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Vie politique
Journée du Samedi 13/06/2021 |
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-. La surenchère et la guerre psychologique a déja commencé, à propos des des législatives de samedi, alors que les résultats définitifs, en dehors du taux de participation(30,20%), risquent de tarder.De tader longtemps.
Abderazak Makri,donne déja le ton en prétendant dimanche que la majorité des listes de son parti, le MSP, sont arrivées en tête dans les wilayas et dans l'émigration en se basant sur les chiffres de ses observateurs dans les bureaux de vote.
" Dans la majorité des wilayas et dans l'émigration nos listes arrivent largement en tête", écrit-il dans un communiqué rendu public dimanche en fin d'après-midi sur sa page Facebook.
Le chef islamiste pointe néanmoins de son communiqué des "tentatives de changement des résultats, selon les vieux usages frauduleux du système" et met en garde contre "les risques dangereux de ces velléités de changement des résultats, tant sur l'opération électorale elle-même que sur l'avenir du pays"' .......................................................................................
--C'est un rappel à l'ordre qui ne fait pas dans la convenance oratoire que le président de l'ANIE a adressé au président Abderazak Makri, président du MSP, qui a revendiqué dimanche la majorité aux législatives tout en dénonçant des tentatives de bidouillage des résultats.
Pour Mohamed Charfi, "les déclarations (en question ndlr) sont "une remise en cause de la probité et de l'intégrité des membres de l'ANIE", les jugeant "fausses et infondées dans le fond et dans la forme".
Outre de "porter atteinte à l'image de l'ANIE", les déclarations du leader du MSP sont prises par le président de l'ANIE comme "une expression franche emprunte de menace", les rejetant "avec fermeté".
Pour rappel, dimanche, et alors que le dépouillement n'était pas totalement achevé, au niveau des représentations locales de l''ANIE, Abderazak Makri a revendiqué dans une publication sur sa page Facebook, la victoire des listes de son parti en Algérie et dans l'émigration, appelant le président Tebboune "à défendre l'expression de la volonté populaire, comme elle s'est exprimée dans les urnes".
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