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Santé

Journée du Dimanche 24/04/2023

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-Aucun nouveau cas de coronavirus (Covid-19) n'a été enregistré et aucun décès n'a été déploré, alors qu'une seule guérison a été recensée ces dernières 24 heures en Algérie, indique lundi le ministère de la Santé dans un communiqué. Le total des cas confirmés s'élève ainsi à 271.673, celui des décès demeure inchangé (6.881), alors que le nombre total des patients guéris passe à 182935 cas, précise la même source. En outre, aucun patient n'est actuellement en soins intensifs, note la même source............................................ -- Intervenant sur les ondes de la Radio nationale Alger Chaîne III, dans l’Émission matinale « L’invité de la rédaction », le docteur Ilyes Akhamouk, chef de service des maladies infectieuses au niveau de l’Établissement public hospitalier de Tamanrasset, dans le sud du pays a indiqué qu’Ils sont cinq mille médecins à sortir chaque année des universités algériennes et c’est par centaines qu’ils quittent le pays en quête de meilleures conditions de travail, a-t-on relevé. Ainsi, l’on estime qu’ils sont actuellement 14 000 médecins algériens à exercer dans les hôpitaux français, dont ceux de Paris et de Marseille. Ces médecins qui sont majoritairement spécialistes, réussissent haut la main les épreuves de vérification de connaissances (EVC), qui leurs ouvrent le droit d’exercer, pendant deux ans sous le statut de praticiens associés, dans les hôpitaux publics français. Rappelons qu’en 2002, le docteur Lyes Merabet, président du Syndicat national des praticiens de santé publique (Snpsp), avait jeté un pavé dans la mare en annonçant : « Près de 1200 médecins algériens de différentes spécialités s’apprêtent à quitter l’Algérie pour la France pour travailler dans ses hôpitaux ». L’on estime que la rémunération des médecins qu’ils soient généralistes, spécialistes ou de corps professoral, demeure en deça des attentes. Elle est largement sous-estimée après une formation universitaire très longue. La multiplication des offres d’emploi à l’étranger et particulièrement l’augmentation à 2700 des postes de médecins ouverts aux étrangers par la France inquiètent et font craindre une nouvelle saignée au sein du personnel médical algérien.