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Justice (et Droit)

Journée du Mercredi 25/06/2020

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-Le procès de Abdelghani Hamel, ancien Directeur général de la sûreté nationale (DGSN), et de Noureddine Berrachdi, ancien chef de Sûreté de la wilaya d’Alger s'est ouvert ce jeudi après son report cinq fois consécutives en raison de la pandémie Covid-19. Les deux accusés, Abdelghani Hamel et Noureddine Berrachdi qui comparaissent à l'audience dans le respect des règles de lutte contre la Covid-19, sont poursuivis pour abus de fonction pour l’obtention d’indus privilèges à caractère professionnel en vue de la préservation du poste de DGSN ou d’un poste supérieur, en vertu de l’article 33 de la loi relative à la prévention et la lutte contre la corruption............................................................................... -Le ministère de la justice a réagi à la couverture médiatique de l’enterrement du frère de l’ancien premier ministre Ahmed Ouyahia au cimetière de Garidi à Alger. Dans un communiqué rendu public jeudi, le ministre de la justice apporté des précisions suite aux critique de Ammar Belhimer, mercredi dernier, sur la couverture médiatique de l’enterrement du frère de Ouyahia. « Les médias ont rapporté les déclarations du ministre de la Communication, porte-parole officiel du gouvernement, selon lesquelles l’administration pénitentiaire était tenue de garantir la dignité et les droits des détenus, et ce, à l’occasion de la diffusion de séquences montrant des images de l’inculpé détenu, Ahmed Ouyahia, menotté lors des funérailles de son frère Laifa », lit-on dans le communiqué du département de Zeghmati. « S’il ne peut y avoir de désaccord dans les déclarations du ministre de la Communication sur la responsabilité de l’administration pénitentiaire pour garantir la dignité et les droits des détenus, cette responsabilité commence et se termine à la porte de l’établissement pénitentiaire et c’est sans aucun doute ce que voulait dire le porte-parole officiel du gouvernement, qui semble avoir été mal interprété », a ajouté la même source. Pour rappel, le ministre de la communication, Ammar Belhimer, avait critiqué, mercredi dernier, la couverture médiatique de l’enterrement de Laifa Ouyahia qui selon lui, « n’honore ni le métier de journaliste ni le peuple qu’on est censé servir ».