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Justice (et Droit)

Journée du Lundi 02/06/2020

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-Selon le quotidien Liberté de ce mardi, , la justice a mis sous séquestre un grand nombre de biens appartenant au général à la retraite Khaled Nezzar et à sa famille. Une décision prise dans le cadre d’une nouvelle enquête, ouverte depuis peu par le tribunal de Sidi M’Hamed, à Alger, a ciblé sa luxueuse villa, sise dans le quartier cossu de la Capitale, Hydra, des dizaines d’hectares de terres agricoles à Bouchaoui ainsi qu’une palmeraie de plusieurs centaines d’hectares, implantée à Biskra. A rappeler que Khaled Nezzar est poursuivi par l’Autorité de régulation de la poste et des communications électroniques et la Direction générale des impôts, dans des affaires liées à la société Smart Link Com SLC, spécialisée dans la fourniture de l’internet haut débit, la société Divona Algérie spécialisée dans le matériel de télécommunication et internet et à la société SLH, qui active dans l’agriculture saharienne, rapporte ce mardi le quotidien Liberté. Des entreprises appartiennent majoritairement à la famille Nezzar, poursuivie principalement pour ‘’évasion fiscale et non-tenue d’engagements contractuels envers des clients’’. Il convient de souligner que Nezzar, actuellement en fuite avec sa famille en Espagne, a été condamné à une peine de 20 ans d’emprisonnement par contumace par le tribunal militaire de Blida dans l’affaire du ‘’complot contre l’armée’’ et un mandat d’arrêt international a été lancé à son encontre et à celui de son fils Lotfi, par le tribunal militaire de Blida.......................................................... --Alors que plusieurs procès d’ex-hauts responsables ont été reportés, pour des raisons liées aux mesures préventives à la cour d’Alger et aux tribunaux de Sidi M’Hamed et de Blida, l’un des grands procès de corruption s’est tenu, hier, à la chambre correctionnelle de Boumerdès. Il s’agit du premier dossier examiné en période de Coronavirus. Les avocats avaient demandé le renvoi des deux affaires dans lesquelles sont impliqués l’ex-DGSN, Abdelghani Hamel, son fils Chafik, trois anciens walis de Tipasa, l’ancien ministre des Finances, Hadj Baba Ammi, et des ex-directeurs locaux à Tipasa, arguant qu’il s’agit d’un «dossier lourd» et en raison de la pandémie du Coronavirus. Sur cette dernière question, la présidente de l’audience et le représentant du ministère public ont assuré que «toutes les mesures préventives et les règles barrières, pour le bon déroulement du procès dans le respect strict des conditions sanitaires sont assurées». Un dispositif sécuritaire et sanitaire a été mis en place en prévision du déroulement du procès Hamel.