En 2004, on note, parmi les gros investisseurs français, les entreprises principales suivantes :
Le groupe de boissons Castel (45% du marché de la bière)
La compagnie Gaz de France
La société Michelin (unité de production et plus de 20% du marché)
Le groupe agroalimentaire Danone (51% des laiteries Djurdjura….35% de parts de marché)
La société Schneider-Electric (unité de production)
Le groupe pharmaceutique Sanofi-Synthelabo (unité de production)
Le groupe Aventis (partenaire de Saidal)
L'armateur et transporteur maritime Cma-Cgm (5 agences)
La Banque Bnp Paribas (plusieurs agences)
La Société Générale (Banque)
Natixis (plusieurs agences)
A mai 2005, l'Algérie se situe au 40ème rang du flux d'investissements français (34 millions d'euros environ à mai 2005) qui font des entreprises françaises les premiers investisseurs européens. Il y a environ 200 entreprises du type Pme qui activent sur le marché algérien travaillant dans l'ombre des grands groupes industriels.
1,2 milliard d'euros ont été autorisés en matière de transfert
Notes : - En 2006 (Octobre), plus de 200 filiales françaises opèrent en Algérie. Elles emploient plus de 8 000 personnes en emploi direct et environ 40 000 en indirect. Le montant des investissements français en 2005 est estimé à 140 millions d’euros en augmentation de 14% par rapport à 2004.
- Une étude réalisée par la mission économique de l’ambassade de France , qui a concerné les entreprises françaises les plus importantes implantées en Algérie (et diffusé en novembre 2006), indique que sur un total d’investisements étrangers entrant en Algérie, la France tient une place non négligeable , avec près de 14% du total des flux pour 2005. Le stock d’investissements français atteint 1,4 milliard d’euros. Les perspectives pour les trois prochaines années font état de 800 millions d’euros d’investisements supplémentaires et de 1,5 milliard d’euros dans le secteur des hydrocarbures. Les entreprises françaises emploient, en 2005, plus de 8000 personnes et, en 2009 , 3000 nouveaux emplois sont programmés.
- Mercredi 24 octobre 2007, le conseiller économique de la mission économique de l’Ambassade de France indiquait (d’Oran) que le flux des investissements français en Algérie a augmenté, par rapport à 2005, de 111% en 2006. « Ceci place donc la France comme premier partenaire économique étranger de l’Algérie hors-hydrocarbures ».
- Liste des Ide français en 2007 : Bnp Paribas (filiale Algérie), Bnp Paribas/Bnl (banque italienne), Natixis (banque), Société générale, Société générale /Ald Automotive (location longue durée véhicules et gestion des parcs), Total, Saint-Gobain (Carrières de gypse et fabrique de plâtre), Francis Lefèbvre (Avocats), Veolia-Edf/Dalkia (acquisition d’entreprises locales) , Quick (restauration), Star Invest (hôtellerie), Gofast/Aigle Azur (Transports maritimes), Speedy (maintenance automobile) , Viveo (Informatique), PhoneControl (télémarketing), Air Liquide (gaz industriels et médicaux), Eurocar (location de véhicules), Sce (ingénierie), Extenzo (décoration intérieure), Boccard (chaudronnerie), Trévise-Mli (ingénierie et boutonnerie), Lpr (recyclage du plastique), Bct Demolition-Aldemo (démolition ) , Behm-Titan-Kaiser (carrosserie industrielle).
-En 2007, pour ce qui concerne les investissements hors hydrocarbures, la France a investi 233 millions de dollars, et malgré la concurrence de pays comme la Chine et la Turquie, la part détenue par la France est de 17% en 2007, devançant l’Italie (8,6%), la Chine (8,3%) et les USA (8,1%). Plus de 250 opérateurs français sont implantés « durablement » en Algérie et emploient près de 22 000 personnes pour des IDE globaux de 1,75 milliar d’euros à mi-2008 (selon le président de la CFCIA, Michel de Cafarelli ,7 juin 2008).
- En 2008, les exportations francaises vers l'Algérie ont atteint 5,2 milliards d'euros, soit une hausse de 30% par rapport à 2007. Et, 350 entreprises française sont établies en Algérie - Selon l'ambassadeur de France en Algérie (Boumerdès , 4 février 2009), il y a , en Algérie, implantées, 330 entreprises activant dans divers secteurs d'activités qui "détiennent une part de 17% du volume des importations de l'Algérie à partir de la France".