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Industries (et Artisanat)

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  • 27-10-2020
    Brahim Taouchichet/Le Soir d’Algérie) Ambiance inhabituelle, ce mardi 27 octobre, au complexe Condor de Bordj-Bou-Arréridj avec une opération d’exportation de produits électroménagers, climatiseurs et téléviseurs vers la Tunisie et la Mauritanie pour un montant de 1 million de dollars/semaine, l’objectif étant de porter ce montant à 60 millions de dollars. L’acheminement de ces marchandises se fera par voie terrestre pour la Tunisie avec 18 camions conteneurs et 4 conteneurs vers la Mauritanie par voie maritime avec pour point de départ le port de Béjaïa. Le coup d’envoi de la flotte de camions a été donné l’après-midi sous la supervision de Chems Eddine Chitour, ministre de la Transition énergétique et des Énergies renouvelables, en compagnie de Abderrahmane Benhamadi, P-dg de Condor et du wali de Bordj-Bou-Arréridj. Le représentant du gouvernement a eu à assister au lancement de la ligne de montage de lampe à LED qui s’inscrit, dit-on, dans la politique de l'Etat pour la rationalisation de la consommation énergétique. Sa production est de 30 000 unités par jour et 10 millions d’unités par an. Dans le même esprit, une chaise roulante pour handicapé dotée de panneaux solaires a été dévoilée. Par la même occasion, on nous indique que d’autres projets sont en cours dont un système de gestion des feux de signalisation routière à énergie solaire. Les zones d’ombre défavorisées, dont la prise en charge relève d’une des priorités du programme du président Tebboune, bénéficient de l’attention des responsables du complexe industriel Condor à travers un projet de soutien destiné aux agriculteurs. Il consiste en la mise à disposition de pompes immergées, fonctionnant à l’énergie solaire pour l’irrigation des terres agricoles. D’autre part, on nous apprend que «Condor Academy» a procédé à la signature d’une convention-cadre avec le Centre de recherche des technologies industrielles (CRTI) qui est sous tutelle du ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique. Cette ambiance «tout électrique» témoigne, si besoin est, de la nouvelle disposition des cadres et travailleurs du complexe industriel lesquels ne cachent pas leur soulagement quant à la relance des activités des usines «injustement» frappés d’ostracisme du fait de la grave crise successive, aux déboires vécus par le premier responsable des usines Condor, en l’occurrence Abderrahmane Benhamadi qui a passé un an de prison. Ce dernier n’a pas manqué de nous faire part de son amertume par rapport à la tragédie vécue et ses conséquences sur l’emploi où ont été mis au chômage plusieurs centaines de travailleurs. C’est cela qui l’a le plus affecté « au-delà de ma personne ». Il rejette l’amalgame fait sur les opérateurs économiques dont la fonction première est le développement. Il considère qu’il s’agit là d’autant d’injustices aux conséquences désastreuses sur l’économie du pays. Et c’est les larmes aux yeux qu’il évoquera Issad (Rebrab) rencontré en prison. La cérémonie d’exportation d’hier a ainsi valeur de symbole, le message serait une réhabilitation. En tout cas Abderahmane Benhamadi le perçoit ainsi car, pour lui, un opérateur économique ne doit pas faire les frais des politiques et doit se concentrer sur ses activités. C’est pourquoi, il entend développer les produits de substitution aux SKD grâce à la production locale à fort taux d’intégration en relation avec les autres partenaires industriels du pays. Il fait un point d’honneur de rappeler le Trophée export Toply, obtenu en 2018. «Nous sommes trois dans la production de l’électroménager : la Chine, la Turquie et nous», tient-il à souligner, l’objectif étant que 36 pays seront destinataires des produits Condor pour 2020.
  • 21-10-2020
    -Le Premier ministre, Abdelaziz Djerad a inauguré mercredi, le complexe de production de turbines à gaz et à vapeur "General Electric Algeria Turbine" (GEAT), implanté dans le parc industriel de la commune de Ain Yagout, à environ 30 km de la ville de Batna, et réalisé dans le cadre d'un partenariat algéro-américain, entre Sonelgaz et General Electric. Le Premier ministre a souligné, après la présentation d’un exposé sur le projet, qu'" avec l’inauguration de ce complexe, le premier à l’échelle africaine, il est possible d’affirmer que "l'industrie de notre pays s'inscrit désormais dans une logique, une approche et une méthodologie qui lui permettent d’être en pôle position".
  • 12-10-2020
    -Une cargaison de 50.000 tonnes de clinker a été expédiée ce lundi vers le Gabon depuis le port d’Annaba par la cimenterie Cilas de Biskra relevant en termes de management et exportation du Groupe Lafarge Holcim Algérie, a-t-on appris du directeur de l’exportation de ce groupe, Hafid Ouchiche. Cette cargaison de clinker (ciment semi-fini) est la quatrième dirigée par la cimenterie Cilas vers le marché africain portant à 500.000 tonnes le volume de clinker exporté par l’usine depuis janvier 2020, selon le même responsable. Lors du lancement des opérations de chargement de la cargaison en présence des autorités de wilaya et cadres de l’usine Cilas, il a été souligné à la nécessité d’investir dans le développement logistique du port d’Annaba pour augmenter ses capacités de chargement de 10.000 à 18.000 tonnes/jour, outre l’aménagement d’espaces de stockage". Les investissements dans la fabrication de ciment permettront d’élever les capacités d’exportations de l’Algérie à 10 millions tonnes par an de sorte à assurer des revenus en devises de 400 millions dollars par an et contribuer à la diversification des exportations hors hydrocarbures et au positionnement sur le marché international, est-il noté.
  • 11-10-2020
    -Le ministre de l'Industrie Ferhat Ait Ali Braham a fait, dimanche, un rétropédalage sur la question de l'importation des véhicules de moins de trois ans , assurant qu'elle n'est pas abandonnée, comme il l'avait déclaré le semaine dernière, mais juste différée pour des raisons liées à la situation financière actuelle du pays. "L'importation des véhicules de moins de trois ans n'est pas abandonnée , mais différée à moyen terme, après les réformes économiques et financières que le gouvernement va engager pour permettre aux algériens d'acheter la voiture à des prix raisonnables et un taux de change officiel", a t-il déclaré sur les ondes de la radio. Pour rappel, c'est le gouvernement Bedoui qui avait rétabli l'importation des véhicules de moins de trois ans, dans la foulée de la fermeture des usines de montage en Algérie et la suspension des importations par les concessionnaires automobiles. Parlant à nouveau de l'importation de véhicules dans le cadre du nouveau cahier des charges, Ait Ali Braham a indiqué que celle -ci "est ouverte à tous les candidats à cette activité, à la seule condition que leurs dossiers répondent aux exigences techniques et financières fixées dans le CDC." La suppression de la règle 51/49, "en dehors des secteurs stratégiques" est de nature à rendre attractif le marché de la construction automobile en Algérie pour les grandes marques, ajoute Ait le ministre.
  • 08-10-2020
    -Le ministre de l’Industrie, Ferhat Aït Ali Braham, s'est entretenu, jeudi à Alger, avec le représentant du Groupe Volkswagen pour la région de l’Afrique du Nord, vice-président de la compagnie espagnole Seat, filiale de Volkswagen, Alfonso Sancha Garcia, sur la possibilité de concrétiser un projet industriel en Algérie. Lors de cette rencontre, tenue en marge de l’organisation du Forum d’affaires algéro-espagnol, "les deux parties ont examiné les possibilités de concrétisation d’un projet industriel du Groupe Volkswagen en Algérie", indique un communiqué du ministère. Dans ce cadre, Aït Ali Braham a expliqué au représentant du géant de l'automobile le nouveau cadre juridique régissant cette activité et les incitations et avantages qui seront accordées aux investisseurs dans ce domaine. Dans une déclaration à la presse à l'issue de cette entrevue, le ministre a affirmé "la volonté du groupe automobile d’établir un projet industriel en Algérie conformément à la nouvelle approche de construction automobile, tout en précisant que les discussions avec la partie étrangère avaient commencé il y a six mois". Il a ajouté qu'un groupe de travail sera formé entre le ministère de l'Industrie et le Groupe Volkswagen pour étudier la possibilité d'établir un projet de construction de véhicules touristiques selon le nouveau cahier des charges. A ce propos, a-t-il déclaré, "Nous avons rencontré aujourd'hui A S.. Garcia, à l'occasion de la visite du Président du gouvernement espagnol, pour entamer l’étude de la concrétisation réelle d'un projet industriel en Algérie avec le groupe Volkswagen". De son côté, le Vice-président exécutif de Seat et représentant du groupe Volkswagen a indiqué que les discussions avec la partie algérienne étaient "très intéressantes et constructives" après avoir reçu des explications sur le nouveau cahier des charges régissant l’industrie automobile en Algérie. "Nous essayons d’avancer dans ce projet pour voir si nous pourrions concrétiser un projet de Seat ou du Groupe ici en Algérie", a-t-il dit.
  • 03-10-2020
    -Le ministre de l'Industrie a annoncé samedi en marge de la Conférence nationale sur les starts up, que l'autorisation d'importation des véhicules de moins de trois ans, pourtant adoptée par le parlement, "est momentanément gelée". Le ministre n'a pas donné plus de détails sur cette décision. Il a révélé que pas moins de 80 demandes d'agréments pour l'importation de véhicules sont déjà enregistrées au niveau de ses services. Concernant le montage de véhicules légers et lourds, le ministre de l'Industrie a fait savoir que le chiffre de 20 demandes est déjà enregistré........................................................................ -Le ministère de l'Industrie a enregistré, jusqu'au 1er octobre en cours, 184 pré-inscriptions formulées par 140 opérateurs économiques, à la plateforme numérique des constructeurs automobiles et des concessionnaires de véhicules neufs, a indiqué samedi le ministère dans un communiqué. La pré-inscription à cette plateforme, lancée le 20 septembre dernier, est nécessaire pour l'introduction en ligne des demandes d'agrément provisoire et définitif ainsi que les demandes d'avis technique pour l'exercice des activités de construction de véhicules et/ou de concessionnaires de véhicules neufs. Ainsi, à la fin des deux semaines écoulées, 133 pré-inscriptions ont été enregistrées pour l'activité de concessionnaires de véhicules neufs (tous types confondus) et 51 pré-inscriptions ont été enregistrées pour l'activité ,de construction de véhicules (tous types confondus). Concernant les concessionnaires de véhicules neufs, la répartition des pré-inscriptions à ce dispositif par domaine d'activité, fait ressortir 40 demandes pour l'automobile, 37 pour les motocycles, 15 pour les camions, 12 pour les engins roulants, 10 pour les tracteurs et matériels agricoles, 6 pour les bus et autocars, 5 pour le matériel des travaux publics et 4 pour les tracteurs routiers et 4 autres pour les semi-remorques, soit un total de 133 demandes. Quant à l'activités de construction de véhicules, 13 demandes ont été enregistrées pour l'automobile, 13 pour les motocycles, 7 pour les camions, 5 pour les tracteurs et matériels agricoles, 4 pour les bus et autocars, 4 pour les tracteurs routiers, 4 les semi-remorques, 4 pour les engins roulants et 1 (une) demande pour le matériel des travaux publics, soit un total de 51 demandes. Le ministère souligne, dans ce cadre, que certains opérateurs ont émargé aux deux dispositifs, édictés, respectivement, par le décret exécutif 20-226 fixant les conditions et les modalités d'exercice de l'activité de construction automobile et le décret exécutif 20-227 fixant les conditions et les modalités d'exercice de l'activité de concessionnaires de véhicules neufs. La même source rappelle également que l'opération de pré-inscriptions aux dispositifs régissant les activités de construction de véhicules et de concessionnaires de véhicules neufs, se poursuit toujours, tout en précisant que les opérateurs intéressés étaient invités à se présenter, uniquement sur rendez-vous, au niveau du siège du ministre de l'Industrie pour procéder aux pré-inscriptions électroniques sur le portail dédié aux dispositifs, munis du dossier administratif nécessaire (pièce d'identité nationale, statut de l'entreprise, registre de commerce le cas échéant.(