SANTE- INFOS’ DIVERSES- SANTE/INFOS’
DIVERSES 2022 (II/III)
/-Selon l’OMS (mai 2022), alors que l’industrie
du tabac est responsable de la perte de 600 millions d’arbres, la culture du
tabac utilise chaque année 200.000 hectares de terres et 22 milliards de tonnes
d’eau, et émet environ 84 millions de tonnes de CO2, selon le rapport.
« Les
produits du tabac, qui sont les détritus les plus souvent jetés de la planète,
contiennent plus de 7.000 composés chimiques qui, une fois jetés, se répandent
dans l’environnement », poursuit on . Chacun des 4.500 milliards de mégots de cigarettes qui
finissent chaque année dans la nature peut polluer jusqu’à 100 litres d’eau,
souligne-t-il
-Le tabac tue plus de huit millions de personnes chaque année et
détruit notre environnement, avec des conséquences négatives sur la santé
humaine dues à la culture, la production, la distribution, et la consommation,
alerte l’Organisation mondiale de la Santé (OMS, fin mai 2022)
), tirant la sonnette d’alarme sur l’impact de l’industrie du tabac sur
l’environnement.
Chaque année, l’industrie du tabac est responsable de
plus de huit millions de décès, de la destruction de 600 millions d’arbres,
200. 000 hectares de terres, de la perte de 22 milliards de tonnes d’eau et de
l’émission de 84 millions de tonnes de CO2, indique l'Agence sanitaire
onusienne, dans un rapport intitulé : "Le tabac : un poison pour notre
planète" publié à l'occasion de la Journée mondiale sans tabac.
Le tabac est cultivé majoritairement
dans les pays à revenu faible ou intermédiaire, où il existe un besoin vital en
eau et en terres agricoles pour la production des denrées alimentaires
destinées à la région.
-Mi
2022 : Dans le monde, ils sont plus de 650 millions d’adultes et plus de
124 millions d’enfants et d’adolescents en situation d’obésité. Notre pays
n’est pas à l’abri, étant donné qu’il y a 5 ans, ils étaient 9,7 millions
d’Algériens souffrant d’obésité.
Ce qui représente 23% de la population
générale, avec une prédominance féminine dépassant les 30% de la population
générale.
-L ’industrie pharmaceutique a pu, grâce aux
mesures incitatives prises par l’Etat, répondre à plus de 70% des besoins du
marché national, ce qui lui a permis à la fois de réduire la facture
d’importation des médicaments et d’accéder aux marchés extérieurs. Le secteur
pharmaceutique représente près de quatre mds USD couvrant 1.033 dénominations
communes internationales (DCI) et 2.904 dispositifs médicaux, des résultats
réalisés grâce à l’engagement et à l’accompagnement du secteur par l’Etat sur
les plans institutionnel, juridique et scientifique, contribuant ainsi à
assurer les médicaments au citoyen à des prix raisonnables.
-Le tabac
est le principal élément ayant favorisé un cancer (33,9%), devant l'alcool
(7,4%), selon une étude d'une ampleur sans équivalent, impliquant plusieurs
milliers de chercheurs dans la majeure partie des pays du monde.
Une confirmation. Près de la moitié des cancers
mondiaux sont attribuables à un facteur de risque donné, dont en premier
lieu le tabac et l'alcool, conclut
une gigantesque étude publiée vendredi 19 août. Cette dernière insiste sur
l'importance des mesures de prévention, sans en faire une panacée.
"Selon notre analyse, 44,4% des morts par cancer
dans le monde (...) sont attribuables à un facteur de risque qui a été
mesuré", avance cette étude, publiée dans
le Lancet (en anglais) et réalisée dans le cadre du
Global Burden of Disease.
Ce vaste programme de recherche, financé par la fondation Bill Gates, est d'une
ampleur sans équivalent, impliquant plusieurs milliers de chercheurs dans la
majeure partie des pays du monde.
Ce travail permet donc de connaître plus en détail les
facteurs de risques selon les régions du monde même si, dans l'ensemble, ses
conclusions confirment ce qui était déjà connu : le tabac est de loin le
principal élément ayant favorisé un cancer (33,9%), suivi par l'alcool (7,4%).
Surtout, ces conclusions plaident pour accorder une grande place à la
prévention en matière de santé publique, puisque nombre de ces facteurs de
risques se rapportent à des comportements qui peuvent être changés ou modifiés.
Toutefois, une grosse moitié de cancers ne sont pas
attribuables à un facteur de risque donné, ce qui montre que la prévention ne
suffit pas. Celle-ci, selon les auteurs de l'étude, doit donc s'accompagner de
deux autres piliers : un diagnostic suffisamment précoce et des traitements
efficaces.
-L'obésité est souvent une assise de certaines
maladies telles les pathologies cardiovasculaires, l'hypertension, le diabète,
l'infertilité et certains types de cancer.
Une enquête réalisée en 2017 par le
ministère de la Santé en coordination avec l'Organisation mondiale de la santé
(OMS), a révélé
que 23% des Algériens souffrent d'obésité.