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Relations internationales (et Activités diplomatiques)
Journée du Jeudi 03/11/2023 |
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-Dans son discours prononcé, ce vendredi , depuis le début du massacre sioniste contre la Palestine, le 7 octobre dernier, le Secrétaire général du Hezbollah, Hassan Nasrallah, a affirmé que ce qui se passe aujourd’hui à Ghaza n’est pas une guerre comme toutes les autres guerres. «Il s’agit d’une bataille décisive. L’avant 7 octobre ne sera pas comme l’après. Le premier objectif sur lequel il faut se focaliser est la cessation des hostilités et de la guerre contre Ghaza, notamment la victoire de la résistance islamique», a-t-il affirmé. Pour ce qui est de l’attaque du Hamas contre l’occupant sioniste, il a affirmé que cette «énorme et vaste opération est le résultat d’une décision palestinienne à 100%, et que la crainte d’une escalade ou la perspective d’une guerre totale ou que ce front conduise à une guerre plus large est une possibilité réaliste qui peut se produire». Nasrallah a qualifié, par ailleurs, ce qui se passe sur le front du Liban-Sud de «très important» et de «très touchant». Et d’ajouter : «Les États-Unis sont entièrement responsables de la guerre à Ghaza, Israël n’est qu’un outil. Les États-Unis sont les responsables de tous les massacres du siècle présent et du siècle passé, à Hiroshima, en Palestine, dans toute la région.» Il a appelé, à cet effet, à «sanctionner» Washington. «Pour ceux qui demandent au Hezbollah d’entrer dans une guerre ouverte avec l’ennemi, ce qui se passe sur les frontières peut paraître modéré. Mais si ils observent objectivement ce qui se passe sur le terrain, on trouvera que cela est au contraire énorme et important, et nous ne nous contenterons pas de cela», a-t-il indiqué, en mettant l’accent sur le fait que «toute escalade sur le front libanais dépend de deux paramètres, à savoir l’évolution de la situation à Ghaza et le comportement de l’ennemi sioniste vis-à -vis du Liban». «Toutes les options sur notre front sont ouvertes», at-il mis en garde. Sur un ère de menace, Nasrallah a adressé un message clair aux sioniste, précisant que «vous commettrez la pire erreur si vous tentez une offensive contre le Liban». «Le Hezbollah n’a jamais été aussi puissant», met en garde Hassan Nasrallah, ajoutant que «des hommes armés, entraînés, organisé, structurés, expérimentés… pleins de spiritualité et prêts au combat, au très haut combat. 100.000 combattants sont prêts», a-t-il conclu.............................................
-Dès novembre et décembre 1988, 85 pays étrangers ont reconnu l'Etat palestinien. Parmi eux, figurent notamment l'Egypte, la Turquie, la Chine, l'Inde, mais aussi tous les pays de l'ex-URSS. Une seconde vague de reconnaissance a eu lieu à partir des années 2010, notamment en Amérique du Sud (Argentine, Brésil, Chili, Bolivie, Pérou...). Au sein de l'Union européenne, seule la Suède a entrepris récemment cette démarche diplomatique, en 2014. Mais plusieurs Etats satellites de l'ancien bloc soviétique, devenus depuis des Etats membres de l'UE, figurent aussi dans cette liste (Bulgarie, Hongrie, Pologne, République tchèque, Slovaquie et Roumanie). Au total, 139 des 193 Etats membres de l'ONU reconnaissent aujourd'hui la Palestine comme un Etat souverain
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