POPULATION -INFOS DIVERSES-INFOS
DIVERSES POPULATION 2022
-Le nombre d’habitants de l’Algérie est passé à
44,6 millions au 1er janvier 2021 contre 44,3 millions au 1er juillet 2020,
selon l’Office national des statistiques (ONS).
L’année 2020 a enregistré 992.000
naissances vivantes, 236.000 décès et 283.000 mariages, indiquent les données
statistiques de l’ONS
-Un facebooker (Mehdi
Mohamed, 21janvier 2022), a répertorié une liste de 1265 noms de ministres entre 1988 à 2022.
Sur ces
1265 noms.Selon lui, il y a
822 doublons".Le reste est donc : 442 ministres,
vices-ministres, ministres conseillers, ministres
délégués, et secrétaires d'Etat, pour 38 gouvernements (y compris les
remaniements) nommés entre le 9 novembre 1988 et le 11 novembre 2021.
Parmi ces 442 ministres, certains
sont décédés, quelques-uns résident à l'étranger (dont des ministres du
gouvernement Hamrouche partis avec leurs bagages
intellectuels enseigner dans des universités étrangères : Hidouci, Goumeziane…), mais
l'écrasante majorité réside, jusqu'à preuve du contraire, en Algérie.
-
Les demandes d'asile
auprès des 27 pays de l'UE, ainsi que de la Suisse et de la Norvège, ont
recommencé à augmenter en novembre 2021, frôlant le record de septembre qui
était le chiffre le plus haut depuis 2016, a indiqué hier l'Agence européenne
pour l'asile.
Les Afghans et les Syriens demeurent les deux principaux groupes sur un
total de quelque 71 400 demandes, en hausse de 9% par rapport à octobre, selon
l'EUAA. Elles atteignaient le nombre de 71 930 en septembre, selon des chiffres
révisés par l'agence.
Les demandes de réfugiés en provenance d'Afghanistan, où les talibans ont
repris le pouvoir à la mi-août, demeurent les plus élevées (environ 13 000),
suivies par celles des Syriens atteignant le nombre de 11 500, le plus élevé
depuis 2016 dans la foulée de la crise migratoire, liée notamment à
l'intensification du conflit en Syrie.
Pour les Afghans, les mineurs non accompagnés ont représenté environ la
moitié des demandes totales (3 200). Ce chiffre était de 3 300 en octobre, le
plus élevé depuis 2015.
Les Irakiens ont représenté le troisième groupe de demandeurs d'asile
(4300, +30% par rapport à octobre), en lien avec l'afflux de migrants via le
Bélarus. Les demandes des Vénézuéliens (3 300), des Pakistanais (2 800) et des
Colombiens (2500) sont également en hausse.
Le taux d'acceptation des demandes (octroi d'un statut de réfugié ou de
protection subsidiaire) était de 40% en novembre, contre 41% en septembre, le
plus élevé depuis 19 mois. Mais il a été particulièrement important pour les
Afghans (92%), suivis des Syriens (91%).
-En 2020, on a recensé 55
assassinats commis sur une proche parente : épouse, sœur ou mère (Selon le
réseau Wassila) .Soit 4 crimes par mois. En
2021 : 55 cas. En 2019, elles étaient 75 victimes.
-En 2021, on a recensé – organisme espagnol Cipimd- 413 Algériens
disparus en mer (Harragas). 51 embarcations ont chavuiré avec 487 personnes à bord. En
2020 : 291 disparues avec 27 embarcations…et, au moins 10 000
Algériens ont pu atteindre les frontières méridionales de la presqu’île
ibérique
-Depuis janvier 2022 jusqu’au 17 mai 2022, , les éléments des Garde-côtes, relevant des forces
navales de l’Armée nationale populaire (ANP), ont mis en échec des tentatives
d’émigration clandestine impliquant près de 1200 personnes, indique le bilan
opérationnel de l’ANP. Ils étaient à bord d’embarcations de construction
artisanale qui sont parties des plages, entre autres, de Aïn Témouchent, Oran, Tlemcen, Mostaganem, Chlef, Tipasa,
Skikda, Annaba et El Tarf, avons-nous appris hier du
ministère de la Défense nationale (MDN).
Le bilan officiel, allant du 1er janvier
au 31 décembre est de 6426 candidats à l’émigration clandestine, dont 68
ressortissants marocains ayant été interceptés au large des eaux territoriales
algériennes par les gardes-côtes.
-Eviron 150.000 Marocains auraient été expulsés
d’Algérie en 1976. Ils seraient aussi 300.000 Algériens à avoir connu le même
sort en 1979 au Maroc. Enfin, près d’un million de touristes algériens ont été
expulsés en 1994, avant la fermeture de la frontière entre les deux pays.
Aujourd’hui (mi-2022) , certains chiffres avance
plus de 300.000 le nombre de Marocains vivant en Algérie, pour la plus part des
travailleurs dans le secteur du bâtiment.
-La population mondiale devrait atteindre 8 milliards
d’humains le 15 novembre, selon une projection du département des affaires
économiques et sociales de l’ONU publiée lundi 11 juillet 2022, qui
prévoit aussi que l’Inde dépassera en 2023 la Chine en tant que pays le
plus peuplé du monde. Selon le département onusien auteur de la prévision, la
population mondiale croît actuellement à son rythme le plus lent depuis 1950.
La population mondiale pourrait atteindre environ 8,5 milliards
en 2030 et 9,7 milliards en 2050, avec un pic à environ
10,4 milliards de personnes dans les années 2080 avant un maintien à ce
niveau jusqu’en 2100.Alors qu’une chute nette de la fécondité est
constatée dans plusieurs pays dits développés, l’augmentation de population
attendue dans les prochaines décennies sera concentrée pour plus de la moitié dans
huit pays, selon le département onusien. Il s’agit de la République
démocratique du Congo, de l’Egypte, de l’Ethiopie, de l’Inde, du Nigeria, du
Pakistan, des Philippines et de la Tanzanie.
-LES PRÉNOMS les plus usités en
Algérie sont Mohamed, Ahmed, Abdelkader, Ali et Youcef. Le ministère de
l’Intérieur, des Collectivités locales et de l’Aménagement du territoire qui a
établi ce classement (2022) au regard des inscriptions dans l’état civil de
nouvelles naissances, souligne que pour la gent féminine ce sont les prénom de Miryam, Fatima et Amina qui reviennent
souvent. Ces statistique établies entre 1970 et 2020,
traduisent donc une stabilité des prénoms en Algérie. C’est dire que les fameux
prénoms turcs et autres iraniens ne sont pas si répandus que cela. On en veut
pour preuve que les parents pensent d’abord aux prophètes pour prénommer leurs
bébés. Ibrahim, Youcef, Younès, Ishaq, Ayoub, Zakariya
figurent aussi dans le top 10 des prénoms les plus populaires en Algérie
-Plus de 52.000
agents recenseurs, près de 8 000 agents contrôleurs et 3 000 formateurs seront
mobilisés lors du 6ème Recensement général de la population et de l'habitat
(RGPH-2022), prévu du 25 septembre au 9 octobre 2022, selon un document de
l'Office national des statistiques (ONS)
-Selon le dernier rapport publié par
l’Organisation internationale du travail (OIT) et l’Organisation internationale
pour les migrations (OIM) -avec l’ONG Walk Free Foundation-, 10 millions de personnes supplémentaires se
trouvaient en situation d’esclavage moderne par rapport aux estimations
mondiales de 2016 qui faisaient état d’un chiffre de 40 millions. En raison des
conséquences de la pandémie, près de 50 millions de personnes ont ainsi été
forcées de travailler ou de se marier l’an dernier.Sur ces 50 millions d’esclaves modernes, près
de 27,6 millions étaient des personnes soumises au travail forcé et 22 millions
étaient des personnes mariées contre leur gré. Les femmes et les filles
représentent plus des deux-tiers des personnes forcées au mariage et près de
quatre sur cinq des personnes en situation d’exploitation sexuelle commerciale,
selon le rapport onusien. Au total, elles représentent 54% des cas d’esclavage
moderne.
A travers le monde, près d’une personne sur 150 est considérée comme étant un
esclave moderne. Plus de la moitié (52%) de tous les cas de travail forcé et un
quart de tous les mariages forcés se trouvent dans les pays à revenu moyen
supérieur ou à revenu élevé. Le mariage forcé a pris de l’ampleur ces dernières
années, en hausse de 6,6 millions depuis les estimations mondiales de 2016. Le
rapport révèle aussi que le nombre de personnes en travail forcé a augmenté de
2,7 millions entre 2016 et 2021, une progression due uniquement au travail
forcé dans l’économie privée, à la fois dans l’exploitation sexuelle
commerciale et dans les autres secteurs. L’Asie et le Pacifique abritent plus
de la moitié du total mondial des travailleurs forcés.
-Près d’une femme sur trois, (soit 30 %) dans le monde est confrontée à une
violence physique et/ou sexuelle, le plus souvent exercée par un partenaire
intime, a indiqué l'Organisation mondiale de la Santé (OMS). Constat alarmant,
cette violence commence tôt, puisque près d’une adolescente sur quatre (24 %)
âgée de 15 à 19 ans a subi la violence physique ou sexuelle d’un partenaire.
Les conséquences sur la santé peuvent durer toute une vie – la violence se
répercute sur le physique, le mental, la sexualité et la santé reproductive des
femmes, selon l'OMS qui souligne que les femmes et les filles confrontées à la
violence doivent bénéficier d’un soutien et notamment d’un accès sans risque à
des soins et à des services.