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Industries (et Artisanat)

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  • 25-01-2021
    Le ministre de l’Industrie, Ferhat Aït Ali, dépose une plainte avec citation directe, pour «diffamation et atteinte à la sécurité nationale» contre le président de l’Association des concessionnaires automobiles multimarques (Acam), Youcef Nebbache. Les critiques publiques que ce dernier a exprimées au sujet du cahier des charges relatif au secteur de l’automobile lui ont valu la plainte Il devra donc comparaître, jeudi prochain, devant le tribunal de Bir Mourad Raïs, à Alger, apprend-on auprès de son avocat Me Khaled Maouchi.
  • 21-01-2021
    -Répondant, ce jeudi, aux questions de parlementaires au Conseil de la Nation sur le dossier des autorisations d’importation de véhicules, le ministre de l’industrie Braham Ferhat Ali, s’est laissé aller à une rhétorique discursive offensive. En cause, une campagne de dénigrement qui vise son département, après l’octroi d’agréments provisoires à des importateurs nationaux, précisant que « des lobbies extérieurs tentent d’influer» sur ses décisions, a-t-il relevé. Et au ministre, offusqué, de rappeler que ces autorisations, les premières en attendant d’autres, «ont bénéficié à des importateurs algériens, à l’exclusion des étrangers» soulignant que dans le passé ces opérations, certaines fictives, qui incluaient des partenaires étrangers avaient saigné à blanc le Trésor public. Sur ce plan, Aït Ali a fustigé des pratiques, que personne ne dénonçait, qui coûtaient à l’Etat « dans les 12 milliards de dollars, sans profits, en retour », a-t-il déploré. «Nous avons ramené l’enveloppe d’importation à 02 milliards de dollars avec une escompte de 01 milliard DA pour le Trésor public » a indiqué le ministre aux parlementaires, dans un exercice apparent de comparaison. Enfin, le ministre a tenu à rassurer que tous les candidatures à l’agrément d’importation des véhicules, et pour peu qu’ «elles répondent au Cahier des charges y afférent seront les bienvenues, à tout moment» a-t- il conclu.
  • 18-01-2021
    -Quatre concessionnaires viennent d'être autorisés à importer des véhicules neufs, a annoncé lundi soir le ministère de l'industrie dans un communiqué. "Sur avis du comité technique chargé de l'examen et du suivi des dossiers relatifs à l'exercice de l'activité de concessionnaires de véhicules neufs, le Ministre de l’Industrie, Monsieur Ferhat Ait Ali Brajham, a procédé à la signature d'autorisations provisoires pour quatre concessionnaires", a précisé la même source . Le même comité "a notifié des levés de réserves pour quatre autres concessionnaires" et "un avis défavorable pour deux concessionnaires ayant la possibilité de présenter un recours à la commission de recours dans les délais réglementaires", ajoute le communiqué. Le ministère de l'industrie a assuré que "cette première partie des dossiers déposés à ce jour, sera suivie d’autres dossiers présentés au Comité, par Ordre d’arrivée et selon la catégorie de véhicules au titre desquels la demande est formulée". Et que "tout comme seront traités tous les dossiers arrivés au ministère de l’industrie, dans les mêmes règles et délais, au fur et à mesure de leur présentation sans autre restriction que la conformité aux lois et règlements". Le ministère de l’Industrie rappelle que conformément à la loi, "les notifications de décisions sont destinées uniquement aux intéressés et ne sont pas portées à la connaissance du public".
  • 10-01-2021
    -Le gouvernement a décidé de libérer l’importation des véhicules neufs afin de répondre aux besoins du marché national. Les premières autorisations d’importation seront octroyées prochainement aux concessionnaires retenus, a annoncé ce 10 janvier le ministre de l’Industrie, Ferhat Ait Ali Braham sur les ondes de la chaine II de la radio nationale. « On a reçu depuis le début de l’année en cours des instructions de président de la République, et il y a un accord unanime au niveau du gouvernement pour libérer l’importation des véhicules neufs afin d’alimenter le marché national en véhicules de tout genre, notamment utilitaires qui sont nécessaires pour les Institutions et les commerçants », a précisé le ministre. A cet effet, le Comité interministériel chargé d’examiner les dossiers de demandes d’autorisations pour importer les véhicules neufs va se réunir pour remettre la liste finale des concessionnaires retenus, a-t-il ajouté. « Pour l’instant, sur le plan documentaire, nous avons recensé 40 dossiers qui sont complets (…) et nous avons tardé dans le choix des dossiers d’importateurs de véhicules neufs, car il fallait bien examiner leur conformité aux conditions fixées dans le cahier des charges et s’assurer que le client ne soit pas pris en otage comme c’était le cas dans le passé », a-t-il dit. « Ce n’est pas l’Etat qui va importer les véhicules mais c’est les concessionnaires. Ceux qui ont des dossiers propres et qui répondent aux conditions fixées dans le cahier des charges, seront retenus », a-t-il encore ajouté. S’agissant des marques concernées par les premières autorisations d’importation, il a fait savoir qu’il y a des « marques intéressantes », et de tous les modèles, dont celles destinées aux petites bourses et qui ont donné leur accord aux concessionnaires algériens. Pour M. Ait Ali, la finalité n’est pas d’encourager l’importation mais c’est de bâtir une vraie industrie automobile en Algérie, tout en réaffirmant le maintien de taux d’intégration fixé pour l’industrie automobile, établi à un minimum de 30% lors de la première phase d’activité.
  • 09-01-2021
    -Ferhat Ait Ali, ministre de l’Industrie, a annoncé ce samedi que l’endettement des groupes industriels est devenu important et que des changements auront bientôt lieu à la tête des entreprises publiques. « L’endettement accumulé ces dernières années est estimé à 12 milliards de dollars. Les actifs publics actuels suffisent pour garantir cet endettement. Il y a un problème structurel de management et il y a absence de plans de relance. Un audit est en cours au niveau de tous les groupes industriels publics. En fonction des résultats de l’audit, nous prendrons des décisions. Les plans de redressement sont étudiés groupe par groupe», a déclaré le ministre au Forum du journal Echaab à Alger. Et d’ajouter « après, on verra quels sont les groupes éligibles à la reconversion, ceux qui vont continuer à produire avec une nouvelle aide (de l’État), ceux qui vont être orientés vers la bourse (ouverture de capital) et ceux dont les actifs seront reversés au trésor public en raison de l’incapacité à rebondir ». Il existe, pour rappel, douze groupes publics industriels ayant 841 unités avec 42 filiales. « Certaines unités sont en faillite au regard du code de commerce algérien. Leurs actifs sont inférieurs au quart du capital social », a-t-il noté.
  • 03-01-2021
    -L'Entreprise nationale des industries électroménagères (ENIEM), redémarre, dimanche, après «un arrêt technique» du 1er au 31 décembre écoulé, selon un communiqué de sa direction, diffusé, hier. Le communiqué, qui tient lieu de convocation, invite les travailleurs à rejoindre leurs postes de travail, tout en les exhortant à «faire preuve de sagesse et de maturité et d'éviter de répondre à toute forme de manipulation et de malveillance source de perturbation et de déstabilisation» y souligne la direction basée à Tizi- Ouzou. Elle a, dans ce sens, tenu à rassurer ses travailleurs qu'elle avait entrepris «toutes les actions nécessaires afin de débloquer la situation difficile que traverse l'entreprise actuellement», mettant en avant que «des garanties ont été données par les pouvoirs publics afin de trouver une solution durable qui garantira la pérennité des emplois au sein de l'entreprise et ce dans les meilleurs délais possibles». Pour rappel, l'ENIEM avait annoncé, fin novembre, un arrêt technique de ses activités d'une durée d'un mois pour cause de «contraintes financières et rupture des stocks des matières premières». Une situation qui avait amené les travailleurs à organiser plusieurs actions de protestation et une commission ministérielle avait été dépêchée à Tizi-Ouzou, pour tenter de trouver une solution à ce problème................................................................................... -Les travailleurs de l'ENIEM de Tizi Ouzou ont refusé, dimanche, de reprendre le travail au terme de la période de congé technique durant un mois. Ils comptent maintenir leur protestation jusqu'au départ du président-directeur général de l'entreprise et l'annulation du congé technique.