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Relations internationales (et Activités diplomatiques)

Journée du Mardi 03/09/2025

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-Le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, a accueilli, à l'aéroport international d'Alger Houari-Boumediène, Mahamat Idriss Déby, président de la République du Tchad, Mohamed Ould Cheikh ElGhazouani, président de la République islamique mauritanienne, Kaïs Saïed, président de la République tunisienne, et Mohamed Younès ElMenfi, président du Conseil présidentiel libyen. Les visites interviennent dans le cadre de leur participation à la 4e édition de la Foire commerciale intra-africaine (IATF 2025), qui se tiendra à Alger du 4 au 10 septembre sous le slogan "Passerelle vers de nouvelles opportunités". Après avoir écouté les hymnes nationaux des pays et salué les drapeaux nationaux, le président de la République et ses homologue tchadien ont passé en revue des formations de la Garde républicaine qui leur ont rendu les honneurs....................................... -D ans un entretien avec Le Figaro, l’ex-président français Nicolas Sarkozy a abordé à nouveau le dossier algérien, notamment Boualem Sansal, Christophe Gleizes, ainsi que l’octroi de visas aux ressortissants algériens. Selon Nicolas Sarkozy, aujourd’hui, la France donne l’impression de ne plus être capable « de faire respecter le droit international et les droits de l’homme« . Pour tenter de faire pression sur l’Algérie, il appelle Paris à faire preuve de la même fermeté que celle qu’elle subit. Historiquement favorable à un dialogue diplomatique avec l’Algérie, Emmanuel Macron a décidé de changer de cap cet été. Pour Sarkozy, ce n’est pas suffisant. Nicolas Sarkozy regrette que la politique étrangère, qui est normalement du ressort du président, ait été déléguée au Premier ministre français François Bayrou. Pour lui, cette approche, initiée par une lettre demandant plus de fermeté avec l’Algérie, n’a eu aucun résultat. Il souligne que Boualem Sansal et Christophe Gleizes sont toujours en prison. Par ailleurs, l’ancien président français estime qu’il est temps de mettre fin aux accords de 1968, sur la circulation et le séjour des Algériens en France : « Il n’y a aucune raison de maltraiter l’Algérie davantage que les autres pays, mais il n’y a plus aucune raison de l’avantager non plus » , a-t-il déclaré. Nicolas Sarkozy critique le nombre de visas délivrés par la France (250 000 par an) et le refus de l’Algérie de la liste d’expulsion des ressortissants en situation irrégulière. Pour faire pression, il propose d’appliquer une règle, qui doit être conditionnée à la libération de Boualem Sansal et de Christophe Gleizes : la France ne devrait délivrer de nouveaux visas qu’en échange de retour de ressortissants algériens en situation irrégulière. Il cite l’exemple d’un visa pour chaque personne expulsée. De plus, l’ancien président français critique l’idée de solliciter « la bienveillance et l’humanité » du président algérien Abdelmadjid Tebboune. Il exhorte la France à changer de cap et à se montrer « plus intransigeante avec l’Algérie« .