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Communication ( et Presse)

Journe du Mardi 28/07/2021

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-L’Autorité de régulation de l’audiovisuel (ARAV) a appelé, mercredi dans un communiqué, les médias à “éviter de se concentrer excessivement sur les nouvelles négatives” liées au coronavirus afin d’atténuer les sentiments de “crainte et de désespoir au sein de la société”. Se félicitant des efforts déployés par les médias audiovisuels dans le cadre des programmes de sensibilisation visant à endiguer la propagation du virus, l’ARAV a invité les responsables des chaînes télévisées à “s’acquitter de leurs missions envers les téléspectateurs, en évitant de se concentrer excessivement sur les nouvelles négatives et les histoires tragiques liées à la contamination au Covid-19”. De telles informations ne peuvent que “semer la crainte, la hantise et le désespoir au sein de la société, et la situation devient encore plus difficile à traiter”, explique l’ARAV. Et d’ajouter “certes, le pays traverse une conjoncture sanitaire exceptionnelle, à l’instar des autres pays du monde, mais ignorer les cas de guérison et les acquis des staffs médicaux dans la lutte contre la pandémie influe négativement voire nuit au moral des citoyens”. Pour ce faire, l’Autorité a jugé indispensable de “respecter les règles professionnelles, faire preuve de pondération dans la couverture, et d’exactitude dans la diffusion des informations ou des images”, notamment lorsque les réseaux sociaux “constituent une source principale d’information”. Les responsables des journaux télévisés (JT) et des programmes d’information sont ainsi appelés à “éviter la dramatisation et l’effroi dans les discours”, souligne l’ARAV. Parallèlement à cette attitude, l’Autorité insiste sur “l’impératif d’adopter les principes du journalisme de solutions qui propose, de manière scientifique, des réponses aux problèmes des téléspectateurs et les aide à se protéger et juguler l’expansion du virus”. Elle rappelle, enfin, que la pandémie touche le monde entier et que “les défis qu’elle nous dicte nous mettent, en tant qu’acteur dans le secteur de l’audiovisuel, face à une responsabilité historique, compte tenu de l’impact fort et direct de l’image et du son sur la conscience du citoyen”. Dans le même sillage, l’Autorité a invité les concernés à “intensifier les efforts de sensibilisation et répandre l’esprit de solidarité nationale pour vaincre le virus et préserver la sécurité sanitaire du pays”, a conclu le communiqué............................................................................................ - Ce qui était une simple rumeur depuis hier a été confirmée par le journaliste Khaled Drareni dans la soirée sur son compte twitter : “Le quotidien Liberté aurait été vendu par son propriétaire Issad Rebrab à son ancien directeur Abrous Outoudert.“, avait-il écrit le propriétaire du site Casbah Tribune. En effet, selon une source bien informée, une Assemblée Générale a été organisée hier entre le propriétaire majoritaire Rebrab et le nouveau propriétaire Abrous Outoudert. L’autre actionnaire du quotidien, le fondateur du journal Ahmed Fatani qui a été invité à cette réunion, a décliné l’invitation par peur du Covid et le nouveau propriétaire Abrous Outoudert aurait bénéficié, selon certaines sources de 60% de la Sarl SAEC, société éditrice de Liberté, prenant ainsi la majorité des actions et le contrôle du quotidien. Pour le moment aucun communiqué de Liberté n’a été rendu public, mais si l’information est confirmée, c’est la première fois que Abrous Outoudert qui était jusque-là qu’un simple haut cadre et salarié de l’entreprise, devient le principal actionnaire du journal. Une OPA inimaginable jusque-là, puisque le journal qui va fêter ses 30 ans en 2022, avait été jalousement protégé par son propriétaire Issad Rebrab, en dépit des nombreuses tentatives du pouvoir de le récupérer. Rebrab avait accepté de changer les directeurs pour redresser sa ligne éditoriale en fonction de ses affaires, mais n’avait jamais accepté de le vendre. Mieux encore, le pouvoir avait fait capoter la tentative de racheter le groupe El Khabar par Issad Rebrab. La vente de Liberté à Abrous Outoudert, est une opération techniquement impossible. La valeur commerciale du quotidien est estimé à plus 30 milliards, une somme que ne détient pas le nouveau propriétaire, qui avait échoué à redresser le groupe de presse de Haddad, dont il avait réussi à prendre le contrôle. En attendant, plus d’éclaircissements de la part de la direction du journal de Liberté, l’avenir du quotidien est plus que jamais incertain, d’autant que le post de Khaled Drareni jette un pavé dans la marre.