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Relations internationales (et Activités diplomatiques)

Journée du Lundi 19/03/2024

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-La démission du président vietnamien, Vo Van Thuong, après seulement un an de mandat, est un événement significatif dans le paysage politique du Vietnam, un pays communiste engagé dans une vaste purge anticorruption. Sa chute intervient dans le cadre d'une période de bouleversements politiques marquée par une campagne de lutte contre la corruption qui a touché plusieurs membres du gouvernement et des personnalités de premier plan. Vo Van Thuong a démissionné après avoir été accusé de violations et de manquements non spécifiés, des actes qui ont entaché la réputation du Parti communiste, de l'État et la sienne aux yeux de l'opinion publique. Sa démission a été acceptée par le comité central du parti communiste au pouvoir, mettant fin à son court mandat à la tête de l'État. Cette démission est d'autant plus remarquable que Vo Van Thuong était devenu président après la démission surprise de son prédécesseur, Nguyen Xuan Phuc, illustrant ainsi une période de changements inhabituels dans le leadership politique du Vietnam. Traditionnellement, le Vietnam met en avant la stabilité politique et les changements politiques sont soigneusement orchestrés. La démission de deux présidents successifs en peu de temps est donc un événement rare et notable dans le pays. Le véritable pouvoir au Vietnam reste entre les mains du secrétaire général du parti communiste, actuellement Nguyen Phu Trong, considéré comme l'architecte de la campagne de lutte contre la corruption. Cette campagne a été bien accueillie par l'opinion publique vietnamienne et a entraîné le limogeage de plusieurs ministres et hauts fonctionnaires pour des actes de fraude et de corruption. La démission de Vo Van Thuong peut être interprétée comme une autre manifestation de cette volonté du parti communiste de maintenir son autorité et de lutter contre la corruption au sein de ses rangs........................................................... - La ministre canadienne des Affaires étrangères, Mélanie Joly, a annoncé la décision de son pays d'interdire les ventes d'armes à l'entité sioniste qui mène une agression génocidaire contre la bande de Gahza, depuis le 7 octobre 2023. "C'est une véritable décision. La proposition initiale était de suspendre la vente d'armes, mais cela a été remplacé par une interdiction totale", a déclaré mardi soir la cheffe de la diplomatie canadienne au journal local Toronto Star, ajoutant que "la proposition inclut également une clause appelant au soutien à la création de l’Etat de Palestine en coordination avec les partenaires internationaux du Canada et un appel à un cessez-le-feu immédiat à Ghaza". Elle a précisé que "cette décision a été prise à l'issue du vote au sein du Parlement canadien avec 204 voix pour et 117 contre une motion non contraignante visant à stopper les ventes d'armes à l'entité sioniste après un long débat, tenu dans la journée du lundi". Dans une déclaration au même journal, le ministre canadien de la Défense, Bill Blair, a déclaré que "Joly décidera de la manière de mettre en œuvre l'embargo", exprimant la "profonde inquiétude" de son pays concernant les ventes de matériel