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Energie (et Mines)

Mois du 11/2020

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  • 25-11-2020
    -Les cours du pétrole continuaient de grimper mercredi, le Brent s'approchant des 50 dollars le baril, portés par les avancées des vaccins et le prochain sommet de l'Opep+. Vers 10H20 GMT (11H20 à Alger), le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en janvier gagnait 1,38% par rapport à la clôture de mardi, à 48,52 dollars. A New York, le baril américain de WTI pour le même mois gagnait 1,11% à 45,41 dollars. Il faut remonter au 6 mars dernier pour retrouver des prix équivalents. Deux facteurs principaux sont à l'origine de la flambée des prix du pétrole de ces dernières semaines, estiment des spécialistes qui citent l'évolution positive des vaccins et la perspective d'une prolongation des coupes actuelles de la part de l'Opep+, qui semblent déjà prises en compte par les marchés.
  • 24-11-2020
    -Le prix du panier de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP), dont le pétrole algérien, poursuit son amélioration dans le contexte d’espoir de reprise de l’économie mondiale atteignant 44,75 dollars le baril, selon les données de l’Organisation publiées ce mardi . Il s’agit de sa plus forte hausse depuis le mois de septembre dernier, soutenu notamment de nouvelles avancées annoncées par différents laboratoires dans le monde concernant l’efficacité d’un vaccin réduisant le risque d’atteinte de la Covid-19. Ces annonces donnent de l’espoir aux acteurs du marché pétrolier sur une reprise de la demande mondiale d’énergie, affectée depuis plusieurs mois dernier la pandémie du Covid-19. Le baril de Brent de la mer du Nord, côté sur le marché de Londres, sur lequel est établi le pétrole algérien, a terminé la séance de lundi en hausse de 2,40% ou 1,1 dollar à 46,06 dollars. D’autre part, les investisseurs comptent sur de nouveaux efforts de la part des producteurs de l’Opep et ses alliés pour soutenir les prix de brut……………………………………………………………………………….. - Les exportations algériennes de gaz atteindront cette année 41 milliards de mètres cubes, soit 2 milliards de moins que l’année dernière, selon les prédictions annoncées par Abdelmadjid Attar qui le confiait, il y a deux jours, à Reuters.. Ce sont donc 4,7% de moins que les exportations de gaz de l’année dernière que Sonatrach et ses traders parviendront à placer sur le marché mondial, éreinté comme toute l’économie à l’échelle planétaire par les conséquences de la pandémie de coronavirus. Marché du gaz qui, selon des perspectives, devrait connaître un début de remontée avec le début du grand froid, mais ce dont, apparemment, l’Algérie ne pourra tirer profit en raison, d’un, de la contraction de la demande chez nos partenaires européens, et de deux, du fait de la grande concurrence imposée par le gaz américain, moins cher, à tous les habituels exportateurs qui dominaient le marché jusqu’à il n’y a pas encore longtemps. Les grandes difficultés imposées au marché du gaz ont été illustrées, pas plus tard que la semaine dernière, par une nouvelle chute des prix en dessous de 2,70 dollars le million de Btu (MMBtu) alors que deux semaines plus tôt, le MMbtu avait bondi jusqu’à 3,50 dollars. Une baisse des prix due au temps doux ayant caractérisé le début du mois de novembre, ce qui a renversé tous les scénarios émis il y a à peine deux mois, lorsque était prédit un rebond de la demande, entre autres par le Forum des pays exportateurs de gaz qui, début octobre dernier, statuait sur une augmentation de la demande mondiale de 4 milliards de mètres cubes durant la période hivernale qui s’annonce alors qu’une experte pour le compte d’un site spécialisé américain pariait sur «une montée en flèche du prix du gaz» en prenant en référence le GNL américain pour attester que « les prix de référence très volatils du gaz naturel aux États-Unis devraient augmenter dans les mois à venir dans un contexte de baisse de la production intérieure, de hausse de la demande en hiver et de reprise des prix mondiaux du gaz en Europe et en Asie, principales destinations d'exportation des États-Unis pour le gaz naturel liquéfié (GNL) ». Le gaz américain qui se trouve être une des raisons de la baisse des exportations algériennes, comme le relève d’ailleurs Abdelmadjid Attar dans les propos rapportés par Reuters, il y a deux jours, lorsqu’il expliquait les raisons de la baisse de nos exportations de gaz, frappées par une demande réduite de l’Europe et, donc, la concurrence des approvisionnements américains moins chers. Le ministre Attar qui a annoncé que la production totale de gaz atteindra 126 milliards de mètres cubes, contre 127 milliards de mètres cubes en 2019, avec une production entravée par le vieillissement des champs et le manque d’investissement au moment où la consommation intérieure a augmenté de 5,3% par an depuis 2009 pour atteindre 46 milliards de mètres cubes l'année dernière.
  • 23-11-2020
    -Sonelgaz tire la sonnette d’alarme. La compagnie a appelé ses clients à régler les arriérés de facture de consommation d’énergie afin d’éviter leur accumulation. Selon la chargée de communication du groupe, Merzouki Fatma, à la Radio algérienne, le montant de créances de Sonelgaz s’élève à 171 milliards de DA
  • 22-11-2020
    -L'Organisation des pays arabes exportateurs de pétrole (OAPEC) a déclaré dimanche que ses membres soutiennent les contrats à long terme indexés sur le pétrole pour le gaz naturel car ils offrent une stabilité garantie à la marché et minimiser les risques sur les projets à forte intensité de capital", a rapporté le Forum des pays exportateurs de gaz (GECF) sur son site web . S'exprimant lors de la 48e édition de la série de conférences mensuelles sur le gaz du GECF, intitulée "l'industrie du gaz naturel dans les pays arabes: réalité et perspectives '', des experts de l'organisation ont déclaré: "à notre avis, les contrats à long terme apportent de la stabilité et une situation gagnant-gagnant entre les fournisseurs et les consommateurs’’. Le Sg de l'OAPEC, Ali Sabt BenSabt, le directeur du département des affaires techniques, le Dr Samir Mahmoud Elkareish, et l'expert en gaz, Eng Wael Hamed Abdel Moati, ont noté "qu'entre 1990 et 2019, la région arabe a connu le taux de croissance total le plus élevé des réserves de gaz prouvées au monde, de 25 tcm pour presque doubler à 55 tcm, et pourtant la production n'a pas suivi le rythme des découvertes". Cités dans le communiqué du GECF, les mêmes responsables ont déclaré que " nous (la région arabe) produisons 60% de la production mondiale de gaz tout en détenant 27% des réserves de gaz prouvées’’. Ils ont ajouté qu’’’en comparaison, l'Amérique du Nord détient 8% des réserves tout en produisant 28% de la production mondiale de gaz. La proportionnalité de la croissance des réserves de gaz à la croissance de la production de gaz dans le monde arabe est plus faible que dans d'autres régions au cours de la période 1990-2019 et il y a encore de la place pour des investissements dans les ressources gazières pour augmenter les niveaux de production’’. Selon eux, la région arabe a été parmi "les principaux contributeurs à l'augmentation de la production mondiale de gaz au cours des dernières décennies et joue un rôle mondial clé pour fournir une source d'énergie efficace, plus propre et durable aux clients". "Le message clé que nous avons est que le gaz a le potentiel de jouer un rôle plus important dans la réalisation d'un avenir énergétique durable", ont-ils ajouté. Pour sa part, le Sg du GECF , Sentyurin du GECF a soutenu que le marché de l'énergie subit des changements structurels, le gaz naturel menant la course au sommet du mix énergétique mondial en raison de ses attributs propres. ‘’La pandémie a poussé les marchés de l'énergie dans des eaux inexplorées et la demande énergétique dans son ensemble a diminué de 8% en 2020. Le gaz naturel a heureusement subi une baisse en pourcentage plus faible que le pétrole ou le charbon et la demande devrait renouer avec la croissance, même si la décarbonisation est plus élevée qu'avant", a -t-il déclaré. Il a également appelé à une plus grande coopération entre le Forum et l’OAPEC. Il a été, en outre relevé qu' " alors que la pandémie COVID-19 a réduit les exportations arabes de GNL de 1% en glissement annuel au cours des neuf mois de 2020, de nombreux membres de l'OAPEC subissaient une transformation en raison de l'urbanisation, de la croissance démographique et de la mondialisation". Selon l'OAPEC, les réserves de pétrole et de gaz naturel exercent une influence considérable sur la vie et les économies de la région, et c'est pourquoi plusieurs pays ont annoncé leur intention d'augmenter la capacité de production de GNL au cours des 5 à 7 prochaines années, dont le Qatar (49 mtpa), Mauritanie (10,1) et Oman (1,5). D'ici 2027, la capacité de GNL dans la région arabe sera augmentée d'environ 45%. Les investissements gaziers totaux 2020-2024 dans les pays arabes devraient s'élever à environ 162 milliards USD. "Ces investissements porteront sur l'ouverture de nouveaux blocs, l'exploitation de réservoirs à bouchon de gaz et non conventionnels, des champs de gaz techniquement difficiles et l'expansion des exportations de GNL", ont noté les dirigeants de l'OAPEC. L'OAPEC a été créé en 1968 en réponse au besoin d'interdépendance à long terme de ses membres, que sont l'Algérie, le Bahreïn, l'Egypte, l'Iraq, le Koweït, la Libye, le Qatar, l'Arabie saoudite, la Syrie, la Tunisie et les Emirats arabes unis.
  • 16-11-2020
    -Le Sahara Blend, le brut de référence algérien a maintenu sa troisième place du brut le plus cher du panier des pétroles de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP) en 2020, et ce, malgré un important recul, selon les données de l’Organisation (novembre 2020) "La moyenne annuelle des prix du brut algérien est passée de 64,20 dollars/baril en 2019 à 41,27 dollars en 2020 (jusqu’a octobre 2020), occupant la troisième place du brut le plus cher de la composante du panier de l’Opep (13 bruts) en 2020, après l’Emirati Murban (42,31 dollars/baril) et l’Angolais Girassol (41,59 dollars/baril)", précise l’Opep dans son dernier rapport mensuel.
  • 14-11-2020
    -L’Algérie accueillera le 7ème sommet des chefs d'Etat et de gouvernement du Forum des pays exportateurs de gaz (GECF) à Alger en 2023, a indiqué ce samedi le Forum sur son site web. "Les ministres de l’Energie des pays membres du Forum ont examiné lors de la 22éme réunion ministérielle du GECF les préparatifs du 6e Sommet des chefs d'Etat et de gouvernement du GECF et ont exprimé leur satisfaction quant aux progrès accomplis par le Qatar en tant qu'hôte de cet événement, qui doit se tenir à Doha le 18 novembre 2021. L'Algérie accueillera le 7e sommet de Forum à Alger en 2023’’, a précisé la même source. En outre, il a été décidé que la 23e réunion ministérielle du GECF se tiendra à Doha, dans l'Etat du Qatar, le 16 novembre 2021.
  • 11-11-2020
    -Le ministre de l’Energie Abdelmadjid Attar a indiqué mercredi à Alger que plus de 20 milliards de dollars devraient être investis au cours des cinq prochaines années dans le cadre de la poursuite du développement de la chaîne gazière. "Un développement massif des ressources gazières de l'Algérie a été réalisé pour financer son développement économique et améliorer les conditions de vie de sa population. Cela se poursuivra à l’avenir grâce aux importantes ressources gazières. Plus de 20 milliards de dollars devraient être investis au cours des cinq prochaines années dans le développement de la chaîne gazière", a-t-il précisé dans une allocution d’ouverture d’une table ronde ministérielle du Forum des pays exportateurs de gaz (GECF) tenue mercredi par vidéoconférence…………………………………………………… -L’Opep a révisé à la baisse la demande mondiale de pétrole pour la fin de 2020 et 2021 en raison de la dégradation des perspectives économiques consécutive aux mesures de restrictions prises pour endiguer la deuxième vague du Covid-19, selon son rapport mensuel publié mercredi. Dans ses nouvelles prévisions, l’Opep s’attend à une chute de la demande mondiale de pétrole de 9,8 millions de barils par jour (mb/j) en 2020 alors qu’elle tablait sur un recul de 9,5 mb/j lors de ses précédentes estimations il y a un mois.
  • 09-11-2020
    -Les prix de pétrole on enregistré ce lundi une forte hausse après les annonces faites ce matin, sur l’efficacité de vaccin anti-covid-19. Vers 12 h 00, le prix de baril de brent a gagné 6,39 % par rapport à le clôture de vendredi, pour s’établir à 41,97 dollers pour le livraison de janvier. Aux Etats-unis, le baril américain de Wti pour décembre a gagné 8,51 % pour finir à 40,19 dollars. Cet important rebond les prix est intervenu après l’annonce par pfizer et bionech d’un vaccin conre le covid-19 « efficace à 90% » selon le première analyse intermédiaire de leur essai de phase 3, suscitant l’espoir de voir le demande d’or noir repartir
  • 03-11-2020
    -Le ministre de l’Energie, Abdelmadjid Attar, a fait savoir ce mardi à Alger que la consommation nationale d’énergie avait baissé de 6% durant les neuf premiers mois de 2020, en raison des répercussions de la pandémie du nouveau coronavirus sur les activités économiques. Auditionné par la Commission des finances et du budget de l’Assemblée populaire nationale (APN), dans le cadre du débat du projet de loi de finances (PLF 2021), le ministre a indiqué que 45 millions tonnes équivalent pétrole (TEP) avaient été consommés fin septembre, d’où cette baisse de 6% par rapport à la même période de 2019.
  • 02-11-2020
    -Les créances de la région de distribution d’Alger (RDA) relevant de la Société Algérienne de Distribution de l’Electricité et du Gaz (SADEG) auprès de ses clients se sont élevées à plus de 18 milliards de DA à fin juin 2020, une hausse record induite par la pandémie de coronavirus, a indiqué lundi l'entreprise dans un communiqué.