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Relations internationales (et Activités diplomatiques)

Journée du Vendredi 03/02/2024

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-Le ministre des Affaires étrangères et de la Communauté nationale à l'étranger, Ahmed Attaf a été reçu, samedi à Tripoli, par le président du Conseil présidentiel libyen, Mohamed Younes El-Menfi, à qui il a remis un message écrit de son frère, le Président de la République, Abdelmadjid Tebboune, a indiqué un communiqué du ministère. La rencontre a été "une occasion de passer en revue l'état et les perspectives des relations algéro-libyennes, et de saluer les liens historiques, fraternels et de solidarité enracinées entre les deux pays et peuples frères", précise la même source. "Les deux parties ont évoqué, en outre, plusieurs dossiers régionaux et internationaux d'intérêt commun, en tête desquels la cause palestinienne, les développements de la situation dans la bande assiégée de Ghaza, ainsi que les derniers développements sécuritaires et politiques dans la région sahélo-sahélienne", lit-on dans le communiqué. Pour la situation en Libye, pays frère, A. Attaf a réitéré "la disposition de l'Algérie à contribuer, de par sa position au sein du Conseil de sécurité, à défendre les préoccupations et les priorités des frères libyens, en vue d'accélérer la réalisation d'une solution libo-libyenne à même de mettre fin définitivement à la crise", précise le communiqué. Au terme de l'audience, "le président du Conseil présidentiel libyen a chargé le ministre Ahmed Attaf de transmettre ses salutations et son estime à Monsieur le Président de la République, ainsi que sa volonté de le rencontrer prochainement, dans l'espoir de poursuivre ensemble la coordination au mieux des intérêts et des aspirations des deux pays et peuples frères", conclut le communiqué................................................ -Le bilan de l'agression sioniste, lancée le 7 octobre dernier contre la bande de Ghaza, s'est alourdi samedi à 27.238 martyrs, et 66.452 blessés, ont indiqué des sources sanitaires palestiniennes.......................................... -.Le chef de l'Etat sénégalais Macky Sall a annoncé ce samedi avoir abrogé son décret fixant au 25 février la date de la présidentielle, après la mise en place d'une commission parlementaire enquêtant sur deux juges du Conseil constitutionnel dont l'intégrité dans le processus électoral est contestée.« J’ai signé le décret du 3 février 2024 abrogeant le décret » du 26 novembre 2023 fixant la présidentielle au 25 février 2024, a dit le chef de l’Etat sénégalais dans son discours à la Nation, à quelques heures de l’ouverture de la campagne électorale pour le scrutin présidentiel pour lequel devaient concourir vingt candidats, sans deux ténors de l’opposition.« J’engagerai un dialogue national ouvert, afin de réunir les conditions d’une élection libre, transparente et inclusive », a dit M. Sall dans son discours, sans donner de date. C’est la première fois depuis 1963 qu’une élection présidentielle au suffrage universel direct est reportée au Sénégal.Le président Sall avait fixé le scrutin présidentiel au 25 février dans un décret daté du 29 novembre 2023. Il avait promis fin décembre de remettre début avril le pouvoir au président élu à l’issue du scrutin et l’a réitéré plusieurs fois. Elu en 2012 pour sept ans et réélu en 2019 pour cinq ans, il a annoncé en juillet 2023 ne pas être candidat à un nouveau mandat.Il a désigné comme dauphin en septembre le Premier ministre Amadou Bâ, un responsable du parti présidentiel.Le Conseil constitutionnel a exclu du scrutin des dizaines de prétendants. Parmi eux, deux ténors de l’opposition, le candidat antisystème Ousmane Sonko, en prison depuis juillet 2023 notamment pour appel à l’insurrection et disqualifié par le Conseil à la suite d’une condamnation pour diffamation dans un dossier distinct, et Karim Wade, ministre et fils de l’ex-président Abdoulaye Wade....................................... -L’ambassadrice des Etats Unis d’Amérique Linda Thomas-Greenfield s’est dite ce vendredi soir 2 janvier, opposée au projet de résolution formulée par l’Algérie devant les membres du Conseil de Sécurité de l’ONU, condamnant l’entité sioniste pour son extermination du peuple palestinien, ses crimes de guerre et ses crimes contre l’humanité perpétrés à Gaza. L’ambassadrice des USA estime que le projet de résolution présenté par l’Algérie menace les négociations menées pour la libération des otages israéliens dans le cadre d’un accord d’échange de prisonniers palestiniens, avec le mouvement de la résistance palestinienne le Hamas. Bousculés par la dernière décision de la CIJ, les américains tentent de retarder l’échéance de la condamnation de l’entité sioniste, en soutenant largement l’agression sioniste, comme l’attestent les inquiétudes exprimées pour les otages israéliens au détriment de 2,5 millions palestiniens meurtris par p^lus de 17 ans de blocus injuste imposé par l’occupant sioniste.