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Culture (et Religion)
Journée du Mercredi 31/10/2024 |
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- « L’Algérie juive – L’autre moi que je connais si peu » est le récent livre de l’écrivaine algérienne Hedia Bensalhi, qui fait polémique depuis quelques jours. Mettant en lumière une mémoire oubliée en explorant en profondeur la présence juive en Algérie, ce livre a été interdit des ventes dédicaces et des salons de livres.
Une rencontre littéraire autour du livre « L’Algérie juive« était prévue pour le 24 octobre dernier. Cependant, l’administration locale et centrale a ordonné l’annulation de l’événement sans exposer les raisons de cette interdiction.
Une décision qui, selon les spéculations, serait liée aux critiques le jugeant inopportun dans le contexte actuel concernant l’agression et le génocide à Gaza, commis par l’État hébreu. En effet, certains auraient qualifié ce livre de » normalisation culturelle avec les sionistes« .
De plus, Bensalhi a été critiquée pour sa collaboration avec Valérie Zenatti. L’auteure de la préface du livre « L’Algérie juive« , en raison de son lien avec Israël. Bien qu’elle soit née en France, cette romancière, traductrice et scénariste connait très bien Israël, pour y avoir vécu plusieurs années.
L’ouvrage « L’Algérie juive » est salué par plusieurs membres de la communauté littéraire algérienne. Pour sa recherche rigoureuse et son analyse fine. Qui plonge les lecteurs dans les recoins souvent ignorés de l’histoire de l’Algérie. En effet, Hedia Bensalhi suit la trajectoire historique de la communauté juive en Algérie. Mettant l’accent sur la marginalisation de la culture juive et amazighe.................................
-Absent depuis cinq années, le Festival culturel national du film amazigh (FCNFA), qui s’est tenu à Tizi Ouzou, et qui a pris fin mercredi 30 , a été une réussite.Prix :
Le Prix de l’Oliver d’or du meilleur long métrage : «Argu» d’Amar Belkacem
Prix de l’Olivier d’or du meilleur court métrage : «Hucdardam» de Samir Cheumer
Prix de l’Olivier d’or du meilleur film documentaire : «Le Chemin vert» d’Osama Rai.
Prix de l’Olivier d’or du meilleur film d’animation : «Atmaten» de Thiziri Sahraoui.
Prix de l’Olivier d’or de la meilleure interprétation féminine : Ahlam Zerouka dans «Hucdardam» de Samir Chemeur.
Prix de l’Olivier d’or pour la meilleure interprétation masculine : Rachid Hadid dans «Le Chant de la sirène» d’Arezki Larbi.
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