TOURISME –INFOS’ DIVERSES – INFOS’ DIVERSES 2019
-Bilan dressé par la PAF (janvier 2019 ): Sur les
4 postes frontaliers, quelque 2,5 millions de voyageurs recensés (nationaux et
étrangers) enregistrés en 2018.....53 976 vacanciers recensés durant les
dernières vacances scolaires (fin décembre) , soit une moyenne de 1344
voyageurs/jour .Le poste de Bouchebka est le plus fréquenté avec 925 380 voyageurs
et 203 650 véhicules, suivi de ceux d’El Meridj,
Ras Laâyoun et Betita.
- Touristes algériens en Tunisie en 2018 : 2,5
millions
-2018 : Près de 17 millions de voyageurs dont 3,9
millions d’étrangers (dont 953 000 dans un cadre exclusivement touristique
aianis que 4,1 million de ressortisants
algériens)
- Recettes d’exportation générées par le tourisme dans
le monde en 2019 : 1 700 mds usd , soit + 4% supérieure à la croissance de l’économie
mondiale en 2018
-Le nombre d’Algériens ayant visité la Turquie en 2018 a atteint
les 300.000 personnes, a affirmé mardi 1er octobre à Laghouat le
conseiller à l’ambassade turque à Alger, Mustapha Kara.
Le nombre de touristes algériens a connu au cours des dernières
années un accroissement notable qui reflète l’excellence des relations liant
les deux pays, sachant que 215.000 Algériens avaient visité la Turquie en 2016,
a indiqué le diplomate lors de l’ouverture du séminaire international sur
»La politique ottomane entre l’espace maritime et saharien au Maghreb
1518-1918 », organisé à l’Université Amar Thelidji
L’ALGERIE
occupe la 118e position à l’échelle mondiale, et la 19e au niveau continental,
sur les 136 pays étudiés, dans le classement mondial de la compétitivité
touristique publié, jeudi, 6 avril, par le Forum économique mondial (WEF). Elle
se fait ainsi largement devancer par l’Afrique du Sud (53e à l’échelle
mondiale et 1re à l’échelle africaine), le Maroc (65e au niveau mondial et 3e à
l’échelle du continent) et la Tunisie (87e au niveau mondiale et 9e en
Afrique). ................................................................À
l’échelle européenne, l’Espagne rafle la première place, toujours suivie de la
France et de l’Allemagne. De manière plus globale, l’Asie remonte nettement
dans le palmarès. Le Japon s’adjuge ainsi la 4e position (+5 en deux ans),
devant le Royaume-Uni et les États-Unis. L’Italie occupe le 8e rang. La Chine
se hisse à la 15e position (+2) et l’Inde à la 40e (+12).
..................................................................Le classement
mondial de la compétitivité touristique se base sur 16 critères dont la
sécurité, la santé et l’hygiène, l’ouverture sur l’étranger, la valorisation
des ressources naturelles, l'environnement durable, les ressources culturelles,
le marketing touristique, le niveau des prix, les ressources humaines
qualifiées, les infrastructures routières et aéroportuaires et les services
touristiques............................................ En Algérie, les choses
s’améliorent en matière touristique, mais il reste un long chemin à parcourir
pour satisfaire à ces critères. Dans ce secteur, l’État n’arrive toujours pas à
passer la main au privé. Il s’agit de l’un des domaines où le décalage entre
les discours et la réalité est le plus flagrant. Et cela ne facilite pas les
choses pour les opérateurs privés qui affichent cette ambition de vouloir
investir dans ce secteur. Le président-directeur général du groupe Gimmo (Groupe d’investisseur du Maghreb et du
Moyen-Orient), Djilali Mehri, a évoqué ces
difficultés, jeudi dernier, en marge de l’ouverture d’hôtels Ibis et Novotel
dans la wilaya de Sétif, dans le cadre d’une joint-venture avec le groupe
international Accorhotels. “L’État, a-t-il expliqué,
impose une concurrence déloyale aux opérateurs privés dans le domaine de
l’hôtellerie et doit laisser ce secteur exclusivement au privé.” Mehri a déclaré ne pas comprendre comment l’État algérien
développe un discours en faveur de l’investissement privé dans le secteur du
tourisme tout en ouvrant des “palaces” dans les grandes villes du pays.
Des projets, poursuit-il, qui mettent les opérateurs privés dans une situation
difficile, les établissements publics bénéficiant, selon lui, de financements
étatiques. “Il est clair que l’investissement dans le domaine de
l’hôtellerie nécessite de grands financements. L’État devrait plutôt se charger
de l’ouverture d’écoles ou de la réalisation des routes et laisser l’hôtellerie
au secteur privé. Dans le sud du pays, par exemple, il y a 19 hôtels publics
qui ont été rénovés deux fois en 30 ans. Pourquoi l’État fait-il ces
investissements colossaux ?” s’est-il interrogé.