SPORTS-
ETUDES ET ANALYSES- « MODELE CULTUREL SPORTIF »- ETUDE LALAOUI
BELKACEM (I/II)
Contribution : Le «modèle culturel sportif» algérien est
inefficace : il n’accompagne pas la modernisation de la société dans son
ensemble
©Par Belkacem Lalaoui/le soir d’Algérie,
samedi 19/9/2020
«C'est après le sport que commence
l'importance du sport.»
(Magnane
G.)
Le sport, en Algérie, dans son
développement, sa distribution sociale et sa réalité actuelle, n'est pas encore
perçu comme un «domaine d'activité culturelle» de première force, voire un
«modèle culturel sportif» solidement édifié qui permet de désigner les trois
formes de pratique en train de se généraliser dans les établissements scolaires
et universitaires; les centres de sport-loisir touchant toutes les couches
de la population; et les clubs à travers les compétitions pour améliorer
les performances. Ces trois formes d'organisation concrète (la «pratique
sportive éducative», la «pratique sportive récréative» et le «sport spectacle
professionnel»), que peut prendre la pratique sportive, n'exercent aucune
fonction éducative, sociale et culturelle structurante dans la société
algérienne. Aussi, dans les lignes qui suivent et dans les limites de
la présente contribution, nous tenterons de poser quelques questions de façon
directe sur la pratique sportive organisée en Algérie et ce, afin de dévoiler
de quelle manière elle a changé de visage, d'utilité, de fin, si ce n'est pas
de fonction en fonction, notamment, de nouveaux modes de pratique et de
nouvelles formes d'affrontement de terrain. C'est, donc, le fonctionnement
du «modèle culturel sportif» algérien que nous tentons d'appréhender, afin de
comprendre la place qu'occupe le sport dans notre société. Car, le sport
dans ses diverses modalités de pratique est une «expression condensée et
miniaturisée de la société», ce qui nécessite de lier intimement sport et
société. nous tenterons de poser quelques questions de façon directe sur
la pratique sportive organisée en Algérie et ce, afin de dévoiler de quelle
manière elle a changé de visage, d’utilité, de finalité, si ce n’est pas de
fonction en définissant, notamment, de nouveaux modes de pratique et de
nouvelles formes d'affrontement de terrain. C'est, donc, le fonctionnement
du «modèle culturel sportif» algérien que nous tentons d'appréhender, afin de
comprendre la place qu'occupe le sport dans notre société. Car, le sport
dans ses diverses modalités de pratique est une «expression condensée et
miniaturisée de la société», ce qui nécessite de lier intimement sport et
société. nous tenterons de poser quelques questions de façon directe sur
la pratique sportive organisée en Algérie et ce, afin de dévoiler de quelle
manière elle a changé de visage, d’utilité, de finalité, si ce n’est pas de
fonction en définissant, notamment, de nouveaux modes de pratique et de
nouvelles formes d'affrontement de terrain. C'est, donc, le fonctionnement
du «modèle culturel sportif» algérien que nous tentons d'appréhender, afin de
comprendre la place qu'occupe le sport dans notre société. Car, le sport
dans ses diverses modalités de pratique est une «expression condensée et
miniaturisée de la société», ce qui nécessite de lier intimement sport et
société. de nouveaux modes de pratique et de nouvelles formes
d'affrontement de terrain. C'est, donc, le fonctionnement du «modèle
culturel sportif» algérien que nous tentons d'appréhender, afin de comprendre
la place qu'occupe le sport dans notre société. Car, le sport dans ses
diverses modalités de pratique est une «expression condensée et miniaturisée de
la société», ce qui nécessite de lier intimement sport et société. de
nouveaux modes de pratique et de nouvelles formes d'affrontement de
terrain. C'est, donc, le fonctionnement du «modèle culturel sportif»
algérien que nous tentons d'appréhender, afin de comprendre la place qu'occupe
le sport dans notre société. Car, le sport dans ses diverses modalités de
pratique est une «expression condensée et miniaturisée de la société», ce qui
nécessite de lier intimement sport et société.
En effet, en faute de la forte croissance démographique et le poids croissant
de la population juvénile, l'extraordinaire rétrécissement de la pratique sportive,
58 ans après l'indépendance, met clairement en évidence qu'il n'existe aucune
volonté politique de construire un «modèle culturel sportif» performant qui
donnerait l'occasion à chaque Algérien, jeune ou moins jeune, homme ou femme,
une façon de se cultiver par le sport au contact d'autrui. Et s'il existe,
il reste vague, inachevé, marginal, peu visible et intelligible, difficilement
délimitable par le manque de mobilisation des vrais agents utilisés dans son
développement. Laissant apparaître d'énormes inégalités d'accès à la
pratique sportive entre filles et garçons, c'est un «modèle culturel sportif»
qui n'affiche, dans sa dynamique actuelle, aucune ambition éducative
progressiste.
La compétition sportive considérée comme un moyen privilégié qui contribue à
«l'apprentissage de l'autocontrôle des pulsions», voire un outil de formation
du caractère selon Pierre de Coubertin, peine à pénétrer le bastion scolaire et
universitaire. Quant à l'association sportive, cellule élémentaire au sein
de laquelle s'acquiert et se transmet généralement une culture sportive riche
de lien social, elle a tout simplement déserté l'école et
l'université. C'est, là, le signe évident d'un certain effacement de
l'apprentissage de l'associationnisme sportif comme forme de communication et
d'échange culturel, voire de modernisation des rapports sociaux pour faire
fructifier la sociabilité, la convivialité, la solidarité , la coopération et
l'entraide dans la société algérienne.
En effet, l'associationnisme sportif dans sa diversité d'expression (scolaire,
universitaire et civile) est une des modalités par laquelle le jeune s'initie à
l'apprentissage de la vie associative, développe son «rapport à autrui»,
construit sa personnalité et adhère à une «collectivité citoyenne». Car,
la pratique sportive associative est le creuset où s'opère la formation du
caractère de l'enfant et de l'adolescent. Îlot de sociabilité protégée, où
ont lieu le brassage des générations et le renouvellement des mentalités, elle
accompagne le processus de changement social et de modernisation de la
société.
Malheureusement, pour ce qui est de la réalité associative du sport scolaire,
force est de constater que les liens entre sport et système éducatif sont
fortement distendus en Algérie. Aujourd'hui, dix millions d'élèves sont
privés d'éducation sportive. Comme dans la Grèce antique, l'éducation
sportive est réservée aux bien nés, aux privilégiés, à ceux qui sont au départ
de toutes les vertus physiques, voire d'un grand don. Devenue une pratique
corporelle de distinction, elle présente, comme dans les jeux de compétition
physique de la Grèce antique, les mêmes caractéristiques: elle est ségrégative
(pas de femmes), élitiste (réservée aux bien nés) et ethnocentrée (réservée
exclusivement aux citoyens libres , autrement dit à une caste
restreinte). Aujourd'hui, le caractère élitiste du «modèle culturel
sportif» algérien ne répond nullement aux exigences démocratiques de
l'éducation de l'homme moderne et du citoyen. Il ne prend pas en charge
les grands idéaux de la société moderne.
Théâtre de nombreuses dérives, il s'est réduit à un simple «sport spectacle
professionnalisé» dont les normes sont contournées à tous les échelons de
l'institution, par tous les acteurs de l ' institution (pratiquants,
entraîneurs, arbitres, dirigeants) avec des comportements de transgression des
règles initiales. Nous assistons, en effet, à un «sport spectacle
professionnalisé» de caractère mafieux, qui incite les dirigeants à tricher,
les athlètes à se doper et les supporters à épouser des comportements
violents.
Un «sport spectacle professionnalisé» qui reste de manière chronique par la
tricherie, le clientélisme, le népotisme, le régionalisme, la corruption, la
violence et le dopage. Soumis au pouvoir de l'argent sale, fabriquant des
dirigeants «combinards» ayant un fort goût pour la corruption et des
athlètes-stars dont les salaires sont significativement supérieurs à leurs
performances, le «sport spectacle professionnalisé» a fini par rendre
«méconnaissable» l'image du pays tout entier. Il y a, là, comme un
décalage entre l'approche théorique du sport en tant que phénomène hautement
hautement civilisateur et les effets réels induits par les transformations du
«modèle culturel sportif» algérien en un simple «sport spectacle professionnalisé»,
qui tend à reproduire dans son fonctionnement certaines tendances violentes des
ensembles sociaux,
Face à cette situation chaotique que vit notre mouvement sportif national,
l'État (la puissance publique garante de l'intérêt général) continue, à travers
ses discours à l'emporte-pièce sur le sport, d'ignorer la «pratique sportive
éducative »Et la« pratique sportive récréative ». Par cette attitude,
l'État s'est dessaisi de sa mission éducative.
En continuant de voir le sport avec les seules «lunettes» de la FAF (Fédération
algérienne de football) et du COA (comité olympique algérien), le pouvoir
algérien s'est concentré uniquement sur le «sport spectacle professionnel»
comme simple dispositif de mobilisation collectif pour le politique et ce, dans
le seul mais achetez la paix sociale. Avec cette vision simplificatrice du
phénomène sportif, pour ne pas dire simpliste, le «modèle culturel sportif»
algérien s'est transformé en un produit «exotique» destiné à être pratiqué,
essentiellement, dans de grandes architectures monumentales: le stade en est l
' exemple prototypique. En abandonnant la «pratique sportive éducative» et
la «pratique sportive récréative», le «modèle culturel sportif» algérien s'est
extrêmement appauvri; il ne peut plus exercer aucune fonction sociale et
culturelle structurante dans la société. Devenu le simple reflet d'un faux
«sport spectacle professionnalisé», accaparé par une association de malfaiteurs
«désignés» et «assermentés» qui se sert du sport plus qu'elle ne le sert, le «modèle
culturel sportif» algérien s'est transformé en un vaste laboratoire de
décryptage de la délinquance sportive. C'est dans ce contexte anomique que
le «sport spectacle professionnalisé» algérien s'est constitué en un domaine
autonome jouissant d'une sorte d'extraterritorialité juridique, en dehors de
toutes les règles ordinaires, voire institutionnelles. le «modèle culturel
sportif» algérien s'est transformé en un vaste laboratoire de décryptage de la
délinquance sportive. C'est dans ce contexte anomique que le «sport
spectacle professionnalisé» algérien s'est constitué en un domaine autonome
jouissant d'une sorte d'extraterritorialité juridique, en dehors de toutes les
règles ordinaires, voire institutionnelles. le «modèle culturel sportif»
algérien s'est transformé en un vaste laboratoire de décryptage de la
délinquance sportive. C'est dans ce contexte anomique que le «sport
spectacle professionnalisé» algérien s'est constitué en un domaine autonome
jouissant d'une sorte d'extraterritorialité juridique, en dehors de toutes les
règles ordinaires, voire institutionnelles.
Ayant ses propres règles et remplissant des «fonctions politiques internes et
externes», il est devenu un système fermé sur lui-même: un État dans
l'État. Aujourd'hui, le pouvoir politique lance des cris d'alarme et
s'inquiète des errances de ce monstre aux colères démoniaques, qu'il n'arrive
plus à dompter et qui, telle la créature du docteur Frankenstein, semble lui
échapper. Tout ceci nous montre combien il est difficile de construire un
«modèle culturel sportif» de l'excellence et du progrès moral, sans mettre
l'accent au préalable sur une réelle promotion de la «pratique sportive
éducative».
Sur ce point, tout particulièrement, l'État a fait très peu pour le sport
scolaire (10 millions d'élèves) et le sport universitaire (deux millions
d'étudiants); autrement dit, il a ignoré les lieux où se façonne le
véritable apprentissage sportif. Allant «jusqu'au bout de son erreur», il
s'est impératif de construire de «grands stades» qui dépassent l'utile et
deviennent, avec le temps, non fonctionnels, voire nuisibles. Il en a mis
partout… pour «sportiviser», dit-on, le peuple algérien dans une optique
élitiste et compétitive. En procédant de la sorte, le pouvoir politique
n'a pas pu, n'a pas su ou pas voulu développer un «modèle culturel sportif
authentique» qui soit en mesure de mobiliser dans les écoles, les lycées, les
grandes écoles, les universités , les associations, les clubs, les
fédérations,
Un «modèle culturel sportif» fécond qui soit capable d'unifier, en un tout
cohérent et harmonieux, les trois formes de pratique sportive qui le
constituant, afin de générer une multiplication des niveaux de pratique et
faciliter, ainsi, l'incorporation d ' innombrables valeurs que le monde du
sport ne cesse d'exalter verbement. Car, «le sport a des vertus mais des
vertus qui s'enseignent dès l'enfance».
Le «modèle culturel sportif» algérien
n'a pas appris à la jeunesse de faire usage de son corps, pour augmenter la
puissance et la créativité
En ignorant la réalité éducative du sport scolaire et universitaire comme mode
d'accès majeur à la culture sportive , le pouvoir politique a fait preuve d'une
apparente cécité à l'égard d'un vaste domaine d'expression culturelle
spécifique, qui continue de favoriser à travers le monde un dialogue fécond
entre spécialistes de diverses disciplines: médecine, physiologie, sociologie,
psychologie, anthropologie, philosophie, histoire, etc.
Chez nous, il n'a pas su réunir les
conditions nécessaires pour instaurer, de manière féconde, une culture de
l'exercice physique et sportif au sein des institutions d'éducation et de
formation, afin de permettre à la jeunesse de s 'intégrer socialement par le
bienfait que procurer l'effort gratuit et organisé. Autrement dit, le pouvoir
politique n'a pas réussi, 58 ans après l'indépendance, à installer une «culture
sportive» innovante et émancipatrice au centre de la culture scolaire et
universitaire. En effet, dans tous les pays, l'école est le lieu
privilégié pour dispenser l'éducation sportive et initier la pratique sportive
associative, c'est-à-dire pour promouvoir l'accès à une culture sportive
commune. Voiture, c'est par l'intermédiaire de l'école que la culture
sportive s'infiltre dans le corps social et peut relier les citoyens par des
valeurs communes. L'école reste l’endroit idéal d’expérimentation et
d’innovation dans l’adoption d’une culture sportive, et dans son appropriation
par les élèves. La pratique sportive scolaire apprend à l'enfant à se
construire physiquement et moralement; elle lui permet d'acquérir un
certain nombre de valeurs tournées vers l'effort, le respect de l'autre et la
soumission à la règle. Ce sont des valeurs qui sont mises en exergue par
les grandes institutions internationales, que ce soit l'Organisation des
Nations Unies, l'Union européenne ou encore le Conseil de l'Europe, qui
défendent, chacune dans sa sphère d'influence, les bienfaits du sport dans
l'éducation du citoyen. Ou, étonnamment, dans le système éducatif
algérien, les valeurs des «jeux sportifs» ne sont pas valorisées. Comme si
l'école algérienne ne savait pas encore enseigner l'éducation par le
sport. Comme si elle avait des difficultés à structurer un espace de
pratique pour les «jeux sportifs», afin de mettre le «corps» en «mouvement» et
le faire vivre sous toutes ses formes. Comme si elle considérait les «jeux
sportifs» comme une forme de culture étrangère, voire un idéal d'éducation qui
viendrait pervertir le «corps» et l '«âme» de l'élève. Pourtant, plusieurs
auteurs de renom dans le domaine des théories, des méthodes et des techniques
d'enseignement du «jeu» en général (Pestalozzi, Basedow, Guts Muths, Locke,
Freinet, Decroly, Buytendijk, Spencer, etc.) ont cessé d'évoquer, depuis des
siècles, la place et la fonction que peuvent remplir les «jeux organisés»
dans l'apprentissage concret du respect des règles et de la discipline,
autrement dit dans la conquête et la maîtrise de soi. Pour le psychologue
et pédagogue suisse J. Piaget, observateur attentif de la société enfantine,
les «jeux organisés» pratiqués selon des règles rationnelles ont l’équipement
de minimiser les frictions à l’intérieur du groupe en assignant des rôles
définis et des règles de comportement précis. Ils contribuent,
puissamment, à la constitution de comportements et d'attitudes réfléchis
orientés vers le champ social tout entier. Car dans les «jeux organisés»,
selon le sociologue et philosophe américain GH Mead, la règle de comportement
est d'abord une règle pratique et pratiquée qui, en étant généralisée, optimise
la dynamique sociale; il s'agit d'une réalité fonctionnelle acquise
individuellement par une opération cognitive, c'est une sorte de sens pratique
qui tend vers l'universalité. Pour le philosophe allemand Karl Groos, les
«jeux organisés remplissent une fonction utilitaire chez les jeunes sujets en
exerçant leurs capacités que l’hérédité livre incomplète:« Le jeu est un
exercice qui perfectionne les compétences nécessaires pour la vie adulte.
»
Les anthropologues JM Roberts et B.Sutton-Smith suggèrent que la plupart des
jeux sont des imitations, des activités essentielles d'une société au sein
desquels l'enfant, en manque de représentation sociale, peut trouver l'occasion
d'enrichir ou de modifier sa personnalité. Dans son ouvrage sur
l'éducation esthétique, le philosophe et poète allemand Friedrich Von Schiller
développe l'idée selon laquelle «les sentiments esthétiques dériveraient de
l'impulsion du jeu». Lui emboîtant le pas, l'historien hollandais Huizinga
considère que «le jeu est le premier foyer d'inspiration culturelle et
civilisatrice». Il serait à l'origine de la plupart des actes de
l'individu, de l'échange, des règles de la vie en société et de la
structuration des institutions. Pour cet auteur,
Enfin, dans une étude qui conserve une actualité indéniable et qui porte sur
les «jeux sportifs» pratiqués à l'école par des enfants âgés de 8 à 12 ans, le
psychologue américain Brian Sutton-Smith a détecté et mis en relief le
«comportement compétitif »structuré de l'enfant, c'est-à-dire le besoin
d'affirmation de soi par voie compétitive.
En dégageant trois types de styles compétitifs: les aventureux, les vigoureux
et les stratèges, B. Sutton-Smith a vu que la réussite était due dans la classe
au «style du stratège» et dans la cour de récréation au «style vigoureux». Cette
rapide énumération, de quelques modèles explicatifs du «jeu» de type
biologique, sociologique, psychologique, anthropologique, pédagogique,
esthétique, etc., fait clairement ressortir que les «jeux organisés»,
c'est-à-dire les «jeux sportifs »Constituant un terrain éducatif utile pour
acquérir ultérieurement des règles, des normes, des valeurs et des compétences
valorisées au sein de chaque société. Considérés comme un moyen
incomparable pour animer la vie scolaire et universitaire, créer la joie
sociale, développer l'esprit d'initiative et préparer au «combat pour
l'existence», les «jeux sportifs» sont totalement ignorés par notre
système éducatif. Certains «jeux sportifs» à forte sociabilité corporelle
(football, basket-ball, handball, volley-ball, etc.), prévus depuis fort
longtemps comme des produits élémentaires de la culture sportive populaire, ne
sont plus enseignés à l'école et pratiqués à l'université. Ou, c'est dans
l'univers du monde scolaire, des grandes écoles et des universités que s'est
constitué le berceau historique des sports populaires dans l'Angleterre
victorienne, comme modèle d'éducation pour encadrer les jeunes, canaliser leurs
énergies et moraliser leurs conduites. Par l'adhésion qu'ils suscitaient à
cette époque, les «jeux sportifs» populaires ont trouvé une place inédite et
spécifique dans l'arsenal des instruments pédagogiques susceptibles d'améliorer
les comportements des jeunes. Certains «jeux sportifs» à forte sociabilité
corporelle (football, basket-ball, handball, volley-ball, etc.), prévus depuis
fort longtemps comme des produits élémentaires de la culture sportive
populaire, ne sont plus enseignés à l'école et pratiqués à
l'université. Ou, c'est dans l'univers du monde scolaire, des grandes
écoles et des universités que s'est constitué le berceau historique des sports
populaires dans l'Angleterre victorienne, comme modèle d'éducation pour
encadrer les jeunes, canaliser leurs énergies et moraliser leurs
conduites. Par l'adhésion qu'ils suscitaient à cette époque, les «jeux
sportifs» populaires ont trouvé une place inédite et spécifique dans l'arsenal
des instruments pédagogiques susceptibles d'améliorer les comportements des
jeunes. Certains «jeux sportifs» à forte sociabilité corporelle (football,
basket-ball, handball, volley-ball, etc.), prévus depuis fort longtemps comme
des produits élémentaires de la culture sportive populaire, ne sont plus
enseignés à l'école et pratiqués à l'université. Ou, c'est dans l'univers
du monde scolaire, des grandes écoles et des universités que s'est constitué le
berceau historique des sports populaires dans l'Angleterre victorienne, comme
modèle d'éducation pour encadrer les jeunes, canaliser leurs énergies et
moraliser leurs conduites. Par l'adhésion qu'ils suscitaient à cette époque,
les «jeux sportifs» populaires ont trouvé une place inédite et spécifique dans
l'arsenal des instruments pédagogiques susceptibles d'améliorer les
comportements des jeunes. handball, volley-ball, etc.), devrait depuis
fort longtemps comme des produits élémentaires de la culture sportive
populaire, ne sont plus enseignés à l'école et pratiqués à
l'université. Ou, c'est dans l'univers du monde scolaire, des grandes
écoles et des universités que s'est constitué le berceau historique des sports
populaires dans l'Angleterre victorienne, comme modèle d'éducation pour
encadrer les jeunes, canaliser leurs énergies et moraliser leurs
conduites. Par l'adhésion qu'ils suscitaient à cette époque, les «jeux
sportifs» populaires ont trouvé une place inédite et spécifique dans l'arsenal
des instruments pédagogiques susceptibles d'améliorer les comportements des
jeunes. handball, volley-ball, etc.), devrait depuis fort longtemps comme
des produits élémentaires de la culture sportive populaire, ne sont plus
enseignés à l'école et pratiqués à l'université. Ou, c'est dans l'univers
du monde scolaire, des grandes écoles et des universités que s'est constitué le
berceau historique des sports populaires dans l'Angleterre victorienne, comme
modèle d'éducation pour encadrer les jeunes, canaliser leurs énergies et
moraliser leurs conduites. Par l'adhésion qu'ils suscitaient à cette
époque, les «jeux sportifs» populaires ont trouvé une place inédite et
spécifique dans l'arsenal des instruments pédagogiques susceptibles d'améliorer
les comportements des jeunes. ne sont plus enseignés à l'école et
pratiqués à l'université. Ou, c'est dans l'univers du monde scolaire, des
grandes écoles et des universités que s'est constitué le berceau historique des
sports populaires dans l'Angleterre victorienne, comme modèle d'éducation pour
encadrer les jeunes, canaliser leurs énergies et moraliser leurs
conduites. Par l'adhésion qu'ils suscitaient à cette époque, les «jeux
sportifs» populaires ont trouvé une place inédite et spécifique dans l'arsenal
des instruments pédagogiques susceptibles d'améliorer les comportements des
jeunes. ne sont plus enseignés à l'école et pratiqués à
l'université. Ou, c'est dans l'univers du monde scolaire, des grandes
écoles et des universités que s'est constitué le berceau historique des sports
populaires dans l'Angleterre victorienne, comme modèle d'éducation pour
encadrer les jeunes, canaliser leurs énergies et moraliser leurs
conduites. Par l'adhésion qu'ils suscitaient à cette époque, les «jeux
sportifs» populaires ont trouvé une place inédite et spécifique dans l'arsenal
des instruments pédagogiques susceptibles d'améliorer les comportements des
jeunes. canaliser leurs énergies et moraliser leurs conduites. Par
l'adhésion qu'ils suscitaient à cette époque, les «jeux sportifs» populaires
ont trouvé une place inédite et spécifique dans l'arsenal des instruments
pédagogiques susceptibles d'améliorer les comportements des
jeunes. canaliser leurs énergies et moraliser leurs conduites. Par
l'adhésion qu'ils suscitaient à cette époque, les «jeux sportifs» populaires
ont trouvé une place inédite et spécifique dans l'arsenal des instruments
pédagogiques susceptibles d'améliorer les comportements des jeunes.
À cette époque, le lieu de l'éducation sportive se révèle être le plus souvent
l'association sportive scolaire et universitaire, qui assure le développement
et la pérennité du système sportif. Les valeurs de dépassement de soi,
d'ouverture à autrui, de tolérance et de respect définissent à cette époque
l'identité même de l'association sportive scolaire et
universitaire. Toutes ces valeurs idéalisées sont reprises au début du XXe
siècle par de nombreux éducateurs et pédagogues, à commencer par le baron
Pierre de Coubertin. C'est de la sorte que le sport moderne s'est imposé à
la fois comme un indicateur sociologique pertinent pour définir un certain type
de société et comme un outil éducatif, social et culturel censé jouer un rôle
dans le processus de civilisation. Il se trouve que dans cette
«philosophie» du sport où le Mens sana in corpore sano (un esprit sain dans un
corps sain) cède la place au Citius, Altius, Fortius (plus vite, plus haut,
plus fort), le «modèle culturel sportif »algérien ne peut être considéré comme
un outil éducatif, social et culturel qui participe au processus de
modernisation de la société algérienne. Car, au miroir de ce qui est
observable dans le sport moderne, c'est un «modèle culturel sportif» totalement
déconnecté de son environnement socioculturel, qui n'éduque pas et ne développe
aucune forme de haute technicité sportive. Il ne fait que produire de la
pauvreté sportive et du désordre social. le «modèle culturel sportif»
algérien ne peut être considéré comme un outil éducatif, social et culturel qui
participe au processus de modernisation de la société algérienne. Car, au
miroir de ce qui est observable dans le sport moderne, c'est un «modèle
culturel sportif» totalement déconnecté de son environnement socioculturel, qui
n'éduque pas et ne développe aucune forme de haute technicité sportive. Il
ne fait que produire de la pauvreté sportive et du désordre social. le
«modèle culturel sportif» algérien ne peut être considéré comme un outil
éducatif, social et culturel qui participe au processus de modernisation de la
société algérienne. Car, au miroir de ce qui est observable dans le sport
moderne, c'est un «modèle culturel sportif» totalement déconnecté de son
environnement socioculturel, qui n'éduque pas et ne développe aucune forme de
haute technicité sportive. Il ne fait que produire de la pauvreté sportive
et du désordre social.