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Industries (et Artisanat)

Journée du Samedi 10/01/2021

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-Le gouvernement a décidé de libérer l’importation des véhicules neufs afin de répondre aux besoins du marché national. Les premières autorisations d’importation seront octroyées prochainement aux concessionnaires retenus, a annoncé ce 10 janvier le ministre de l’Industrie, Ferhat Ait Ali Braham sur les ondes de la chaine II de la radio nationale. « On a reçu depuis le début de l’année en cours des instructions de président de la République, et il y a un accord unanime au niveau du gouvernement pour libérer l’importation des véhicules neufs afin d’alimenter le marché national en véhicules de tout genre, notamment utilitaires qui sont nécessaires pour les Institutions et les commerçants », a précisé le ministre. A cet effet, le Comité interministériel chargé d’examiner les dossiers de demandes d’autorisations pour importer les véhicules neufs va se réunir pour remettre la liste finale des concessionnaires retenus, a-t-il ajouté. « Pour l’instant, sur le plan documentaire, nous avons recensé 40 dossiers qui sont complets (…) et nous avons tardé dans le choix des dossiers d’importateurs de véhicules neufs, car il fallait bien examiner leur conformité aux conditions fixées dans le cahier des charges et s’assurer que le client ne soit pas pris en otage comme c’était le cas dans le passé », a-t-il dit. « Ce n’est pas l’Etat qui va importer les véhicules mais c’est les concessionnaires. Ceux qui ont des dossiers propres et qui répondent aux conditions fixées dans le cahier des charges, seront retenus », a-t-il encore ajouté. S’agissant des marques concernées par les premières autorisations d’importation, il a fait savoir qu’il y a des « marques intéressantes », et de tous les modèles, dont celles destinées aux petites bourses et qui ont donné leur accord aux concessionnaires algériens. Pour M. Ait Ali, la finalité n’est pas d’encourager l’importation mais c’est de bâtir une vraie industrie automobile en Algérie, tout en réaffirmant le maintien de taux d’intégration fixé pour l’industrie automobile, établi à un minimum de 30% lors de la première phase d’activité.