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Relations internationales (et Activités diplomatiques)

Journée du Samedi 15/08/2021

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-En visite de deux jours à Alger depuis hier samedi, le ministre des affaires étrangères de Turquie, Mevlüt Çavu?o?lu a eu des entretiens fructueux avec son homologue algérien, Ramtane Lamamra. L’occasion pour le chef de la diplomatie algérienne de développer sa vision du partenariat stratégique que l’Algérie entend développer avec les Turcs, les appelant à davantage d’investissements. A ce niveau, Lamamra a pointé trois secteurs de prime abord fructifères. Il s’agit de l’agriculture, des mines et du tourisme, soulignant que la Turquie jouissait d’une grande expérience dans ce domaine. «Nous avons exprimé notre satisfaction de la vision ambitieuse du partenariat algéro-turc, au moment où nous estimons qu'il est nécessaire de réaliser davantage d'investissements turcs, au vu des potentialités de l'économie algérienne et des réalisations de l'économie Turquie», dira-t-il encore, rappelant «les orientations faites par les deux Présidents, MM. Abdelmadjid Tebboune et Recep Tayyip Erdogan, lors de leur rencontre en janvier 2020, ont aidé les deux gouvernements à cristalliser les bases de ce partenariat stratégique ainsi que les objectifs fixés à chaque étape de sa mise en œuvre». Au plan politique, Ramtane Lamamra a indiqué avoir passé en revue avec son invité un certain nombre de questions ayant trait aux crises et aux foyers de tension, au motif que l'Algérie et la Turquie souhaitent apporter des solutions et rapprocher les points de vue entre les parties en conflit, afin d'ouvrir de larges perspectives pour atteindre les objectifs et les principes de la Charte des Nations Unies», fera-t-il savoir dans cette veine, concluant que «L'établissement d'un Etat indépendant de Palestine avec El-Qods pour capitale demeure le cœur battant de notre coopération, notre concertation et notre coordination dans divers fora internationaux» A rappeler que Mevlut Cavusoglu avait entamé samedi une visite officielle de deux jours en Algérie, à l'invitation du ministre des Affaires étrangères et de la Communauté nationale à l’étranger, Ramtane Lamamra............................................................................ --Le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, a reçu, ce dimanche, le ministre des Affaires étrangères de la République de Turquie, Mevlüt Cavusoglu, qui lui a transmis les salutations et les condoléances du Président turc, Recep Tayyip Erdogan, suite au décès en martyrs des citoyens dans les incendies ayant ravagé le pays», précise un communiqué de la présidence de la République…………………………………… -Vendredi dernier, le ministre israélien des Affaires étrangères, Yair Lepid, a effectué sa première visite au Maroc, depuis le normalisation les relations entre les deux pays.Lors de sa visite, le chef de le diplomatie israélienne avait accusé ouvertement l’Algérie de « jouer un rôle malsain avec l’Iran » dans le région. Yaïr lepid a confié avoir abordé avec son homologue marocain leurs inquiétules au sujet de rôle joué par l’Algérie dans le région, son rapprochement avec l’Iran et le campagne qu’elle a menée conre l’admission d’Israël en tant que membre observateur de l’Union africaine », lit-on dans un communiqué sanctionnant le renconre de ministre israélien avec son homologue marocain. …………………Réagissant aux "déclarations fallacieuses et malveillantes, faites à partir du Maroc, concernant l’Algérie et son rôle régional ainsi que ses relations avec un pays-tiers", relayées par la presse internationale, la diplomatie algérienne précise qu'il s'agit d'une "sortie intempestive, dont le véritable instigateur n'est autre que Nasser Bourita en sa qualité de ministre des Affaires étrangères du Royaume du Maroc". Cette sortie "traduit une sourde volonté d'entraîner son nouvel allié moyen-oriental dans une aventure hasardeuse dirigée contre l’Algérie, ses valeurs et ses positions de principe", a mis en garde le ministère. "Cet aventurisme dangereux qui parie sur le pire, constitue un démenti formel à la prétendue 'main tendue' que la propagande marocaine continue de répandre abusivement et vainement", souligne le MAE. Et de conclure "l'exercice public, dont les peuples maghrébins ont tous été témoins, traduit une fuite en avant suicidaire tant il est vrai que le chef de la diplomatie marocaine tente sournoisement d'ajouter à sa tentative désespérée de dénaturer la question de décolonisation qu'est le conflit du Sahara occidental un nouvel acteur représenté par une puissance militaire moyen-orientale, qui continue de refuser la paix juste et durable avec le peuple palestinien que porte l’Initiative arabe de paix à laquelle l'Algérie est authentiquement attachée"…………………………… -Abdullah Abdullah, président du Haut conseil pour la réconciliation nationale, annonce que le président Ashraf Ghani a quitté l'Afghanistan alors que les Talibans sont aux portes de Kaboul, la capitale. Le président afghan, Ashraf Ghani, a quitté l'Afghanistan, où les talibans sont sur le point de prendre le pouvoir, a annoncé dimanche l'ancien vice-président Abdullah Abdullah. Après la conquête, sans grande résistance, de toutes les grandes villes du pays, l’offensive des talibans en Afghanistan a franchi ce dimanche une étape décisive, avec les premiers pas des insurgés dans la capitale et l’annonce, par le gouvernement en place, d’un "transfert pacifique du pouvoir". Le chef de la diplomatie américaine Anthony Blinken a rejeté toute comparaison entre la situation à Kaboul et la chute de Saïgon au Vietnam en 1975, réaffirmant que les Etats-Unis avaient "atteint les objectifs" de la guerre en Afghanistan. "Nous avons rendu justice à Ben Laden il y a dix ans". "Ceci n’est pas Saïgon", a affirmé le secrétaire d’Etat américain sur CNN. "Nous sommes allés en Afghanistan il y a 20 ans avec une mission et cette mission était de régler le compte de ceux qui nous ont attaqués le 11 septembre. Nous avons accompli cette mission". Mais rester en Afghanistan indéfiniment "n’est pas dans notre intérêt national", a-t-il ajouté, rappelant que les Etats-Unis veulent désormais se donner les moyens de contrer la politique agressive de la Chine dans le Pacifique