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  • 18-02-2024
    -L'Ecole nationale supérieure des Sciences politiques a été baptisée, dimanche à Alger, du nom du Chahid Zeddour Mohamed Brahim Kacem, à l'occasion de la Journée nationale du Chahid. La cérémonie s'est déroulée en présence des ministres de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Kamel Baddari, et des Moudjahidine et des Ayants droit, M. Laïd Rebiga, du conseiller auprès du président de la République, chargé des affaires politiques et des relations avec la jeunesse, la société civile et les partis politiques, Mohamed Chafik Mesbah, de l'ancien ministre et diplomate, Ahmed Taleb Ibrahimi, du moudjahid et ancien diplomate, Salah Benkobbi, ainsi que de cadres, d'enseignants et d'étudiants de l'Ecole. Le Chahid Zeddour Mohamed Brahim Kacem (1923-1954), dont l'Ecole porte désormais le nom, est né à Oran. Rédacteur de la Déclaration du 1er Novembre en langue arabe, il fut le premier étudiant martyr de la Guerre de libération nationale. Il est mort sous la torture pratiquée par les forces coloniales françaises. Le Chahid a reçu une formation à l'Université Zitouna (Tunisie) et à l'Université Al-Azhar (Egypte), où il rencontra d'éminents dirigeants du Mouvement national algérien, notamment des membres du Parti du peuple algérien (PPA) et du Mouvement pour le triomphe des libertés démocratiques (MTLD), dans les rangs duquel il militait dans les années 1940 avant de rejoindre le Front de libération nationale (FLN). A son retour en Algérie, Zeddour Brahim a subi l'onde de choc des massacres du 8 mai 1945. Le 2 novembre 1954, il fut convoqué par l'administration coloniale à Oran pour ne plus réapparaître vivant. Le 6 novembre de la même année, sa famille apprend qu'il est mort sous la torture.
  • 17-02-2024
    -Le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, a affirmé, samedi, que les valeureux Chouhada et les Moudjahidine demeuraient "la voie et l'exemple à suivre", soulignant que leur message éternel "protège l'Algérie unie et indivisible et infuse dans l'âme du peuple algérien une cohésion nationale à toute épreuve". "La célébration des fêtes nationales immortalisant notre glorieuse Révolution de libération nous emplit d'un sentiment de fierté d'appartenir à l'Algérie. En cette Journée nationale du Chahid, nous nous remémorons avec déférence les sacrifices et les affres endurés par ceux qui se sont dévoués corps et âme pour écrire la gloire de la nation dans les maquis et les plaines du pays", a précisé le président de la République dans un message adressé à l'occasion de la Journée nationale du Chahid (18 février).
  • 08-02-2024
    -Le ministre de l’Intérieur, des Collectivités locales et de l’Aménagement du territoire, Brahim Merad, a indiqué, jeudi à Sakiet Sidi Youcef (Tunisie) que la commémoration des massacres de Sakiet Sidi Youssef s’inscrivait, cette année, dans un "contexte particulier" des relations algéro-tunisiennes, fondées sur la profondeur des liens historiques et soutenues par la volonté politique forte des présidents des deux pays. Dans un discours prononcé à la maison d’hôtes de Sakiet Sidi Youcef, lors de la cérémonie commémorant cette date historique, M. Merad, en compagnie du ministre des Moudjahidine et des Ayants droit, Laïd Rebiga, côté algérien, et des ministres de l’Agriculture, des Ressources hydrauliques et de la Pêche, M. Abdelmonem Belati, de l’Economie et du Plan, Mme Feriel Ouardi, et de la Formation professionnelle et de l’Emploi, M. Lotfi Diab, côté tunisien, a rappelé que la "commémoration de ce 66ème anniversaire qui nous fait rappeler les massacres de Sakiet Sidi Youcef, le 8 février 1958", intervient "au moment où une importante dynamique de construction se concrétise selon une stratégie soutenue par la volonté politique du président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, et de son frère le président de la République tunisienne, M. Kaïs Saïed".
  • 07-02-2024
    -La Commission mixte d’historiens algériens et français a dévoilé, ce samedi , ses propositions en vue de résoudre les différends entre les deux pays liés à la période coloniale et la Guerre d’indépendance. Sujets traités : Archives, restutution de biens, expositions, chronologie, bibliographie, échanges d’expériences académiques, cimetières de prisonniers algériens décédés et enterrés en France La création de cette instance de dix membres chargée d’étudier les archives algériennes et françaises portant sur la période coloniale avait été annoncée en août 2022 à Alger par les présidents français, Emmanuel Macron, et algérien, Abdelmadjid Tebboune. Les propositions seront soumises aux deux chefs d’Etat. Le président Tebboune avait indiqué que cette commission aura à traiter la question liée à la mémoire «sous l’angle historique et non politique». Concernant le temps qui lui était imparti, le chef de l’Etat a précisé avoir évoqué avec son homologue français «un délai d’une année ou moins, si le travail est finalisé avant»