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Relations internationales (et Activités diplomatiques)
Journée du Dimanche 28/10/2024 |
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-Le Président de la République, Abdelmadjid Tebboune, a quitté, lundi, Le Caire à destination du Sultanat d'Oman pour une visite d'Etat dans ce pays frère.
Le Président de la République a été salué à son départ à l'aéroport international du Caire par le président égyptien, Abdel Fattah al-Sissi.
Les deux visites du Président de la République en Egypte et au Sultanat d'Oman s'inscrivent dans le cadre du renforcement des liens de fraternité, de coopération et de concertation.....................................
- Le Président de la République, Abdelmadjid Tebboune, est arrivé ce lundi après-midi à Mascate pour une visite d'Etat au Sultanat d'Oman, pays frère.
Le Président de la République a été accueilli, à son arrivée à l'aéroport international de Mascate par le Sultan d'Oman, Haitham ben Tariq.
La visite du Président de la République au Sultanat d'Oman s'inscrit dans le cadre du renforcement des liens de fraternité, de coopération et de concertation entre les deux pays..............................................
-Le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, a rencontré, dans la soirée, à Mascate, des membres de la communauté algérienne établie au Sultanat d’Oman, et ce, à l’occasion de la visite d’Etat qu’il effectue dans ce pays frère. Cette rencontre s’inscrit dans le cadre de la tradition perpétuée par le président de la République lors de ses visites à l’étranger, d’écouter les préoccupations de la communauté nationale à l’étranger. Le président de la République est arrivé plus tôt dans la journée au Sultanat d’Oman, en provenance de la République arabe .........................................
- Sa Majesté, le Sultan d'Oman Haitham ben Tariq et le président de la République, Abdelmadjid Tebboune ont présidé mardi à Mascate, les entretiens élargis entre les délégations des deux pays.
Les entretiens tenus au palais royal "El Alam", ont porté sur des dossiers de coopération bilatérale entre les deux pays frères et les moyens de la promouvoir, des questions intéressant la nation arabe, la situation au Proche Orient et des dossiers internationaux d'actualité.
-La délégation présidentielle de Macron au Maroc compte 122 invités ! Transportées dans 2 Airbus A330 et un Falcon.
Pas moins de neuf ministres sont du voyage, dont ceux de l’Intérieur Bruno Retailleau, de l’Économie Antoine Armand, des Affaires étrangères Jean-Noël Barrot, des Armées Sébastien Lecornu, de l’Éducation nationale Anne Genetet, de l’Enseignement supérieur Patrick Hetzel, de la Transition écologique Olga Givernet, ou encore de la Culture Rachida Dati, d’origine marocaine.
Les dirigeants de grands groupes français seront aussi présents dans l’avion présidentiel : Catherine MacGregor d’Engie, Henri Poupart-Lafarge, d’Alstom, Ross McInnes, de Safran, Patrick Pouyanné de TotalEnergies, Sabrina Soussan de Suez. Les dirigeants de Veolia - Estelle Brachlianoff - et Thalès Alenia Space - Hervé Derrey - sont également présents.
Les dirigeants d’Airbus, Sanofi, Orange, l’armateur CMA CGM, ainsi que le géant du luxe LVMH, participent également à la visite.
Le monde culturel franco-marocain est aussi à l’honneur, des écrivains Tahar Ben Jelloun et Leïla Slimani à l’humoriste Jamel Debbouze et l’acteur Gérard Darmon. Le chroniqueur Bernard-Henri Lévy, la chanteuse Arielle Dombasle, le réalisateur Éric Toledano, l’animateur et journaliste Ali Baddou, l’ancien ministre de la Culture Jack Lang ou le rappeur L’artiste, sont également de la partie.
Le journaliste Pierre Assouline et l’ex-conseiller spécial de François Mitterrand Jacques Attali, participent à la visite d’État.
Le judoka Teddy Riner, qui a choisi de s’exiler au Maroc, l’ancien rugbyman Abdelatif Benazzi ou encore le boxeur Sofiane Oumiha font également partie de la délégation.
Deux personnalités controversées font partie du voyage : le photographe François-Marie Banier, condamné en 2016 pour abus de faiblesse sur Liliane Bettencourt, et l’ex-député LREM M’jid El Guerrab, condamné en 2022 pour violences.
La France et le Maroc ont conclu, à l’occasion de la visite d’État d’Emmanuel Macron à Rabat, des contrats et accords d’investissement dont le montant global atteindra «jusqu’à dix milliards d’euros»..................................
-Le Parlement sioniste a voté ce lundi 28 octobre à une écrasante majorité en faveur d’un projet de loi interdisant les activités de l’agence onusienne pour les réfugiés palestiniens (UNRWA) en Israël, malgré les objections des États-Unis et de l’ONU.
Le texte a été approuvé par 92 des 120 membres de la Knesset (10 contre) alors qu’Israël, depuis longtemps très critique à l’égard de l’agence onusienne, a accusé certains employés de l’UNRWA d’avoir participé à l’attaque du Hamas dans le sud d’Israël le 7 octobre 2023.
Un second texte, également largement adopté (89 contre 7), interdit aux responsables israéliens de travailler avec l’Unrwa et ses employés, ce qui devrait considérablement perturber les activités de l’agence, alors qu’Israël contrôle strictement toutes les entrées de cargaisons d’aide humanitaire vers Gaza.
L’UNRWA a dénoncé dans la foulée ce vote « scandaleux » ..................................
-La Palestine a condamné ce lundi la loi votée par le parlement sioniste visant à interdire les opérations de l'agence des Nations Unies pour les réfugiés palestiniens.
"Nous rejetons et condamnons cette décision, en soulignant qu'elle enfreint le droit international et défie les résolutions de légitimité internationale des Nations unies", a indiqué dans un communiqué Nabil Abu Rudeineh, porte-parole officiel de la présidence palestinienne, cité par l'agence de presse officielle palestinienne WAFA.
Il a souligné que cette décision visait à "éliminer la question des réfugiés et leurs droits au retour et à l'indemnisation", et qu'elle était dirigée "non seulement contre les réfugiés, mais aussi contre les Nations Unies et la communauté internationale" qui a créé l'Office de secours et de travaux des Nations Unies pour les réfugiés de Palestine dans le Proche-Orient (UNRWA).
"Sans le soutien politique, financier et militaire continu des Etats-Unis à l'occupation, l'entité sioniste n'aurait pas osé défier la communauté internationale ou adopter des politiques qui plongent la région dans la violence et l'instabilité", a-t-il ajouté.
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