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Relations internationales (et Activités diplomatiques)
Journée du Vendredi 29/10/2022 |
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-Les travaux de la réunion des ministres arabes des Affaires étrangères débuteront aujourd’hui au Centre international des conférences (CIC) Abdelatif-Rahal (Alger), en prévision du Conseil de la Ligue arabe au niveau du Sommet, prévu les 1er et 2 novembre. Au début des travaux de la réunion des ministres arabes des Affaires étrangères, l'Algérie prendra la présidence tournante du Sommet arabe. Le ministre des Affaires étrangères et de la Communauté nationale à l'étranger, Ramtane Lamamra, prendra ainsi la présidence de la 31e session du Sommet arabe, succédant au ministre tunisien des Affaires étrangères, de la Migration et des Tunisiens à l'étranger, Othman Jerandi, dont le pays avait présidé la 30e session du Sommet. La première journée de la réunion sera consacrée à l'adoption du projet d'ordre du jour du Sommet et à l'examen des projets de décision. Une séance consultative est prévue le deuxième jour et les travaux seront ponctués par une activité culturelle ...................................................... Les travaux de la réunion des ministres arabes des Affaires étrangères, préparatoire au 31e Conseil de la Ligue arabe au niveau du sommet, ont débuté samedi après-midi à Alger.
La première journée de la réunion des ministres arabes des Affaires étrangères, qui se tient au Centre international des conférences Abdelatif-Rahal, est consacrée à l'adoption du projet d'ordre du jour, à l'examen des projets de décisions et à leur approbation.
Une séance de consultation est prévue le deuxième jour....................................................................... ;;;;;
. Le ministère des Affaires étrangères et de la Communauté nationale à l’étranger a rendu publique samedi une déclaration suite au vote par le Conseil de sécurité d'une nouvelle résolution sur la Mission des Nations unies pour l’organisation d’un référendum d'autodétermination au Sahara occidental (Minurso).
"L’examen par le Conseil de sécurité du rapport du Secrétaire général des Nations unies qui inclut des vues de son Envoyé personnel pour le Sahara occidental offrait au Conseil une précieuse occasion de peser sur la situation dans le sens de la promotion effective de la décolonisation du territoire à travers l’exercice par son peuple de son droit imprescriptible à l’autodétermination", déclare le ministère des Affaires étrangères.
Selon la même source, "la résolution 2654 adoptée le 27 octobre 2022 résulte, comme ses devancières depuis la remise en cause par la puissance occupante de ses engagements envers le plan de règlement porté par la résolution n. 690 (1991), d’un exercice laborieux de rédaction dépourvu de la volonté d’orienter et de stimuler des efforts destinés à préserver la nature de la question du Sahara occidental et à lui appliquer scrupuleusement la doctrine et les bonnes pratiques des Nations unies en matière de décolonisation".
"C’est le lieu de saluer la position adoptée par la Russie et le Kenya que le Conseil de sécurité aurait gagné à suivre pour faire œuvre utile", a-t-on souligné.
"L’Envoyé personnel, Staffan de Mistura, dont l’Algérie comprend et encourage la démarche méritait que le Conseil de sécurité le renforce par un mandat proactif et un soutien vigoureux pour lui assurer un même niveau de coopération des deux parties, le Royaume du Maroc et le Front Polisario, en particulier de la puissance occupante, dont les conditions préalables visent à rendre concevable une parodie de solution se traduisant par une annexion territoriale par la force et le fait accompli", ajoute le ministère.
Et de poursuivre : "L’Algérie, qu’anime un sens élevé de ses responsabilités, tant envers le peuple du Sahara occidental qu’envers la région dans son ensemble comme en ce qui concerne l’effectivité des Nations unies, constate avec regret un risque sérieux de dénaturation et d’érosion du processus qui serait préjudiciable à la paix, à la stabilité et à la sécurité régionales".
"En ces moments de grandes incertitudes planant sur la scène mondiale, l’attachement aux buts et principes de la Charte des Nations unies au Sahara occidental se présente comme un test de crédibilité des professions de foi dans l’indivisibilité des valeurs devant régir une Communauté internationale pacifique, conviviale et juste", conclut la déclaration.
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