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Relations internationales (et Activités diplomatiques)

Journée du Dimanche 16/11/2020

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-Les expulsions d’Algériens en situation irrégulière en France et entachés, selon l’expression des autorités françaises, de «soupçons de radicalisation», s’accélèrent, d’après le ministre français de l’Intérieur, Gérald Darmanin, qui s’exprimait, dans un entretien accordé samedi au journal français Le Parisien, dans lequel il évoque sa visite de travail la semaine dernière à Alger. Tout en affirmant que l’Algérie était un pays «cher à son cœur», il précise que les expulsions d’Algériens en situation irrégulière en France et considérés comme radicalisés par les autorités françaises ont aussitôt commencé après sa visite en Algérie. «Je les remercie (les autorités algériennes, ndlr) pour leur coopération. L’Algérie est un grand pays cher à mon cœur. Ils m’ont clairement affirmé que les nationaux qui relevaient de leur responsabilité seraient repris, à la condition que ce soit bien leurs nationaux, ce qu’on peut tout à fait comprendre», a expliqué le ministre français dans le même entretien. Par la condition selon laquelle l’Algérie accepterait uniquement «les nationaux qui relèvent véritablement de sa responsabilité», il faut sans doute entendre qu’elle ne prendrait pas en charge les citoyens nés dans l’Hexagone mais qui seraient d’origine algérienne. La demande de Darmanin lors de sa visite à Alger aurait concerné, selon la presse française, 20 à 30 Algériens en situation irrégulière. En tout et pour tout, selon les chiffres du ministère de l’Intérieur, 4111 étrangers de toutes nationalités sont inscrits au fichier des signalements pour la prévention de la radicalisation à caractère terroriste (FSPRT), dont 851 immigrés clandestins. Sur ces derniers, 661 font déjà l’objet de mesures d’éloignement, 428 personnes ont été expulsées du territoire français et 231 personnes restent «en situation irrégulière et suivies pour soupçons de radicalisation», selon le ministre, «qu’il nous faut expulser aujourd’hui»…………………………………………………………….. -L'aide humanitaire de l'Algérie au peuple sahraoui constituée de 60 tonnes est arrivée lundi matin à bord de deux avions militaires relevant des Forces Aériennes Algériennes, à l’aéroport Commandant Ferradj de Tindouf. Ces aides constituées de denrées alimentaires et de matériels pharmaceutiques ont été chargées, dimanche, depuis la Base Militaire de Boufarik (Blida) par les autorités civiles et militaires, à destination de la wilaya de Tindouf, en collaboration avec les cadres du Croissant rouge algérien (CRA). Lors de la supervision de l’opération de chargement de ces aides, en présence du Commandant de la Base aérienne de Boufarik, le général Djenadbia Faouzi, de l'Ambassadeur de la République Arabe Sahraouie Démocratique (RASD) à Alger, Abdelkader Taleb Omar et du représentant du Haut Commissariat aux Réfugies en Algérie, Agostino Mulas, la présidente du CRA, Mme Saïda Benhabiles a affirmé que ces aides sont constituées de denrées alimentaires de première nécessité et de produits désinfectants. Cette initiative humanitaire s’inscrit dans le cadre du "soutien constant et indéfectible du peuple algérien au peuple sahraoui frère qui vit des conditions humanitaires difficiles", a ajouté Mme Benhabiles, saluant le rôle de l’Armée nationale populaire (ANP) dans "le soutien des opérations humanitaires de manière générale, ainsi que celles menées par le CRA, le bras humanitaire des pouvoirs publics". A cette occasion, l’ambassadeur sahraoui a présenté ses remerciements au peuple algérien pour son soutien au peuple sahraoui, saluant les efforts de l’ANP dans l’acheminement des aides humanitaires aux réfugiés sahraouis............................................................................................................................................................................................... --Le ministre des Affaires étrangères, Sabri Boukadoum, a réitéré, lundi, l’engagement de l’Algérie aux côtés des Maliens en vue de mettre en œuvre l’accord de paix et de réconciliation au Mali, issu du processus d’Alger, suggérant l’élaboration d'une nouvelle feuille de route adaptée aux objectifs de l’Accord et à la Transition.