S'inscrire
Recherche:

Vie politique

Journée du Vendredi 03/04/2021

<< avril 2021 >>
sam dim lun mar mer jeu ven
27 28 29 30 31 1 2
3 4 5 6 7 8 9
10 11 12 13 14 15 16
17 18 19 20 21 22 23
24 25 26 27 28 29 30



-Le mouvement de redressement amorcé il y a peu, a tôt fait de passer aux grandes décisions. Ainsi, une réunion du mouvement s’est tenue, samedi, à l’hôtel Mazafran à Zéralda et dont les travaux ont abouti au retrait de confiance à la secrétaire générale (SG) du parti des travailleurs (PT). Dans la foulée, le conclave a procédé à l’élection de Mounir Nasri, ancien député du PT pour Skikda, au poste de SG par intérim. Pour rappel, Louisa Hanoune avait organisé mercredi dernier, une conférence de presse dans les locaux de son parti, pour précisément dénoncer « un putsch » en marche contre la direction actuelle du PT……………………………….. ; -La Direction nationale du PT diffuse une déclaration expresse pour démentir tout retrait de confiance à Mme Louisa Hanoune, en réaction à la décision prise ce matin par un groupe de dissidents , réunis à Mazafran, de la destituer. "Le PT réfute tout retrait de confiance", déclare le parti, ajoutant que "la réunion organisée à Mazafran est illégale" et que "les personnes réunies n'ont aucun lien organique avec le parti, c'est une ingérence dans les affaires interne du parti." Pour sa part, Louisa Hanoune qualifie de "criminelle", l'action des redresseurs tout en s'interrogeant "comment ils ont pu obtenir l'autorisation de se réunir, d'autant plus que la demande d'autorisation doit porter la signature du secrétaire général du parti" ........................................................................................................... --Le Front des Forces socialistes (FFS) ne prendra pas part aux Législatives du 12 juin prochain. Cette décision a été prise à l’issue d’un conseil national houleux où la base militante a fini par imposer sa feuille de route. La majorité écrasante des membres du conseil national du FFS réunis en session extraordinaire à Alger a décidé de boycotter le scrutin du 12 juin prochain estimant que ce rendez-vous électoral ne réglera rien à la crise politique profonde que connait le pays. Le plus vieux parti d’opposition algérien, saisit cette occasion pour appeler les autorités « à un dialogue sérieux et responsable ».. Le parti de feu Aït Ahmed devient ainsi le troisième parti politique à rejeter le scrutin législatif après le Rassemblement pour la Culture et la démocratie (RCD) et le Parti des Travailleurs (PT). Les observateurs du plus vieux parti d’opposition ont affirmé que le post de Jufgurtha Aït Ahmed, le défunt leader du parti mort en 2015, a pesé sur la décision de la majorité des militants.