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Relations internationales (et Activités diplomatiques)

Journée du Samedi 16/04/2023

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-Le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, a reçu ce dimanche au siège de la Présidence de la République, le ministre des Affaires étrangères et des Expatriés de la République arabe syrienne, Fayçal Al-Meqdad, porteur d'un message du Président syrien, Bachar Al-Assad,....................................................... - Le secrétaire général du ministère des Affaires étrangères et de la Communauté nationale à l’étranger, Amar Belani, s'est entretenu dimanche à Alger avec son homologue française, Anne-Marie Descôtes, dans le cadre de la poursuite des consultations politiques entre l’Algérie et la France, a indiqué un communiqué du ministère. A cette occasion, les deux responsables ont passé en revue "les relations bilatérales dans leur ensemble et les perspectives du renforcement de la coopération entre les deux pays", selon la même source. Les discussions entre les deux parties ont également porté sur "un certain nombre de questions régionales et internationales d’intérêt commun", a conclu le communiqué......................................... - L'Algérie a exprimé son profond étonnement face à la décision "désinvolte" et "irréfléchie" du président de la Commission de l'Union africaine (UA), Mahamat Faki, de recevoir les soi-disant "lettres de créances" d'une diplomate marocaine se présentant faussement en qualité de "représentante permanente" de l'Union du Maghreb Arabe (UMA) auprès de l'Union Africaine (UA), indique dimanche un communiqué du ministère des Affaires étrangères et de la Communauté nationale à l'étranger. "L'Algérie exprime son profond étonnement face à la décision désinvolte et irréfléchie du président de la Commission de l'Union africaine, M. Mahamat Faki, de recevoir les soi-disant +lettres de créances+ d’une diplomate marocaine se présentant faussement en qualité de +Représentante permanente+ de l'Union du Maghreb Arabe auprès de l'Union Africaine", lit-on dans le communiqué. "Ce comportement irresponsable est d'autant plus inadmissible qu'il intervient après des démarches pressantes des autorités algériennes auprès de la Commission de l'Union Africaine, afin de considérer sans objet cette prétendue nomination qui, conformément aux textes régissant le fonctionnement l'Union du Maghreb Arabe, ne relève aucunement des prérogatives du Secrétaire général de l'UMA, dont l'ultime mandat a définitivement pris fin le 1er août 2022, sans possibilité de prorogation, mais qui par cette énième imposture sert l'agenda tracé par son pays de résidence", ajoute la même source. A cet égard, l'Algérie tient à "clarifier qu'elle n'a jamais été consultée au sujet de cette nomination qui s'est faite en dehors des règles prévues par le Traité instituant l'UMA de février 1989, lesquelles exigent dans le cas d'espèce le vote à l'unanimité des Etats-membres au niveau du Conseil des ministres des affaires étrangères de l'UMA, seule instance habilitée à statuer aussi bien sur cette nomination que sur l'établissement de relations de coopération avec d'autres groupements régionaux et internationaux, tel que prévu notamment par l'article 6 du Traité instituant l'UMA, les articles 5 et 7 du Statut général fixant les attributions du Secrétaire général de l'UMA ainsi que par la résolution du Conseil de la Présidence datant du 23 février 1990". L'Algérie réfute également le qualificatif d'"intérimaire" utilisé par la Commission de l'Union Africaine comme artifice juridique pour traiter avec l'ancien Secrétaire Général de l'UMA et tient à souligner que le Traité de février 1989 instituant l'UMA ne prévoit aucunement cette position. Selon le texte du ministère, "en acceptant cette grossière mise en scène protocolaire, le président de la Commission de l'Union Africaine cède à une opération de manipulation malsaine, conçue et mise en œuvre à des fins ne servant aucunement les intérêts de l'Union du Maghreb Arabe et de l'Union Africaine, auxquelles l'Algérie réitère son attachement indéfectible". "L'Algérie attend de la Commission de l'UA qu'elle clarifie sa position définitive sur cette violation flagrante et inacceptable des règles protocolaires et juridiques, sans préjudice de mesures éventuelles en fonction de l'évolution de cette affaire" conclut le communiqué...................................... - Les eurodéputés ont adopté, lors d'une réunion à huis clos au Parlement européen, un nouvel ensemble de lignes directrices visant à interdire l'accès des lobbyistes marocains à l'enceinte de l'institution continentale, secouée depuis plu sieurs mois par un vaste scandale de corruption dans lequel le Maroc est notamment embourbé, ont rapporté, hier, des médias. Selon le média américain Politico, le document de quatre pages, marqué du sceau «Pour usage interne uniquement», indique que les lobbyistes marocains qui se sont enregistrés dans le registre de transparence sont interdits de l'enceinte du Parlement «par mesure de précaution à la lumière des procédures en cours». Il souligne également que les députés européens ne seront pas autorisés à effectuer des voyages officiels au Maroc tant que l'enquête criminelle se poursuivra. Par ailleurs, les eurodéputés et mem bres du personnel sont priés de demander l'autorisation du Parlement européen pour inviter les diplomates des pays dans les locaux, et les législateurs doivent également informer la présidente du Parle ment, Roberta Metsola, chaque fois qu'ils les rencontrent. Les lignes directrices sont principale ment conçues pour clarifier la situation des députés européens et donner à Metsola et aux hauts fonctionnaires un meilleur contrôle sur qui rencontre qui, dans le cadre d'une enquête pénale en cours en Belgique concernant les pots-de-vin du Maroc aux eurodéputés. Leur adoption fait suite à des appels lancés en décembre 2022 et février 2023 par une majorité d'eurodéputés visant à exclure les lobbyistes marocains du Parlement européen. «Cela conduira très probablement à une situation où ces règles seront officialisées à l'avenir», a déclaré un responsable du Parlement européen s'exprimant sous le couvert de l'anonymat. «Nous devons savoir qui ils rencontrent et pourquoi ils se rencontrent. Je pense que tout le monde comprend que cela ne peut pas être comme avant», a-t-il ajouté.