Nom d'utilisateur:
Mot de passe:

Se souvenir de moi

S'inscrire
Recherche:

Communication ( et Presse)

Journée du Samedi 13/09/2020

<< novembre 2024 >>
sam dim lun mar mer jeu ven
26 27 28 29 30 31 1
2 3 4 5 6 7 8
9 10 11 12 13 14 15
16 17 18 19 20 21 22
23 24 25 26 27 28 29
30 1 2 3 4 5 6



-« Al Qaïda » a de nouveau menacé l’hebdomadaire satirique français Charlie Hebdo, qui a réédité des caricatures du prophète Mohammed QSSL à l’occasion du procès de l’attentat de janvier 2015 contre le journal, selon le groupe américain Site, spécialisé dans la surveillance des organisations djihadistes. Le raid meurtrier contre Charlie Hebdo «n’était pas un incident ponctuel», avertit l’organisation djihadiste dans sa revue publiée ce vendredi. Pour marquer l’ouverture le 2 septembre du procès à Paris des attentats djihadistes contre Charlie Hebdo, des policiers et une supérette juive ayant fait 17 morts dans la capitale française en janvier 2015, le journal satirique a remis en une les caricatures du prophète, qui avaient fait de l’hebdomadaire une cible des djihadistes. Le président Macron a «donné son feu vert» à cette réédition, accuse encore Al Qaïda. «Si votre liberté d’expression ne respecte aucune limite, préparez-vous à vous confronter à la liberté de nos actions», menace l’organisation djihadiste dans sa publication, parue ce 11 septembre, date anniversaire des attentats de septembre 2001 contre les États-Unis fomentés par le groupe djihadiste. Toujours selon SITE, un média affilié à l’organisation djihadiste État islamique a également menacé Charlie Hebdo de représailles début septembre, après la republication de ses caricatures de Mahomet. Au procès qui vient de s’ouvrir, quatorze accusés, dont trois jugés par défaut, sont soupçonnés à des degrés divers de soutien logistique aux frères Saïd et Chérif Kouachi, et à Amédy Coulibaly, auteurs des tueries qui avaient fait 17 morts, entre le 7 et le 9 janvier 2015,........................................................ --Les préparatifs du secteur de la Communication, consacrés au référendum populaire sur l’amendement de la Constitution, prévu le premier novembre prochain, ont fait l’objet d’une réunion de travail présidée, dimanche 13 à Alger, par le ministre de la Communication, porte-parole du gouvernement, Ammar Belhimer. Cette rencontre hebdomadaire, qui fait suite à d’autres tenues précédemment depuis l’annonce de la tenue du référendum, a réuni le président de l’Autorité de régulation de l’audiovisuel (ARAV), M. Mohamed Louber, le secrétaire général du ministère de la Communication, M. Ahmed Bouchdjira, et les premiers responsables de l’APS, de l’ANEP, de l’EPTV, de l’ENRS, de TDA, du CIP et du CNDPI, ainsi que des cadres du ministère. Dans ses orientations, le ministre a insisté sur l’importance accordée à ce rendez-vous électoral, en particulier dans sa phase d’explication et de vulgarisation des articles de la nouvelle Constitution qui consacre de larges pans aux droits fondamentaux et aux libertés publiques, au renforcement de la séparation et de l'équilibre des pouvoirs, à l’indépendance de la justice et de la Cour constitutionnelle, à la transparence, la prévention et la lutte contre la corruption et à l’indépendance de l'autorité nationale des élections. Tous ces axes doivent être développés et expliqués aux citoyens, à travers une large campagne médiatique à l’aide de tous les supports, notamment la vidéo, sans omettre l’exploitation de la Toile, à travers les sites électroniques et les réseaux sociaux, en mettant à forte contribution les experts et universitaires dans le domaine du droit constitutionnel, a ajouté le ministre.