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Roman Corinne Chevallier - "Prisonnier de Barberousse"

Date de création: 04-07-2020 17:57
Dernière mise à jour: 04-07-2020 17:57
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HISTOIRE- BIBLIOTHEQUE D’ALMANACH- ROMAN CORINNE CHEVALLIER- «  PRISONNIER DE BARBEROUSSE »

Prisonnier de Barberousse. Roman de Corinne Chevallier, Casbah Editions (collection junior), Alger 2015, 175 pages, 500 dinars

Une histoire toute simple, comme il y en a sous toutes les latitudes : un jeune aristo’ , Laurent, orphelin qui se fait dépouiller par des « tontons » indignes ...sa vie d’enfant presque abandonné , vivant près de la nature et auprès des paysans (nous sommes en France, durant les années 1500 )........et puis l’aventure. A cette époque, il n’ y avait que la mer qui attirait.  C’est la découverte , par hasard, de la vie de marin  puis,  la rencontre forcée (enlevé par des corsaires Algériens, de la taïfa de Kheir-ed-Din Barberousse ) d’Alger et de la vie méditerranéenne. C’est surtout la rencontre avec le courage et la générosité des corsaires dits « barbaresques », alors dirigés par Barberousse.  Et, leur respect du droit ! Ils aideront le jeune « héros » à punir ceux qui lui ont fait du mal et à récupérer son héritage détourné.

Ne pas oublier qu’en 1543, Barberousse alla au secours du roi de France pour l’aider à reprendre Nice occupée par Charles Quint. Et sa flotte resta six mois sur les côtes de Provence .Vrai ou faux ? Mais , nous dit l’auteure, durant ces six mois, les femmes de Toulon n’eurent d’yeux que un corsaire blond qui faisait battre tous les cœurs......On l’appelait Laurent-Raïs !

L’Auteure :Née à Alger où elle y a toujours vécu, c’est une passionnée par l’histoire de sa ville natale. Elle a déjà publié un grand nombre d’ouvrages...des romans historiques et des livres pour enfants et pour jeunes.

Avis :  Léger, passionnant, attirant....et image positive de la « course » algérienne .

Citation : « Il ne faut pas confondre les corsaires avec les pirates. Alors que ces derniers étaient des aventuriers qui sillonnaient la mer pour leur profit, les corsaires , eux ,naviguaient pour le compte de leur gouvernement »  (p 170)