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Relations internationales (et Activités diplomatiques)
Journée du Vendredi 12/10/2024 |
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-La Force intérimaire des Nations unies au Liban (FINUL) a refusé de se replier cinq kilomètres plus au nord en territoire libanais, comme le lui réclamait l'armée sioniste qui l'a visée à plusieurs reprises provoquant un tollé international, a affirmé samedi son porte-parole.
Les forces sionistes "nous ont demandé de quitter nos positions le long de la Ligne bleue, de la frontière jusqu'à cinq kilomètres de la Ligne bleue (...) mais il y a eu une décision unanime pour que nous restions, parce que le drapeau de l'ONU doit flotter dans cette zone", a expliqué à l'AFP Andrea Tenenti, porte-parole de la force qui compte 10.000 Casques bleus.
Les soldats de l'armée sioniste ont ouvert le feu, à plusieurs reprises sur les positions de la FINUL de façon délibérée, blessant, au moins, quatre soldats.
Vendredi, les dix membres élus du Conseil de sécurité ont exprimé leur "profonde préoccupation" au sujet de ces attaques. Dans un communiqué de presse, ils ont appelé "toutes les parties à respecter le droit international humanitaire et la sécurité du personnel et des locaux de la FINUL".
Ils ont souligné que "toute attaque délibérée contre les soldats de la paix constitue une grave violation du droit international humanitaire et de la résolution 1701 (relative aux frontières entre le Liban et les Territoires palestiniens occupés) du Conseil de sécurité et doit cesser immédiatement".
Les dix membres élus ont réitéré dans le communiqué "leur soutien à la FINUL et souligné son rôle dans le soutien de la stabilité régionale".........................................
--L es dix membres élus du Conseil de sécurité de l’ONU (E10), dont l’Algérie, ont exprimé leur «profonde préoccupation» au sujet des attaques contre plusieurs positions de la Force intérimaire des Nations unies au Liban (Finul) les 10 et 11 octobre, au cours desquelles plusieurs soldats de la paix ont été blessés. Dans un communiqué de presse publié vendredi soir, ils ont appelé «toutes les parties à respecter le droit international humanitaire et la sécurité du personnel et des locaux de la Finul». Ils ont souligné que «toute attaque délibérée contre les soldats de la paix constitue une grave violation du droit international humanitaire et de la résolution 1701 (2006) du Conseil de sécurité et doit cesser immédiatement». Les dix membres élus ont réitéré dans le communiqué «leur soutien à la Finul et souligné son rôle dans le soutien de la stabilité régionale».
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