ENVIRONNEMENT- INFOS’ DIVERSES-
INFOS’ DIVERSES 2018
-Jardin
d’Essai d’El Hamma (32 ha, fondé en 1832) : 1,8
million de visiteurs en 2017
-6,6
millions de sacs en plastique sont utilisés annuellement en Algérie. 200
sachets patrcitoyen et par an
-Déchets
collectés à l’échelle nationale en 2017 : plus de 22 millions de tonnes
dont 13 d’ordures ménagères. 11 en 2016
-Envenimation
scorpionnique 2016 pour la wilayta
de Ghardaia : 2348 cas de victimes dont deux
décès enregistrés (à El Menea)
-5,5
milliards de sacs en plastique utilisés par an
-Catastrophes
naturelles en Algérie : 25 milliards de dinars de pertes en 2018
-2018 : 1420
points noirs recensés dans les oueds et places du territoire national
(septembre 2018, opération de
recensement non clôturée)
- La terre a perdu 60% de sa faune sauvage entre 1970
et 2014, selon une étude publiée, ce mardi 30 octobre, par le Fonds mondial
pour la nature (WWF) en collaboration avec la Société zoologique de Londres.
Intitulée « Planète vivante », l’étude qui en est
à sa 12ème édition souligne que la perte des animaux sauvages
varie selon les régions. Elle est particulièrement alarmante dans la zone
Caraïbes/Amérique du Sud (-89 % en 44 ans). La vaste zone Europe, Afrique
du Nord et Moyen-Orient est à -31%, tandis que la région Amérique du Nord
et Groenland s'en sort un peu mieux, avec une faune à -23%.
« Préserver la nature, ce n'est pas juste protéger les
tigres, pandas, baleines que nous chérissons. C'est bien plus vaste : il
ne peut y avoir de futur sain et prospère pour les hommes sur une planète au
climat déstabilisé, aux océans épuisés, au sol dégradé et aux forêts vidées,
une planète dépouillée de sa biodiversité », a déclaré le directeur du WWF, Marco Lambertini.
L’étude, qui se base sur le suivi de 16 700
populations réparties sur 4 000 espèces, précise que la forte baisse des
animaux sauvages dans le monde s’explique essentiellement par « la
perte des habitats, l'agriculture intensive, l'extraction minière et
l'urbanisation qui poussent à la déforestation, à l'épuisement ou à
l'artificialisation des sols ».
D’autres facteurs interviennent aussi dans ce déclin comme
la surpêche, le braconnage, la pollution, l’introduction des espèces invasives,
la propagation des maladies et le changement climatique.
-Selon le ministre des Ressources en eau (Saida), 60 % des
crues des oueds sont provoquées par l’amoncellement des déchets et les
constructions illicites sur les bords de cours d’eau