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Défense (et Sécurité nationale)

Journée du Samedi 29/09/2013

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 -  Depuis le début de l’année, 190 terroristes ont été tués dans des opérations menées par les forces de sécurité, a révélé Merouane Azzi, président de la cellule d'assistance judiciaire pour l'application de la Charte pour la paix et la réconciliation nationale, invité au  Forum  du  quotidien El Moudjahid.

« La guerre contre le terrorisme n’a jamais cessé,  elle a juste  pris  une nouvelle forme »  souligne M. Azzi. Désormais, selon lui, elle se base  sur  « l’infiltration des groupes terroristes et  les renseignements ». Ces deux méthodes « ont  permis d’éliminer des chefs terroristes »,  précise Azzi.

Mais dans le même temps, la politique de réconciliation nationale se poursuit. Selon M. Azzi, 15 000 terroristes ont bénéficié de l’extinction des poursuites judiciaires depuis  1999 dans le cadre des dispositifs de grâce  prévus par  la concorde civile  et la charte  pour la paix et la réconciliation nationale.

Pour Merouane Azzi, le dossier des disparus est  quasiment clos. L’Etat, qui  a répertorié  7 144 disparus,  a indemnisé  leurs familles, a-t-il affirmé.  Selon lui, 100  familles  ont refusé  de percevoir l’indemnité arrêtée par les textes d’application de la Charte.

M. Azzi accuse,  sans les nommer, des associations de vouloir  faire  un fonds de commerce du dossier des disparus. « Des familles des disparus  ont  été contactées  par des associations  afin de faire des témoignages  à l’étranger  impliquant  les forces de l’armée dans les cas de disparitions survenues durant la décennie noire »,  affirme-t-il.

Ces mêmes associations ont même tenté « de marchander  ces témoignages avec  un seul  objectif : régler leurs comptes avec le gouvernement algérien », ajoute-t-il