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Relations internationales (et Activités diplomatiques)
Journée du Mercredi 25/11/2021 |
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- La cheffe du Gouvernement de la République de Tunisie, Najla Bouden est arrivée jeudi à Alger pour une visite de travail d'une journée.
Mme Bouden a été reçue à l'Aéroport international "Houari Boumediene" par le Premier ministre, ministre des Finances, Aïmene Benabderrahmane, en présence du ministre des Affaires étrangères et de la Communauté nationale à l'étranger, Ramtane Lamamra et de la ministre des Relations avec le Parlement, Basma Azouar.
Cette visite vient affirmer "la qualité" des relations bilatérales unissant les deux pays frères et la volonté commune des deux parties de "renforcer et de diversifier" la coopération, notamment la préparation des prochaines échéances bilatérales importantes……………………………………………………………………..Le Premier ministre, ministre des Finances, Aïmene Benabderrahmane s'est entretenu, jeudi à Alger, avec la cheffe du Gouvernement de la République de Tunisie, Najla Bouden qui effectue une visite de travail d'une journée en Algérie.
L'audience s'est déroulée en présence du ministre des Affaires étrangères et de la Communauté nationale à l'étranger, Ramtane Lamamara, et de son homologue, Othman Jerandi, ministre des Affaires étrangères, de la Migration et des Tunisiens à l'étranger……………………………………………….
-Le président du Conseil de la nation, Salah Goudjil a affirmé jeudi que les relations entre l’Algérie et la France « doivent être tirées au clair », considérant que la campagne électorale de la prochaine Présidentielle en France s’appuyait sur les anciens « colons ».
Intervenant à l’issue de l’adoption de la loi de finances 2022 par le Conseil de la nation, M. Goudjil a avancé que « nombre de relations liant l’Algérie à d’autres pays doivent être tirées au clair, notamment les relations avec la France ». M. Goudjil a relevé que le colonisateur français, après son départ de l’Algérie, s’est constitué « sous forme de partis, de lobbies et d’associations, autrefois dissimulés, mais décidés, récemment, à se laisser émerger ».
De visu, la campagne électorale de la prochaine Présidentielle en France « est principalement axée sur les colons », a-t-il expliqué, soutenant qu’une telle démarche est inadmissible. Et de rappeler que « l’Algérie n’a pas fait la guerre au peuple français, mais à l’occupation français » et qu’elle « distingue entre le peuple français et l’occupation française ».
Dans le même contexte, le président de la chambre haute du parlement a évoqué « les relations importantes » liant l’Algérie et la France, eu égard à la forte communauté algérienne établie en France qu’il faudra « prendre en considération », expliquant que cette approche « correcte » est traduite dans les déclarations du président de la République et du ministre des Affaires étrangères. « Lorsque la partie algérienne engage le dialogue, elle le mène toujours la tête haute », a-t-il conclu.
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